Tout est rangé, prêt à recommencer…
Je débriefe la partie technique, la mise en place de tentes dans l’atelier permet de faire coucher huit participants, ce qui abaisse le coût du déplacement, les literies à l’exception d’une n’étaient pas fournies, le confort dépend du matériel de camping du participant, les déjeuners et les repas pris sur place, ce qui abaisse le coût et optimise le temps de jeu.
Seul bémol le déclenchement du compresseur en pleine nuit a quelque peu perturbé le sommeil des joueurs, ce sont les aléas de la guerre…
Pour ce qui concerne les vivres il me reste une grosse quantité de bières, ma femme m’avait prévenu « ce n’est pas tes copains motards » elle avait raison, le rougail — saucisse de vendredi soir où la seule saucisse qui sentait la fumée c’était moi, la sciure trop sèche, prenait feu. L’Irish-stew de samedi pas assez mijoté, j’ai commencé trop tard, ou la pluche des patates malgré l’aide de François m'a pris trop de temps. J’ai épaissi la sauce à la maïzena, c’était pas top. Par contre le poulet marengo de dimanche bien réussite si le poulet avait été fermier cela aurait été une tuerie (pas le même coût non plus) la charcuterie des Combrailles pour les repas des midis, accompagné de fromage de la laiterie de Laqueuille, et les tartes de Valérie cuitent au feu de bois, rien à changer.

À la suite quelques photos de nos guerriers.
