
Le contexte historique:
Chine du Nord (actuelle province du Boukistan), un vendredi soir au XIII° siècle...
Un seigneur de guerre nippon sinistrement connu sous le nom de Thulami Dankontu avide de gloire et de richesse décide d'opérer un raid en territoire chinois. Ayant traversé sans encombre cette passoire que constitue la grande muraille, il tombe sur un corps expéditionnaire Khitan : les troupes de Hie S'hui Khan bien disposées à lui barrer la route des terres de l'Empire du Milieu.
J'ai donc déployé mes 2000pts de Khitan, puis David ses 1800 de Japonais (il n'a pas tout fini de peindre ses figs ) et lui ai octroyé le premier tour pour compenser l'écart en points (quelle mansuétude et générosité, y'a des jours où je m'admire




Ainsi, Thulami Dankontu déborda le flanc gauche avec sa suite de cavaliers et fit avancer son centre de samouraïs à pied et ses moines vers le village, sur sa gauche, ses ashigarus archers investissent les bois et sa deuxième unité de fanatssins reforme ses rangs.
Hié S'Hui Khan, répondit en miroir à son offensive, tentant un encerclement avec sa cavalerie légère. Les quelques flèches chinoises qui assombrirent le ciel n'occirent qu'un samouraï à pied, et les tirailleurs épinglèrent un moine à coups de javelots.


Les moines se ruèrent alors sur les tirailleurs tribaux, et évitèrent tous leur javelots en effectuant la "parade du singe bleu léchant ses hémorroïdes". Thulami Dankontu poursivi sa course sur le flanc gauche. Les ashigarus tuèrent un tirailleur tribal de leurs flèches.
Les moines entamant la danse de guerre dite des "moustaches du tigre flatulant" massacèrent totalement mes tirailleurs tribaux dans le champ de blé (son proprio s'appelait Han Tié Tham


Et ça continuait de plus belle, aucune de ces deux unités ne se décida à se rallier !

Qu'a cela ne tienne, Hié sui Khan lança la manoeuvre du souffle du dragon et fit charger toute sa cavalirie lourde, les ashigarus fuirent devant la chevauchée des fils du vents.

Mais les deux unités de samouraïs encaissèrent le choc!

Tandis que les archers Khitan, à pied et montés arrosaient sans convition les Samourais montés de flèches en papier de riz.
To be continued...