[WAB]Marmelade de Roastbeef dans le Sussex !
Publié : Jeu Oct 01, 2009 7:16 am
Le contexte hystérique 
Contrairement à ce qu'ont pu affirmer quelques historiens mal renseignés, John Hawkwood n'est pas mort à la fin du XV° siècle, mais s'est vu gratifié d'une mystérieuse longévité...
Ce dernier, une fois la guerre de 100 ans - qui avait joué les prolongations, comme lorsque la France menait l'Angleterre d'un ou deux points au Tournois des Cinq Nations - revint au pays avec sa meute cosmopolite de chiens de guerre, bien décidé à y appliquer la procédure habituelle (viol, massacre pillage et incendie, pour ceux qui n'auraient pas suivi, et ce dans l'ordre des préférences lubriques ou culinaires de chacun
).
Mais cela va sans dire que ce ceci n'était pas du tout du goût des autorités locales, qui dépéchèrent un ost afin de contrer le fâcheux. Ost du comté des Pravais, commandé par Hans Ybleumant (oui, c'était bien l'Ost Hans Ybleument des Pravais
), accompagné de son porteur de grande bannière, le Duc Oilque de Cheux que Berry, et assisté de deux nobles capitaines : Lord Sanuy de Noss, Sir Ysar Hamassay, combattant à pieds.
C'est ainsi qu'un matin de septembre, sous les murs d'une ville du Sussex dont l'histoire a oublilé le nom se déroula une danteste empoignade qui restera longemps dans la mémoire des pucelles locales (condition sociale qu'elles perdirent dailleurs assez rapidement à l'issue de la bataille !).
L'ost Hans Ybleumant des Pravés :
La meute des Chiens de Guerre
La suite après une second café (chais pas si vous avez vu l'heure !)
Ah oui, j'avais zappé, c'est Niko qui profitant de ses derniers jours de vacances est venu à Nanterre faire respirer le bon air de la banlieue à son armée d'York de la Guerre des Roses
Les mercenaires d'Hawkwood tapent le coup d'envoi, son centre d'infanterie épaulé d'hommes d'arme montés avance dans un cliquetis d'armures rouuillées par une longue traversée du Channel. Sa chevalerie dévoyée contourne le flanc gauche derrière les bois, à l'abri des bombardes des locaux. Tandis que sur l'autre aile, résistant à des pulsions soudardes les sergents montés (et fort bien montés, les chevaux Black Tree sont Hémaurmes !) traversent le village à toute allure pour se refermer sur les arrières ennemis telles les serres du rapace sur le fessard d'un garenne !
Mes bombardes ouvrent le feu, l'une merdoie (ses servants matant l'avenante croupe d'une paysanne occupée à couper de la luzerne), l'autre prend en enfilade (ses cannoniers là aussi avaient envie d'enfiler !) une ligne d'archers et y prélève un sanglant tribu, mon arbalestrie épingle avec succés quelques autres archers lui faisant face.
La replique des Pravais est de moindre envergure malgré pléthore d'archers, et les pertes des mercenaires sont négligeables.
Mes hommes d'arme se jetent alors sur le flanc des chevaliers à pied de Niko, esquivant les pieux des achers en une cavalcade incertaine, se loupent complètement, ramassent une tôle malgré leur position avantageuse, mais restent au corps à corps.
Le reste de ma ligne avançant de concert, mes hallebardiers convergeant au centre, mes véloces sergents montés se positionnaient quand à eux sur les arrières de Niko et ma chevalerie continuait sa cavalcade éperdue. Mes tirs furent d'une efficacité mitigée.
Hans Ybleument des Pravais et le Duc Oilque chargèrent alors mes hommes d'armes engagés sur le flanc de leurs chevaliers à pied.
Les archers se retournèrent pour contrer les sergents montés qui pénétraient leur arrières avec l'entrain d'un soudard dans une ribaude et la cavalerie légère des Angalis sorti du bois, prète à herceler mes lourds chevaliers (et surtout bloquer leur marches forcée, transformant ainsi la subtile manoeuvre tournante
de mon unté de choc en une course d'ecargots cacochymes et podagres autour des bois !)
Les tirs là aussi furent sans trop de gravité (j'ai eu pas mal de bol que se soit pas plus violent que ça, face à 60 archers et 2 bombardes) mais mes hommes d'armes montés furent balayés au corps à corps et malgré la présence d'Hawkwood et de Sir Chymélenga de Bigoine, sa grande bannière, déroutèrent sans espoir de ralliement (réduit à si peu de choses quil étaient les pôvres !) mais entraînant dans leur fuite un gros pavé de lanciers
Pause pipi (ben ouais, quoi, ma prostate )
Et c'est là chers auditeurs que le récit entre dans sa phase la plus palpitante, mes deux personnages, John Hawkwood et Sir Chymélenga de Bigoine chargèrent leur vis à pis rescpectif, pour un double duel qui allait voir s'échanger des myriades de coups, les armes faisant jaillir des gerbes d'étincelles en frappant les armures et des gerbes de sang en perforant les chairs
(en fait il y eu plus d'effets pyrotechniques que gores 
)
Mes sergents se jetèrent alors sur les archers, et les chevaliers à pied sur leur vis à vis, mais, le poids de leur armures ne leur permit pas de les atteindre... oups !
Mes bombardes et arbalériers ajoutèrent quelques archers à leur tableau de chasse, mais ce fut mes archers qui réalisèrent l'exploit de réduire fortement la cavalerie légère qui harcelait mes chevaliers ! Las, Niko est le champion du monde toutes catégories du test de panique à 5+, et avec une unité au prestigieux moral de 6, j'aurais dû savoir que je n'avais aucune chance
Mes sergents battirent les archers, mais une fois de plus, le jet de moral de Niko m'empécha de mettre le sanglier dans le maïs !
Le combat des chefs émoussa les épées, abima les armures et enrhuma les troupes à promiscuité
Les chevaliers à pied de Niko ne se firent pas prier pour charger les miens...
... alors que ses cavaliers légers continuaient leur manouevre d'harcellement.
Les tirs de Niko furent une fois de plus sans effet notable (beaucoup de "misfire" de part et d'autre dans cette partie !)
Le combat des chef continua de plus belle (ou de plus vilaine, ma grande bannière subissant une blessure), les nobles de Niko menés par un capitaine (Lord Sanuy de Noss, Sir Ysar Hamassay ? Je se sais plus
) infligèrent de loudres pertes (et en subirent en retour !) à mes tenaces chevaliers.
Mes hallebardiers chargèrent alors le flanc des chevaliers à pied de Niko, bien sûr ces derniers ne
paniquèrent pas !
Bonne nouvelle, mes valeureux archers finirent enfin par disperser l'agaçante cavalerie adverse, mes chevaliers avaient alors un boulevard pour eux
Le combat au centre fut indécis, les hommes d'arme de Niko lourdement armés et protégés étaient en outre tenaces, c'était parti pour durer et saigner ! Chymélenga de Bigoine rendit la politesse au Duc Oilque de Cheux que Berry et les généraux finirent par se faire mal aussi à force de ferrailler (en fait, Hawkwood, vu son âge se fit un lumbago et Hans Ybleument des Pravais se coinça le testicule gauche entre deux plaques de son armure). Les archers vainquirent mes sergents, mais ces derniers gardèrent la ligne !
Tandis que ses archers voulant se joindre à la curée loupèrent de peu leur charge sur le flanc de mes hallebardiers (qui eux-mêmes prenaient de flanc les chevaliers de Niko) ses propres hallebardiers percuètent mes lanciers.
Pendant que ses archers mettaient en fuite les sergents montés, que ses hallebardiers étriaient terriblement mes lanciers (qui tinrent le choc) que les généraux firent par se faire à nouveau mal mutuellement (plus qu'un point de vie - et non point de vit, j'vous vois venir ! - chacun dans ce double défi qui s'éternisait) le carnage au centre continuait ! Avec d'effroyables pertes de part et d'autres !
Alors que mes chevaliers approchaient enfin de la gagne, mes tirs firent peu de dégats dans les piquiers de Niko, totalement absents des débats par ailleurs. Les généraux se fatigaient, la boucherie continuait et vit la mort de mon porteur de grande bannière
Les archers de Niko finirent par charger mes hallebardiers qui serrant les dents et les fesses subirent stoïquement la tôle qu'ils ramassaient.
Sa grande bannière dégagée de son duel rejoint les hommes d'arme survivants du centre pour prendre part à la curée
Les bombardes de Niko firent un carnage dans mes chevaliers qui caracolaient sur son flanc !
Palpitant non ?
Mon centre réduit à rien fini par céder, rattrapé, dispersé, massacré... Par des troupes en guère meilleur état !
Alors que je vengeais mes hommes d'armes par une belle volée de mes archers qui s'étaient judicieusement repositionnés au tour précédant, que mes bombardes fauchaient quelques piquiers, les chevaliers chargeaient enfin les arrières des hallebardiers contre lequels tenaient héroïquement le reliquat de mes lanciers !
Fatalitas ! Syndrome de la lance molle ! (et comme une buse, j'oublie mes attaques de destriers !) Du coup mes vaillants lamentables chevaliers prennent une tôle, et c'est la débandade générale ! Tandis que les deux généraux malmènaient encore et toujours leurs rhumathismes !
Et histoire d'enfoncer le clou, les derniers tirs de Niko paniquent archers et arbalestrie qui fuient sans demander leur reste, laissant Hawkwood seul, trop concentré sur son défi qui s'éternise.
Niko, malgré ses pertes m'inflige une (nouvelle !) tôle de plus de 2000pts d'écart (sur une baston à 2500ts ça pique )
Mais nom de dieu qu'on s'est régalés !
... au vu des pertes de la journée, les pucelles du coin vont sans doute le rester encore un peu
Contrairement à ce qu'ont pu affirmer quelques historiens mal renseignés, John Hawkwood n'est pas mort à la fin du XV° siècle, mais s'est vu gratifié d'une mystérieuse longévité...
Ce dernier, une fois la guerre de 100 ans - qui avait joué les prolongations, comme lorsque la France menait l'Angleterre d'un ou deux points au Tournois des Cinq Nations - revint au pays avec sa meute cosmopolite de chiens de guerre, bien décidé à y appliquer la procédure habituelle (viol, massacre pillage et incendie, pour ceux qui n'auraient pas suivi, et ce dans l'ordre des préférences lubriques ou culinaires de chacun
).Mais cela va sans dire que ce ceci n'était pas du tout du goût des autorités locales, qui dépéchèrent un ost afin de contrer le fâcheux. Ost du comté des Pravais, commandé par Hans Ybleumant (oui, c'était bien l'Ost Hans Ybleument des Pravais
), accompagné de son porteur de grande bannière, le Duc Oilque de Cheux que Berry, et assisté de deux nobles capitaines : Lord Sanuy de Noss, Sir Ysar Hamassay, combattant à pieds.C'est ainsi qu'un matin de septembre, sous les murs d'une ville du Sussex dont l'histoire a oublilé le nom se déroula une danteste empoignade qui restera longemps dans la mémoire des pucelles locales (condition sociale qu'elles perdirent dailleurs assez rapidement à l'issue de la bataille !).
L'ost Hans Ybleumant des Pravés :
La meute des Chiens de Guerre
La suite après une second café (chais pas si vous avez vu l'heure !)
Ah oui, j'avais zappé, c'est Niko qui profitant de ses derniers jours de vacances est venu à Nanterre faire respirer le bon air de la banlieue à son armée d'York de la Guerre des Roses
Les mercenaires d'Hawkwood tapent le coup d'envoi, son centre d'infanterie épaulé d'hommes d'arme montés avance dans un cliquetis d'armures rouuillées par une longue traversée du Channel. Sa chevalerie dévoyée contourne le flanc gauche derrière les bois, à l'abri des bombardes des locaux. Tandis que sur l'autre aile, résistant à des pulsions soudardes les sergents montés (et fort bien montés, les chevaux Black Tree sont Hémaurmes !) traversent le village à toute allure pour se refermer sur les arrières ennemis telles les serres du rapace sur le fessard d'un garenne !
Mes bombardes ouvrent le feu, l'une merdoie (ses servants matant l'avenante croupe d'une paysanne occupée à couper de la luzerne), l'autre prend en enfilade (ses cannoniers là aussi avaient envie d'enfiler !) une ligne d'archers et y prélève un sanglant tribu, mon arbalestrie épingle avec succés quelques autres archers lui faisant face.
La replique des Pravais est de moindre envergure malgré pléthore d'archers, et les pertes des mercenaires sont négligeables.
Mes hommes d'arme se jetent alors sur le flanc des chevaliers à pied de Niko, esquivant les pieux des achers en une cavalcade incertaine, se loupent complètement, ramassent une tôle malgré leur position avantageuse, mais restent au corps à corps.
Le reste de ma ligne avançant de concert, mes hallebardiers convergeant au centre, mes véloces sergents montés se positionnaient quand à eux sur les arrières de Niko et ma chevalerie continuait sa cavalcade éperdue. Mes tirs furent d'une efficacité mitigée.
Hans Ybleument des Pravais et le Duc Oilque chargèrent alors mes hommes d'armes engagés sur le flanc de leurs chevaliers à pied.
Les archers se retournèrent pour contrer les sergents montés qui pénétraient leur arrières avec l'entrain d'un soudard dans une ribaude et la cavalerie légère des Angalis sorti du bois, prète à herceler mes lourds chevaliers (et surtout bloquer leur marches forcée, transformant ainsi la subtile manoeuvre tournante
de mon unté de choc en une course d'ecargots cacochymes et podagres autour des bois !)
Les tirs là aussi furent sans trop de gravité (j'ai eu pas mal de bol que se soit pas plus violent que ça, face à 60 archers et 2 bombardes) mais mes hommes d'armes montés furent balayés au corps à corps et malgré la présence d'Hawkwood et de Sir Chymélenga de Bigoine, sa grande bannière, déroutèrent sans espoir de ralliement (réduit à si peu de choses quil étaient les pôvres !) mais entraînant dans leur fuite un gros pavé de lanciers
Pause pipi (ben ouais, quoi, ma prostate
)Et c'est là chers auditeurs que le récit entre dans sa phase la plus palpitante, mes deux personnages, John Hawkwood et Sir Chymélenga de Bigoine chargèrent leur vis à pis rescpectif, pour un double duel qui allait voir s'échanger des myriades de coups, les armes faisant jaillir des gerbes d'étincelles en frappant les armures et des gerbes de sang en perforant les chairs
(en fait il y eu plus d'effets pyrotechniques que gores )
Mes sergents se jetèrent alors sur les archers, et les chevaliers à pied sur leur vis à vis, mais, le poids de leur armures ne leur permit pas de les atteindre... oups !
Mes bombardes et arbalériers ajoutèrent quelques archers à leur tableau de chasse, mais ce fut mes archers qui réalisèrent l'exploit de réduire fortement la cavalerie légère qui harcelait mes chevaliers ! Las, Niko est le champion du monde toutes catégories du test de panique à 5+, et avec une unité au prestigieux moral de 6, j'aurais dû savoir que je n'avais aucune chance
Mes sergents battirent les archers, mais une fois de plus, le jet de moral de Niko m'empécha de mettre le sanglier dans le maïs !
Le combat des chefs émoussa les épées, abima les armures et enrhuma les troupes à promiscuité
Les chevaliers à pied de Niko ne se firent pas prier pour charger les miens...
... alors que ses cavaliers légers continuaient leur manouevre d'harcellement.
Les tirs de Niko furent une fois de plus sans effet notable (beaucoup de "misfire" de part et d'autre dans cette partie !)
Le combat des chef continua de plus belle (ou de plus vilaine, ma grande bannière subissant une blessure), les nobles de Niko menés par un capitaine (Lord Sanuy de Noss, Sir Ysar Hamassay ? Je se sais plus
) infligèrent de loudres pertes (et en subirent en retour !) à mes tenaces chevaliers.Mes hallebardiers chargèrent alors le flanc des chevaliers à pied de Niko, bien sûr ces derniers ne
paniquèrent pas !
Bonne nouvelle, mes valeureux archers finirent enfin par disperser l'agaçante cavalerie adverse, mes chevaliers avaient alors un boulevard pour eux
Le combat au centre fut indécis, les hommes d'arme de Niko lourdement armés et protégés étaient en outre tenaces, c'était parti pour durer et saigner ! Chymélenga de Bigoine rendit la politesse au Duc Oilque de Cheux que Berry et les généraux finirent par se faire mal aussi à force de ferrailler (en fait, Hawkwood, vu son âge se fit un lumbago et Hans Ybleument des Pravais se coinça le testicule gauche entre deux plaques de son armure). Les archers vainquirent mes sergents, mais ces derniers gardèrent la ligne !
Tandis que ses archers voulant se joindre à la curée loupèrent de peu leur charge sur le flanc de mes hallebardiers (qui eux-mêmes prenaient de flanc les chevaliers de Niko) ses propres hallebardiers percuètent mes lanciers.
Pendant que ses archers mettaient en fuite les sergents montés, que ses hallebardiers étriaient terriblement mes lanciers (qui tinrent le choc) que les généraux firent par se faire à nouveau mal mutuellement (plus qu'un point de vie - et non point de vit, j'vous vois venir ! - chacun dans ce double défi qui s'éternisait) le carnage au centre continuait ! Avec d'effroyables pertes de part et d'autres !
Alors que mes chevaliers approchaient enfin de la gagne, mes tirs firent peu de dégats dans les piquiers de Niko, totalement absents des débats par ailleurs. Les généraux se fatigaient, la boucherie continuait et vit la mort de mon porteur de grande bannière
Les archers de Niko finirent par charger mes hallebardiers qui serrant les dents et les fesses subirent stoïquement la tôle qu'ils ramassaient.
Sa grande bannière dégagée de son duel rejoint les hommes d'arme survivants du centre pour prendre part à la curée
Les bombardes de Niko firent un carnage dans mes chevaliers qui caracolaient sur son flanc !
Palpitant non ?
Mon centre réduit à rien fini par céder, rattrapé, dispersé, massacré... Par des troupes en guère meilleur état !
Alors que je vengeais mes hommes d'armes par une belle volée de mes archers qui s'étaient judicieusement repositionnés au tour précédant, que mes bombardes fauchaient quelques piquiers, les chevaliers chargeaient enfin les arrières des hallebardiers contre lequels tenaient héroïquement le reliquat de mes lanciers !
Fatalitas ! Syndrome de la lance molle ! (et comme une buse, j'oublie mes attaques de destriers !) Du coup mes vaillants lamentables chevaliers prennent une tôle, et c'est la débandade générale ! Tandis que les deux généraux malmènaient encore et toujours leurs rhumathismes !
Et histoire d'enfoncer le clou, les derniers tirs de Niko paniquent archers et arbalestrie qui fuient sans demander leur reste, laissant Hawkwood seul, trop concentré sur son défi qui s'éternise.
Niko, malgré ses pertes m'inflige une (nouvelle !) tôle de plus de 2000pts d'écart (sur une baston à 2500ts ça pique
)Mais nom de dieu qu'on s'est régalés !
... au vu des pertes de la journée, les pucelles du coin vont sans doute le rester encore un peu
car tu t'aventurais sur un terrain glissant, mais bon, c'est resté (relativement) sobre 
