Il s'agit d'une confrontation fictive, jouée avec le système M&T
et la liste britannique du supplément tuniques rouges.
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Une force anglo-espagnole tente de déloger les dernières forces françaises de San Domingo.
Les deux armées se déploient dans la plaine de Seybo. Deux pièces de huit se font face.
Les régiments coloniaux flanquent les dispositifs des deux armées.
Soucieux de respecter la trêve. Le général britannique fait signe à sa troupe de garder l'arme au pied
tant que les troupes françaises n'ont pas ouvert le feu.
L'artillerie française ouvre le bal. Un boulet traverse la milice espagnole.
La riposte est immédiate. L'artillerie espagnole ébranle les polonais et les canonniers français.
Les dragons britanniques se redéploient.
Les troupes coloniales jamaïcaines engagent l'infanterie autrichienne.
Les troupes allemandes sont repoussées par les baïonnettes ennemies.
Les dragons français chargent alors les tuniques rouges.
La troupe est dispersée par l'impact de la charge.
La troupes anglaises effectuent un feu de salve en direction des dragons.
C'est un massacre, la moitié des chevaux tombent.
Les cavaliers encore sur leurs selles, déroutent sans demander leur reste.
Les coloniaux de Saint-Domingue, s'embusquent dans le bois.
Ils repèrent les dragons britanniques. Les 1777 sont précis.
Plusieurs cavaliers tombent sous les feux de la mousqueterie.
L'officier de Saint-Domingue charge les troupes coloniales adverses.
Il est repoussé violemment, mais il est sauvé par sa bonne fortune.
Les troupes coloniales tentent une percée, mais sont repoussés par le vieil officier.
La pièce de huit rend la monnaie. Les artilleurs espagnols sont pilonnés à leur tour.
Il s'agit de la dernière action significative de la journée.
La nuit tombant, les troupes survivantes de chaque armée se regroupent.
L'officier britannique n'étant pas coupable d'avoir rompu la trêve conserve l'ascendant moral.
