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Bernard
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Message par Bernard » Mer Juil 21, 2021 8:57 am

Bonjour à tous
Je m'intéresse en ce moment à ce bouquin:

Image
Geschichte des k. und k. Infanterieregiments nr. 29 auf immerwährende zeiten Gideon Ernst freiherr von Loudon

Je viens de découvrir qu'il n’existe qu'aux États-Unis, qu'il a été numérisé... mais qu'on n’a pas le droit d'y accéder :?: ?
Ce livre datant de 1906, je ne comprends pas pourquoi?

Voilà, si quelqu'un possède ce livre ( :lol: ), il peut penser à moi!
:D :D :D
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Patrice
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Re: IR29

Message par Patrice » Mer Juil 21, 2021 10:53 am

Je vois qu'il est en vente sur Amazon (non pas que je veuille faire de la pub pour Amazon que j'évite comme la peste...) et donc sans doute ailleurs aussi.

Pour les accès internet éventuels, il y a deux choses différentes. S'agissant de livres anciens il n'y a plus de droits d'auteur, donc quiconque en a un exemplaire peut le copier et diffuser et revendre tant qu'il veut. Mais rien n'empeche quelqu'un qui a un livre rare de limiter l'accès aux scans de son propre exemplaire personnel (qu'il n'était pas obligé de scanner, de toutes manières). Il y a le même truc pour beaucoup de gravures et illustrations anciennes, proposées payantes bien que dans le domaine public.
« Il vaut mieux faire face à ce qui est derrière nous, que tourner le dos à ce qui est devant ! » (capitaine Huchehault)

http://www.anargader.net/
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Re: IR29

Message par gboue » Mer Juil 21, 2021 10:59 am

Bonjour Bernard

Les liens trouvés sont souvent en .edu ou .org , donc réservés aux téléchargements ou prêts inter-universitaires quand les dites institutions ont payé leur écot, pas fou les yankees!
(Public domain only when viewed in the US - pour deux sous universités US)

Demande peut être à Michael Lint (Marbot chasseur) de le récupérer puis de te l'envoyer ?

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Bernard
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Message par Bernard » Mer Juil 21, 2021 2:44 pm

Bonne idée!
J'envoie un MP.
:D :D :D
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Re: IR29

Message par MarbotsChasseurs » Lun Juil 26, 2021 1:21 am

Hello Bernard,

Je suis désolé pour la réponse tardive, mais je voyageais en Amérique du Sud! J’ajoute le google e-book ci-dessous. S’il vous plaît laissez-moi savoir si vous êtes en mesure de l’ouvrir.

https://play.google.com/books/reader?id ... PR16&hl=en

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Bernard
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Re: IR29

Message par Bernard » Lun Juil 26, 2021 5:45 am

Oui je peux ouvrir ton lien.
Mais je tombe sur ça!
Image
Et après, je fais quoi? :?:
:D :D :D
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Re: IR29

Message par MarbotsChasseurs » Lun Juil 26, 2021 6:05 pm

Il devrait dire lire ebook sur le côté gauche avec un bouton bleu. De quelle période avez-vous besoin? Je peux probablement poster les pages ici dont vous avez besoin.

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Bernard
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Re: IR29

Message par Bernard » Lun Juil 26, 2021 6:21 pm

Et oui, je ne suis pas américain… Pas de bouton bleu!
La période 1809.
Merci d'avance.
:D :D :D
Dernière édition par Bernard le Lun Juil 26, 2021 7:01 pm, édité 1 fois.
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Re: IR29

Message par MarbotsChasseurs » Lun Juil 26, 2021 6:35 pm

L'année de guerre 1809.

Après la défaite de l'Autriche à Austerlitz, que Napoléon débarrassa de ses plus importantes causes d'opposition, le grand Corse attaqua le sort de la guerre avec une force redoutable. États d'Europe. Il semblait que l'Autriche était le dernier rempart contre l'arbitraire sans restriction. Après Iéna, Auerstädt et Eylau, la Prusse a été presque détruite. Les armées de Russie, qui avaient rejoint l'ancien État, furent renversées par les Français à Eylau et Friedland. Les familles royales du Portugal et d'Espagne ont été chassées de leurs terres par Napoléon, et la dynastie de Naples a perdu son trônedéclaré et le pouvoir mondain du Pape aboli. L'empereur Napoléon a réduit la plupart des États individuels du Saint Empire romain dans des structures qui ne dépendaient que de lui, car à l'exception de l'Autriche, de la Prusse, de la Hesse et du Brunswick, tous les princes allemands formaient le « Rheinbund », dont le L'empereur français était le protecteur. L'Autriche, qui avait perdu la quasi-totalité de sa zone côtière par la paix de Presbourg en 1805, n'a pas été épargnée par de nouvelles humiliations. En 1807, en pleine paix, la monarchie cède subitement le comté de Monfalcone au royaume d'Italie et accorde des concessions militairesLa France forcée au littoral. Après que toute l'Europe eut été humiliée par Napoléon, l'Autriche, qui avait été mise à rude épreuve, s'est relevée pour imposer le pouvoir du grand corse, fidèle à son rôle de champion du droit et de la justice, qui n'a pas été oublié depuis 18 ans. Une fois de plus, l'empereur appela les peuples de la monarchie aux armes, car toutes les forces devaient être mobilisées pour surmonter les fleuves de sang, un peuple sans limites, avec des dépenses incalculables d'argent et de biens, pour enfin surmonter la question de la victoire ou de la défaite pour décider.

Du côté autrichien, il a été décidé de rechercher la décision auprès de l'armée sous le commandement des opérations de l'archiduc Karl en Allemagne. des plans . Dès 1808, alors qu'il prévoyait la guerre à cause des armements de l'Autriche, l'empereur Napoléon ordonna la formation d'une armée sur le Rhin et la concentration de toutes les forces françaises en Allemagne dans la région de Bamberg. L'archiduc Karl a rassemblé la principale force autrichienne en Bohême occidentale afin de vaincre le groupe de Français debout près de Bamberg avant que l'armée du Rhin ne se soit approchée. Mais pendant les mouvements de marche, dans la première quinzaine de mars, la nouvelle est arrivée que leLes Français sont sur le point de s'unir dans la région Ratisbonne - Ingolstadt. L'archiduc abandonna alors le plan d'opérations précédent et décida de concentrer toute l'armée au sud du Danube puis d'avancer dans la zone au sud-ouest de Ratisbonne. Seuls deux corps devaient avancer directement de Bohême sur Ratisbonne. L'ordre de mobilisation a été émis début février. Mobilisant simultanément le régiment, le régiment a également reçu des instructions pour déplacer le troisième bataillon sur six marches. pg 251.

Pour compléter les entreprises. A cet effet, les deux compagnies du troisième bataillon, qui se trouvaient jusqu'alors en Galice, sont revenues au régiment, et deux soi-disant « compagnies d'augmentation » ont également été constituées. Afin de gérer l'entreprise de remplacement pendant que le régiment était absent du terrain, une "division de dépôt" composée de deux sociétés a été formée, qui a été cartographiée à Brno. À la fin de février, toutes les troupes ont été divisées en huit corps d'armée selon le modèle français et ceux-ci ont été regroupés le long de la frontière occidentale de la Bohême et de la Haute-Autriche. Les bataillons de fusiliers du régiment de Lindenau appartenaient à la division FML. Schustek du V Corps d'armée sous l'archiducLudwig, plus tard FML. Prince Reuss, divisé. Depuis la nomination de Colonel c. Hammer au général de division du colonel lieutenant Philipp Pflüger c. Lindenfels. Les deux compagnies de grenadiers ont été jointes aux divisions du Kaiser No. 1 et Wurtemberg n° 38 combinés en un bataillon de grenadiers combiné, via lequel initialement le lieutenant-colonel Prince Hohenlohe du Kaiser Regiment No. 1, mais plus tard celui de l'Infanterie d'Argenteau No. Major Freiherr c. Hromada commandait. ") Le bataillon de grenadiers appartenait à la brigade GM. Steyrer, qui était dans le I. Reserve Corps G. d. K.Le prince Liechtenstein était divisé. Les trois bataillons de fusiliers et la division de grenadiers étaient en marche depuis la mi-février. Le 27 février, ils ont commencé la marche vers la Bohême. Les fusiliers atteignirent Gr. - Meseritsch, Regens, Iglau, Deutschbrod, Habern et Czaslau avançant, le 7 mars, Plaňan. Lorsque toute l'armée commença à marcher vers la Haute-Autriche en raison de la concentration qui avait eu lieu entre-temps avec l'ennemi, le régiment de Lindenau participa également au grand déplacement. ) Le 8 mars, il est reparti de Plaňan et est arrivé à Mnichowitz le même jour. Dans les prochains jours, Beneschau,Passé Milčin, Tabor, Wessely, Budweis et Weleschin et atteint Rosental le 23 mars. Le 28 mars, le régiment poursuit les marches et arrive à Pfaffing le 8 avril. %) Le bataillon de grenadiers avait marché avec le I. Corps de réserve depuis Iglau, où ce dernier s'était rassemblé, via Neuhaus, Wittingau, Weitrach et Linz jusqu'à Taufkirchen et y arriva le 8 avril.

^) Lors de la guerre de 1809, l'ancienne pratique des bataillons de grenadiers combinés fut à nouveau utilisée. Les divisions de grenadiers de tous les régiments d'infanterie étaient regroupées en bataillons combinés, et ceux-ci en brigades de grenadiers. 2) Lindenau était à l'origine dans le III. Des corps avaient été affectés, qui se sont rassemblés autour de Prague. Ce n'est que lorsqu'il a été transféré en Haute-Autriche qu'il a rejoint l'association du V Corps. 8) Les marches ont traversé Rosenberg, Droschelsdorf, Niederkulm, Freyling, Markt Trenk, Lambach, Mayerlambach et Neuhofen. 4) En raison du peu de dossiers disponibles, il n'est pas possible de suivre précisément les activités des grenadiers de Lindenau pendant la campagneenregistrer . La présentation des événements auxquels cette partie du régiment a participé ne peut donc être donnée que dans ses grandes lignes. pg.252.

Bavaria et Ge le 20 avril. Le 9 avril, l'Autriche déclare la guerre à la France ; Envahissant le lendemain, l'armée autrichienne franchit l'Inn en trois batailles aux colonnes de la Rohr. Le régiment de Lindenau a été divisé en colonne de l'aile gauche dans le cadre du 5e corps et a marché via Braunau et Mühldorf jusqu'à Landshut. Après la retraite des Bavarois derrière l'Isar, l'archiduc, ignorant que Napoléon était déjà au sud d'Ingolstadt, se tourna avec trois corps vers le nord, afin de vaincre les Français soupçonnés d'être près de Ratisbonne en conjonction avec les deux corps qui avaient marché vers le bas directement de Bohême et parti pour la couverturecontre ouest le V., VI. et II. Corps de réserve sous FML. Hiller de retour. Le régiment de Lindenau a atteint la région de Siegenburg le 19. Le 20 avril, la puissance principale de Napoléon a attaqué de manière inattendue l'aile gauche isolée et lâche des Autrichiens sous Hiller. Les parties du 5e corps debout en avant dans la soirée furent bientôt jetées et se replièrent en désordre sur Rohr, où le commandant du corps l'archiduc Louis prit la division du FML. Schustek, dans lequel était affecté le régiment de Lindenau, s'arrangea pour « accueillir les retraités ». Mais la division a été immédiatement attaquée par une force supérieure très disproportionnée, jetée après une résistance acharnée et chaufféesuivi. On ne peut pas voir dans les rares archives de quelle manière le régiment de Lindenau a participé à la bataille. Seules les pertes qu'il a subies parlent d'une participation intensive à la bataille.

Morts : 6 hommes. Blessé et capturé : Capitaine Andreas c. Vetter), lieutenant Josef c. Werndl, les lieutenants : Franz Fischer, Jakob Humulla, Josef Graf Pestalozzy, Ensign Anton Herrmann et environ 200 hommes.

Prisonniers de guerre capturés : Kapitänleutnant Schaupel et environ 312 hommes. Malgré les renforts déployés, les Français ne peuvent plus être arrêtés dans leur course victorieuse. Après un combat qui dura jusque tard dans la soirée, la retraite immédiate vers l'Isar fut ordonnée, malgré la fatigue générale et l'obscurité qui s'étaient déjà installées. Mais le 21, presque en même temps que le V Corps marchant dans la file d'attente, il suffisaitla Tête des Français à Landshut, où FML. Hiller la vit incitée à continuer la retraite sur-le-champ. Le régiment de Lindenau dut donc continuer le mouvement ininterrompu depuis la veille, sans bouillir et sans repos. p 253

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Message par MarbotsChasseurs » Lun Juil 26, 2021 6:37 pm

Le 22 avril, Hiller et ses trois corps d'armée traversent l'Inn près de Mühldorf. Le jour mentionné, Lindenau se rassembla également dans un camp près de Neu-Ötting.Au cours de la retraite le régiment avait perdu : ') Morts : 2 hommes. Blessé et capturé : Capitaine Wilhelm c. Frotté. Guerre capturée : 212 hommes. Après le groupe FML. Hiller avait été repoussé à travers l'Isar, l'empereur Napoléon avait fait appel aux cinq corps de l'archiduc Karl au sud de Ratisbonne et les avait vaincus le 22 avril à la bataille d'Eggmühl. ) L'archiduc est contraint de retourner sur la rive nord du Danube. En raison de l'avancée rapideLorsque Napoléon n'a pas pu s'allier à Hiller sur la rive droite du Danube, l'archiduc Karl se retira au cours des semaines suivantes à travers la Bohême vers l'Autriche intérieure. Le 24 avril, FML est passé. Hiller l'Inn et s'avança vers Neu a. ré. Rotter am markt an der Rotter à attaquer afin de surmonter un revers du 24 avril. Suivi jusqu'à l'arrêt. Comme les principales forces de Napoléon étaient encore à Ratisbonne à cette époque, Hiller a pu réussir. Les Français ont été jetés après une courte bataille contre l'Occident. Le régiment de Lindenau a également pris part au combat et a subi la perte suivante dans le processus) : Morts : 2 hommes. Blessés et capturés :36 hommes. Le 25, en raison de certaines nouvelles concernant l'Echec de l'armée principale, la retraite par l'Inn jusqu'à Linz se poursuit. Ried et là la division FML. Schustek, avec le régiment de Lindenau désigné comme l'arrière-garde de l'armée. Fortement poussée par les Français qui la suivaient à proximité immédiate, la division atteint Linz le 3 mai. FML. Hiller, cependant, avait reçu l'ordre de rejoindre l'armée de l'archiduc en Bohême, après quoi il décida de construire un pont à Mauthausen. Le groupe d'armées devrait être à une position derrière Ebelsberg a. ré. Reportez-vous à Traun. Le 3 mai au matin, alors que notre propre corps venait de faire le frontEbelsberg avait passé le pont de Traun situé sur l'Ebelsberg, la division Schustek est également arrivée et est revenue sur la rivière. Il n'a pas été possible de brûler le pont une fois la transition terminée, car deux brigades autrichiennes étaient restées sur la rive ouest pour permettre à la division de passer le défilé en toute sécurité. Une fois sur la rive est, le poste est pourvu. Trois compagnies du troisième bataillon sous le commandement du lieutenant-colonel Pflüger c. Lindenfels est désigné comme garnison du château, les deux autres bataillons et demi engagés le 3 mai. 1) KA. , Actes d'état civil. , l'imAssociation du 1er Corps de Réserve Grenadier Bataillon Le Baron Hromada s'est distingué dans cette bataille par sa fermeté. 3) KA. , Actes d'état civil. pg. 254

aménagé en réserve à l'extrémité est du village. Entre-temps, la force principale de Hiller s'était installée derrière les hauteurs à l'est d'Ebelsberg. Entre-temps, les troupes restées à l'ouest de la Traun avaient été chassées par les forces françaises écrasantes. Avec le retour des Autrichiens, les Français ont également pénétré à travers le pont dans le soi-disant »Vormarkt«, une partie de la ville d'Ebelsberg. Cependant, les défenseurs, deux bataillons de volontaires viennois, se sont révélés trop faibles pour chasser à nouveau l'ennemi de la place. À ce moment critique, le major Paumgarten, adjudant du VI. Corps, avec l'aide du régiment Lindenau, l'issue de la batailleen faveur des Autrichiens. Il était environ 11 heures du matin lorsque Paumgarten s'élança vers le deuxième bataillon Lindenau et au nom des FML. Hiller a ordonné la même avance. Le capitaine Karl Kral, alors commandant de ce bataillon, rappela à l'équipage les actes antérieurs du régiment avec un cri enthousiaste : « Souvenez-vous que notre régiment s'appelait Loudon et » se montra digne de ce nom honorifique dans toutes les batailles ! Le »héros transfiguré regarde notre combat et se réjouit pour ses bons fils ! «Il y avait encore plusieurs vieux guerriers dans le bataillon qui avaient connu le héros, qui avaient pris d'assaut les murs de Belgrade sous lui et à travers les leursLes contes avaient conservé la gloire de guerre d'antan dans le régiment. Maintenant, l'esprit du conquérant de Landshut, de Schweidnitz et de Belgrade accompagnait à nouveau les multitudes de son peuple vers la victoire ! Le bataillon avance à vive allure - l'attaque surprise résolument menée à la baïonnette nue met le désordre dans les rangs serrés des Français. Ils reculèrent, certains d'entre eux s'enfuirent vers l'abri le plus proche et maintenant un violent incendie commença à retenir l'avancée de chaque haie, chaque mur, chaque maison. Mais cela aussi fut finalement surmonté ; les maisons furent reconquises une à une et les Français inexorablement à travers le Vormarkt jusqu'à l'EnnserPorte repoussée. Un drapeau français et 700 prisonniers étaient les prix de la voiture audacieuse ! Au cours des événements décrits à l'avance, l'équipage du château avait également livré une vive bataille contre les Français avançant de ce côté avec un succès tout aussi brillant. Ce dernier a pris d'assaut la colline et le château des deux côtés. Sur le sentier de la porte du pont, les attaques courageusement menées ont échoué encore et encore à cause de la bravoure du lieutenant-colonel c. Les laboureurs commandaient l'équipage du château. Soudain, un détachement ennemi réussit à s'arrêter en utilisant une entrée dissimulée dans le château. DuUn escalier couvert en bois menait au chenil du château, occupé par les Français. A la sortie des escaliers il y avait déjà un gros tas de pg 255

L'ennemi s'est rassemblé lorsque le sergent Wertheim, remarquant cela, s'est levé avec 30 hommes en criant : « Loudon ! «Il s'est précipité sur lui et, après une courte lutte, a jeté les Français dans le fossé. Une deuxième tentative de pénétrer dans le château à cet endroit a été facilement rejetée par l'équipage, qui avait maintenant été alerté. Les troupes françaises qui étaient auparavant dans le Vormarkt, maintenant incapables de rester dans le village, étaient sur le point de battre en retraite sur le pont de Traun lorsque la division ennemie Legrand est arrivée au bon moment pour tourner la bataille en faveur des Français. Maintenant, l'endroit devait être enfin dégagé, il était environ cinq heuresHeures de l'après-midi. Après avoir quitté le lieu de son honorable défense, le régiment se replie vers l'est jusqu'à la position principale de Hiller.Au cours de la bataille le régiment a perdu : Morts : Lieutenant Léopold Bilek et 14 hommes, blessés et capturés : 242 hommes, disparus : 9 hommes. Dans la relation de combat FML. Hillers est appelé l'ensemble du régiment comme "le plus digne d'éloges". Beaucoup d'actes merveilleux d'individus ont pu être accomplis ici, mais d'une part ils ont échappé à l'attention générale dans la tourmente de la lutte, d'autre part il a été négligé de recevoir leurs descriptions pour la postérité. De la commission des médailles qui s'est réunie en juinont été décernés par le régiment de Lindenau pour un comportement particulièrement courageux dans la bataille près d'Ebelsberg : La médaille d'argent pour la bravoure : le sergent Wilhelm Wertheim, le sergent Leonhard Schaffer et le caporal Johann Bayer. Le pont de Mauthausen ayant été déchiré par des radeaux dans le courant du 3 mai et parce que la retraite sur le Danube devait être poursuivie immédiatement en raison de la menace sur le flanc sud, la marche sur la rive sud du Danube a commencé dans la nuit du 3 mai au 4 mai. Le régiment Lindenau passa, divisé en continu en arrière-garde, le 6 Kemmelbach et le 7 Mölk, marcha le 8 via St. Pölten jusqu'à MeidlingWölfing et passa le Danube près de Mautern le 9, après que tout le groupe d'armées Hillers eut déjà passé le fleuve. Dans la nuit du 9 au 10 mai, le régiment incendie le grand pont fluvial. Pour protéger la résidence menacée par Napoléon, Hiller descend le Danube avec le groupe d'armées le 10 mai. Mais elle n'allait que jusqu'à Korneubourg, puisque Vienne avait été entre-temps livrée à Napoléon. Le régiment n'a pas participé à la marche contre Vienne ; il est resté avec la division Schustek dans la région de Krems pour garder le Danube. pg 256

Le 12 mai, les premier et deuxième bataillons se rendent au camp près de Rehberg près de Krems, et le troisième bataillon à Grafenwörth. De là, ce dernier détacha l'enseigne Pietrowsky avec 46 hommes le 13 pour lever quelques postes ennemis sur la rive droite du Danube, mission qu'il accomplit avec succès. Le 14, le troisième bataillon est ramené à l'état-major et les 1re, 2e et 3e compagnies reçoivent l'ordre de longer le Danube jusqu'à Krems. Les bataillons de fusiliers ne participèrent pas à la bataille d'Aspern le 21 mai. Le 22 mai, les premier et deuxième bataillons sous le commandement du lieutenant-colonel c. Laboureur? ) commandé à Grafenwörth, déplacé le 31 mailes 7e, 8e, 9e et 10e compagnies pour lever quelques impasses ennemies à travers le Danube et retournèrent au camp après minuit. Après la bataille d'Aspern, l'archiduc Karl et l'empereur Napoléon ont attiré toutes les forces disponibles dans leurs armées afin de se préparer à l'inévitable bataille décisive. Le V Corps garda également l'ordre du duc de se déplacer vers l'est. Le régiment de Lindenau part donc de Grafenwörth le 4 juin, marche ce jour-là sur Kirchberg, le 5 sur Stockerau, et pénètre dans le camp près de Lang-Enzersdorf dans la nuit du 6 au 7 juin. Immédiatement après son arrivée là-bas, a commencé pour leRégiment une période épuisante et stressante. Afin de protéger le flanc ouest de l'armée, celle-ci devait toujours être prête à empêcher absolument toute tentative de transition des Français, ce qui impliquait une sévérité impitoyable dans la mise en œuvre du service de sécurité et de patrouille.2 Ils restèrent les jours difficiles. des bataillons Wagram Fusilier à nouveau loin des urnes ; ce n'est que plus tard qu'ils seraient autorisés à se mesurer en bataille ouverte avec l'ennemi. L'archiduc Karl, dans l'armée duquel se trouvait le bataillon de grenadiers Hromada Die Grenadiers, avait atteint Stockerau après s'être retiré de Ratisbonne à travers la Bohême et la Moravie, d'Aspern et le 16 maipour contacter Korneuburg avec FML. Hiller réunit Wagram le 21 juin et réunit l'armée dans un grand camp entre le Bisamberg et le 6 juillet. dans les batailles 1) Lieutenant-colonel c. Pflüger est nommé colonel par la plus haute résolution du 27 mai 1809. Le même jour, le Capitaine Baron Hromada du Régiment d'Argenteau No. 35 muté à Lindenau en tant que major et lui confie le commandement du bataillon de grenadiers. KA. , HKR. 1809, G.5 75 21 2) Le 8 juin, le premier bataillon est détaché pour soutenir les avant-postes sur l'île de Black Lakena non loin de Nussdorf ; du 2e bataillon, la 12e compagnie est montée en campagne. Le 10, le troisième bataillon est allé auReliez l'avant-poste à la feuille noire. Le 12, le premier bataillon marcha sur Korneubourg à 1 heure du matin ; Une fois sur place, une compagnie s'est déplacée dans les gardes de campagne, le reste est resté prêt à se battre en soutien aux avant-postes. Le 13, le deuxième bataillon est également envoyé à l'avant-poste et prend le relais du moulin. Le premier bataillon marcha le 22 juin du camp près de Korneuburg à celui de Neueugen. Les deuxième et troisième bataillons fournis de 28-30. le service d'avant-poste sur le Black Laken, puis sont retournés à leurs anciens emplacements. Les bataillons sont restés dans cette répartition spatiale jusqu'après la bataille de Wagram. Hödl, histoire deRégiments Loudon. pg.257

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Re: IR29

Message par MarbotsChasseurs » Lun Juil 26, 2021 6:38 pm

et le Russbach, en face de la résidence d'occupation française. Le 21 mai, les principales armées des deux camps combattent à Aspern, qui se termine par la retraite de Napoléon à travers le Danube. Les grenadiers Lindenau, Major Baron Hromada dans le bataillon, ont eu l'occasion de prendre part à la bataille. Après la conquête d'Aspern, le bataillon reçut l'ordre de prendre d'assaut le mur du jardin crénelé à l'extrémité ouest du lieu nommé au sein des troupes destinées à emporter Esslingen. Après plusieurs tentatives infructueuses pour prendre possession du village, cependant, la lutte s'arrêta à la tombée de la nuit. lesLe Grenadier Division Lindenau avait perdu au cours de ce combat acharné : le capitaine Franz Otto von Ottenfeld mort et une centaine d'hommes blessés, prisonniers et disparus. Dans la bataille de Wagram les grenadiers rentrèrent dans le feu, et la perte dans ce combat de morts, blessés et disparus fut de 29 hommes. ? ) Après l'issue malheureuse de la bataille de Wagram, l'archiduc a ramené l'armée le long de la "Route de Bohême", Stockerau, Ober Hollabrunn et Znaim. Cependant, les Français avaient non seulement suivi les Autrichiens sur la ligne de marche mentionnée, mais en avaient également cherché une à Laa-HöfleinTraversée de Thaya pour se présenter au pont de Znojmo 'defilé. Cependant, l'archiduc reconnut à temps cette intention et, venant d'arriver à Schöngrabern dans l'après-midi du 9 juillet, se précipita avec le corps des grenadiers dans la nuit du 9 au 10. avancer l'armée jusqu'à Znaim et couper les communications de l'est contre la ville. Le bataillon de grenadiers Hromada avait également effectué la marche de nuit susmentionnée avec l'archiduc. Après avoir atteint Znojmo, l'archiduc Karl ordonna immédiatement à la brigade Steyrer d'occuper Teswitz, car le corps de Marmont avançait déjà depuis Lechwitz. GM. Steyrer est monté sur les hauteurs à l'est de Teswitzet immobilisa ainsi l'avancée de l'infanterie ennemie. Marmont, cependant, se rendant compte que seules des forces faibles lui faisaient face, fit attaquer les grenadiers autrichiens de front et de flanc par environ 14 000 hommes. Malgré cette supériorité, GM a réussi. Steyrer avec ses quelques bataillons pour tenir cinq heures dans la bataille inégale ! Mais alors la supériorité numérique des Français les oblige à battre en retraite via Teswitz. La brigade s'était déjà retirée à la sortie du village lorsque l'ennemi pénétra de tous côtés contre le bataillon de grenadiers Hromada, qui formait l'arrière-garde. Mais ce bataillon a participépersévérance héroïque trois attaques ennemies près de l'ouest de Teswitz 1) Les données exactes n'ont pas pu être trouvées. pg 258

Bataille de Schöngrabern le 10 juillet. OI. Pour la bataille de Znojmo le 11 juillet. et y resta jusqu'à ce que les autres bataillons de la brigade se reforment. Ce soir-là, le généralissime vint à la brigade Steyrer, dit ses remerciements et cria aux grenadiers : « Ce sont mes vieux soldats d'Aspern ! « Le bataillon de grenadiers avait perdu 185 hommes en tout. La relation de combat GM. Steyrers a nommé le commandant du bataillon Baron Hromada, les capitaines Kral et v. Lingauer, les premiers lieutenants Dilg et Klein, les lieutenants Horak, Prohaska et Rosany du régiment de Lindenau comme « excellents ».Alors que les grenadiers combattaient glorieusement près de Znaim, le régiment de Lindenau, en tant qu'arrière-garde du V Corps, marchant à la file de la colonne de l'armée de Stockerau à Znaim, a été contraint de combattre au nord de Schöngrabern, dans lequel il a perdu un total d'environ 70 hommes . Dans la nuit du 11 juillet, le régiment Lindenau arriva à Znojmo, où l'archiduc Karl avait rassemblé son corps en prévision d'une attaque. Le 11, l'armée autrichienne occupait une position couvrant la ville de Znojmo du sud à l'est au nord-ouest : l'aile droite, près de Znojmo, Klosterbruck et Alt - Schallersdorf, était formée par le V Corps. En connectionà sa gauche, via Teswitz, Kukrowitz et Winau, se trouvaient les autres corps. Cette position est aussitôt attaquée violemment du sud-est après la suppression du pont de Thaya entre Alt- et Neu-Schallersdorf par Masséna et du nord-est par Marmont. Cependant, il a été possible de repousser les attaques, malgré le fait que Masséna avait déjà atteint la ville dans l'après-midi. Le comportement et les activités du régiment de Lindenau sont mieux expliqués par Colonel c. Pflüger au commandement du corps pour plus d'informations. Celui-ci se lit dans son intégralité : »Relation)» sur le comportement du régiment de Lindenau le 11 juillet dans l'affaire>par Znaym. « A 6 heures du matin le régiment était constitué comme suit : « Le premier bataillon sur ordre exprès écrit de Sr kais. Altesse du généralissime à Brenditz sous le commandement du capitaine baron Hauer détaché. « Deux divisions de l'aile droite du deuxième bataillon sous mon commandement ont été installées dans les vignes devant la ville de Znaym à gauche et la sixième division à droite de la Chaussée dans les vignes. « Quand le feu ennemi a commencé, un bataillon du Gradiscaner Border Regiment s'est avancé à ma gauche et s'est impliqué avec les tirailleurs ennemis, est resté dans une pièceTemps sans repousser l'ennemi 1) KA. , FA. 1809 Allemagne Armée principale VII 200. pg.259

« Dans le même poste. Maintenant, afin de mieux entretenir le feu et de démolir l'ennemi, j'ai envoyé une compagnie en renfort. L'ennemi n'a pas voulu quitter sa position jusqu'à ce que « j'aie fait prendre d'assaut les 3 autres compagnies et l'ennemi a été projeté en toute violence par la détermination et le courage de cette troupe. « En même temps, la sixième division avançait sous le commandement du major von Janda aussi, avec une rapidité audacieuse et un jeu retentissant, « dans ces vignes, rejeta l'ennemi avec impétuosité dans la partie la plus basse du monastère de Bruck. > Ayez-vousL'officier en chef du Janda, le lieutenant et adjudant de bataillon Kurz et l'adjudant régimentaire Pollatzek, a été particulièrement honoré et a fait preuve de détermination et de courage inébranlable. « Le neuvième bataillon était initialement situé à 6 heures du matin sur le pont avant de Thaya jusqu'à ce qu'il soit retiré. Après le pont détruit, cependant, il s'est retiré jusqu'à la remise et vers la porte de Znaymer, sur quoi le même, que l'ennemi, le Thaya avec la plus grande supériorité, tant avec la cavalerie que l'infanterie, bénéficiant de la plus forte pluie d'orage, qui, »Après l'incendie qui durait déjà depuis longtempsPlus tôt les fusils à feu empêchaient l'action nécessaire, quatre compagnies de l'aile droite étaient réunies sous le commandement du lieutenant-colonel Nennel dans les vignes de la Chaussée à droite avec le 5e bataillon de volontaires de Vienne sous le commandement du major comte Salins »Renvoi à travers les vignes et ils repoussèrent l'ennemi de l'autre côté de la rivière avec la vitesse la plus déterminée. "Maintenant que l'ennemi avec une force supérieure à la fois à Cuirassier et" l'infanterie a rebondi avec impétuosité et le retrait de nos troupes " devait commencer, la neuvième division se tenait avec cinq pelotons devant la porteContre Brucker Strasse 3 trains de l'aile gauche se sont alignés > à gauche du faubourg dans les vignes pour recevoir l'ennemi. >> Un important détachement de cuirassiers français fait exploser en "Massa avec une grande hardiesse sur la route jusqu'à la porte de la ville", lorsque les 5 pelotons de cette division debout à droite devant la porte forment> une masse, environ 40 une décharge opportune et bien placée fit de même, et les rejeta avec la plus audacieuse rapidité et une perte considérable. « Ces cuirassiers ont essayé plusieurs fois, mais ils sont devenus sous le commandement du lieutenant-colonelNennel, Hauptmann Buttoracz et Seerieder rejeté à tout moment. « Lorsque deux canons sortirent avec l'appui alterné de divisions de grenadiers et de volontaires de Vienne et que le lieutenant-colonel Nennel fut plissé, la neuvième division avança en tirailleurs », se dissolvant dans les vignes à droite et à gauche de la rue, toujours à l'assaut de l'ennemi et l'a complètement déplacé de sa position. pg 260

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Re: IR29

Message par MarbotsChasseurs » Lun Juil 26, 2021 6:40 pm

> La sixième division s'est réunie et a entretenu un feu très utile avec ce groupe. Des cartouches fraîches ont été prises à quelques reprises et l'ennemi a été maintenu dans sa position suivante jusqu'à ce que l'armistice soit atteint, en particulier par ces deux braves bataillons.Dans le troisième bataillon, le lieutenant-colonel Nennel, le capitaine Buttoracz, Seerieder se sont distingués et ont été les plus inébranlables. et la détermination étaient parfaitement affichées. "Jusqu'à présent la même chose a été dite du 3e bataillon sur la Hornerstrasse> aucune nouvelle n'a dû être reçue." La perte des 2e et 3e bataillons consiste en celui plissé dans cette « batailleLieutenant-colonel Nennel, 2 lieutenants, 5 officiers, "puis 2 lieutenants et 5 officiers ont été capturés, finalement 22 morts", 206 plissés et 181 prisonniers de l'équipage. ) "Rien de moins que le fait que l'homme fini" entend vanter ses propres mérites "ici, le même se flatte d'avoir contribué non peu à l'issue heureuse de cette bataille par les arrangements qu'il a pris avec le régiment et le travail qu'il a accompli a attesté de" et est recommandé une recommandation gracieuse. > Camp Paulitz le 13 juillet 1809. »Du colonel Pfüger. «Pour son comportement particulièrement courageux et déterminé lors de la bataille de Znojmo, le caporal a reçuFranz Walnöfer la médaille d'argent pour la bravoure. ? ) La bataille de Znojmo fut la dernière de cette campagne. Dans la nuit du 11 au 12 juillet, les négociations d'armistice commencent et une ligne de démarcation est établie. À l'exception du V Corps, qui occupait ce dernier, le corps restant s'est déplacé vers un camp près de Budwitz sur Iglauer Strasse. Le régiment de Lindenau a pris des cantons à Paulitz (20 km non loin de Znojmo). Le 13 juillet, un ordre de l'armée annonçait la conclusion d'un armistice - - Selon cet accord, les districts de Znojmo et Brno devaient être évacués par l'armée. L'archiduc a donc déplacé les forces armées autrichiennes àla zone autour de la Bohême et de la Moravie Trübau. Le régiment de Lindenau a commencé la marche le 27 juillet et s'est réuni à Abtsdorf et Ditters le 31 juillet. village nord-ouest de la Moravie - Trübau a. 1) Blessé : Lieutenant-colonel c. Nennel, les capitaines Concoreggio, le baron Rabenau-Nordeck, le lieutenant Alois Littomirsky et les enseignes Ambros, Dorner, Angermayer et Prinz. Les capitaines Wenzel Littomirsky et Claus, Oberleutnant Jerschina, les lieutenants Reusch, Wolf, Schwabe et Pietrowsky furent faits prisonniers de guerre. 2) Commission des médailles, 8 octobre 1809. Le certificat de bravoure n'y figurait plus. pg 261.

Comme les conditions de l'empereur Napoléon étaient très dures, la conclusion de la paix a été retardée jusqu'à l'automne et on s'est senti obligé de garder l'armée ensemble au cas où. Afin de protéger la Bohême et la Silésie, un corps est resté le long de la frontière, mais toute l'armée principale a été entraînée à travers les Carpates dans la vallée de Waag et y a été transférée dans les cantons. Le régiment Lindenau arriva à Tyrnau le 13 août et, selon un nouvel ordre de bataille, appartenait à la brigade GM. Reinwald et Division FML. Weissenwolf du V Corps Prince Reuss. Paix de Vienne Après trois mois de négociations, la paix de Vienne intervient le 14 octobre et marche en arrièrese tenait debout. L'Autriche dut céder Salzbourg, Berchtesgaden et l'Innviertel à la Bavière ; à la garnison de la paix. Carinthie, Carniole, Gorizia, Frioul, Trieste, Istrie, une partie de la Croatie et de la Dalmatie, Napoléon a formé l'état d'Illyrie composé de sept provinces, qui a été annexé à la France. De plus, certains lieux bohèmes de Saxe, de Galicie occidentale et de Cracovie ont été cédés au duché de Varsovie, nouvellement créé par Napoléon en 1807, et une partie de la Galicie orientale à la Russie. De plus, l'Autriche devait payer 85 millions de francs d'indemnité de guerre et rejoindre le système continental. Jusqu'à ce que le territoire de la monarchie soit complètement libéré par les troupes françaisesl'armée resta dans les cantons précédemment tenus. Le régiment de Lindenau n'a quitté ses quartiers qu'au début du mois de novembre et est venu à Ober - Krupa, Moravan, Radnowitz, Banka, Hubina, Beina et les environs de Topolczan. Le 19 novembre, l'état-major du régiment se rend à Freistadt, les Ba taillons à Topolczan, Nemeczik et Jomincz. Le 25 décembre, la marche vers la garnison de la paix a commencé. Le régiment Lindenau atteint Brno via Nádas, Szenicz, Holics, Czaikowitz, Saroschitz et Austerlitz le 2 janvier 1810, où la population accueille avec jubilation les retours des guerriers. Un brillant bal remis au corps des officiers par les dignitaires de la ville, ainsi queun repas de fête pour l'équipage du régiment a exprimé la joie du retour du régiment d'attache. pg 262

Finished! Les histoires régimentaires autrichiennes sont toujours si détaillées et bien meilleures que beaucoup d’histoires régimentaires Français!

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Bernard
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Re: IR29

Message par Bernard » Lun Juil 26, 2021 7:16 pm

Génial!
Pourrais-tu m'envoyer la même chose, mais l'original en allemand.
La traduction automatique me laisse parfois rêveur... :roll:
Encore merci.
:D :D :D
Être et durer!

vania
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Re: IR29

Message par vania » Mar Juil 27, 2021 2:24 pm

Merci... :)
Jean-François.
Seule l'inaction est coupable...

MarbotsChasseurs
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Re: IR29

Message par MarbotsChasseurs » Mar Juil 27, 2021 5:19 pm

Nach der Niederlage Österreichs bei Austerlitz , welche Napoleon von seiner bedeutendsten Ursachen des Gegnerschaft entlastete , griff der große Korse mit ungeheurer Gewalt in die Geschicke der

Krieges . Staaten Europas ein . Es schien , als ob mit Österreich das letzte Bollwerk gegen schranken lose Willkür gefallen wäre .

Preußen war nach Jena , Auerstädt und Eylau fast vernichtet . Die Armeen von Ruß land , welches sich dem erstgenannten Staat angeschlossen hatte , wurden bei Eylau und Fried land von den Franzosen niedergeworfen . Die königlichen Familien von Portugal und Spanien wurden von Napoleon aus ihren Ländern vertrieben , die Dynastie von Neapel des Thrones verlustig erklärt und die weltliche Macht des Papstes aufgehoben . Die meisten Einzelstaaten des heiligen römischen Reiches drückte Kaiser Napoleon zu nur von ihm abhängigen Gebilden herab , denn mit Ausnahme von Österreich , Preußen , Hessen und Braunschweig schlossen alle deutschen Fürsten den sogenannten » Rheinbund « , dessen Protektor der Franzosenkaiser war .

Auch Österreich , welches durch den Preßburger Frieden 1805 beinahe sein ganzes Küstengebiet verloren hatte , blieben weitere Demütigungen nicht erspart . Im Jahre 1807 wurde die Monarchie mitten im Frieden plötzlich zur Abtretung der Grafschaft Monfalcone an das König reich Italien und zur Erteilung von militärischen Zugeständnissen an Frankreich im Litorale gezwungen .

Nachdem ganz Europa durch Napoleon gedemütigt war , hob sich das schwer geprüfte Österreich noch einmal empor , um , getreu seiner seit 18 Jahren unvergessenen Rolle als Vorkämpfer für Recht und Gerechtigkeit , die Macht des großen Korsen in Schranken zu zwingen . Noch einmal rief der Kaiser die Völker der Monarchie zu den Waffen , denn es sollte die ganze Kraft aufgeboten werden , um über Ströme von Blut , über grenzenloses Menschen elend hinweg , mit unberechenbarem Aufwand von Geld und Habe , über die Frage von Sieg oder Niederlage endgültig zu entscheiden .

Österreichischerseits beschloß man , die Entscheidung mit der unter dem Kommando des Operations Erzherzogs Karl stehenden Armee in Deutschland zu suchen .

pläne . Kaiser Napoleon hatte schon 1808 , als er infolge der Rüstungen Österreichs einen Krieg voraussah , die Bildung einer Rheinarmee und das Zusammenziehen aller in Deutschland befindlichen französischen Kräfte im Raum um Bamberg angeordnet .

Erzherzog Karl sammelte die österreichische Hauptkraft im westlichen Böhmen , um die bei Bamberg stehende Gruppe der Franzosen zu schlagen , bevor die Rheinarmee herangekommen wäre . Aber noch während der Aufmarschbewegungen , in der ersten Hälfte März , traf die Nach richt ein , daß die Franzosen im Begriffe seien , sich im Raume Regensburg - Ingolstadt zu vereinigen .

Der Erzherzog ließ hierauf den bisherigen Operationsplan fallen und beschloß , die ganze Armee südlich der Donau zu konzentrieren und dann in den Raum südwestlich Regensburg vorzurücken . Nur zwei Korps sollten von Böhmen aus direkt auf Regensburg vorgehen . Anfangs Februar wurde der Mobilisierungsbefehl erlassen . Gleichzeitig Mobilisierung

des Regiments erhielt das Regiment auch die Weisung , das dritte Bataillon auf sechs

Märsche . pg 251

Kompagnien zu komplettieren . Zu diesem Behufe rückten die bisher in Galizien gestandenen zwei Kompagnien des dritten Bataillons wieder zum Regimente ein und außerdem wurden noch zwei sogenannte » Augmentierungskompagnien « aufgestellt .

Zur Führung des Ersatzgeschäftes während der Abwesenheit des Regiments im Felde , formierte man eine aus zwei Kompagnien bestehende » Depotdivision « , welche in Brünn bequartiert wurde .

Ende Februar wurden alle Truppen nach französischem Muster in acht Armeekorps eingeteilt und diese längs der Westgrenze von Böhmen und Oberösterreich zusammengezogen .

Die Füsilierbataillone des Regiments Lindenau waren in der Division des FML . Schustek des V. Armeekorps unter Erzherzog Ludwig , später FML . Fürst Reuss , eingeteilt . Das Kommando über das Regiment führte seit der Ernennung des Oberst v . Hammer zum Generalmajor der Oberst leutnant Philipp Pflüger v . Lindenfels . Die zwei Grenadierkompagnien wurden mit den Divisionen der Regimenter Kaiser Nr . 1 und Württemberg Nr . 38 in ein kombiniertes Grenadierbataillon zusammengefaßt , über welches anfänglich der Oberstleutnant Prinz Hohenlohe des Regiments Kaiser Nr . 1 , später aber der von Argenteau Infanterie Nr . 35 zum eigenen Regiment zutransferierte Major Freiherr v . Hromada das Kommando führte . “ ) Das Grenadierbataillon gehörte zur Brigade GM . Steyrer , welche im I. Reserve korps G. d . K. Fürst Liechtenstein eingeteilt war .

Die drei Füsilierbataillone und die Grenadierdivision hatten schon seit Mitte Februar Marschbereitschaft gehabt . Am 27. Februar traten sie den Marsch nach Böhmen an . Die Füsiliere erreichten , über Schwarzkirchen , Gr . - Meseritsch , Regens , Iglau , Deutschbrod , Habern und Czaslau vormarschierend , am 7. März Plaňan .

Als die ganze Armee auf Grund der mittlerweile beim Gegner erfolgten Konzentrierung den Abmarsch nach Oberösterreich begann , machte auch das Regiment Lindenau die große Verschiebung mit . ) Am 8. März marschierte es wieder von Plaňan ab und kam noch am selben Tag nach Mnichowitz . In den nächsten Tagen wurde Beneschau , Milčin , Tabor , Wessely , Budweis und Weleschin passiert und am 23. März Rosental erreicht . Am 28. März setzte das Regiment die Märsche fort und traf am 8. April in Pfaffing ein . % ) Das Grenadierbataillon war mit dem I. Reservekorps von Iglau , wo sich letzteres gesammelt hatte , über Neuhaus , Wittingau , Weitrach und Linz nach Taufkirchen marschiert und traf dort am 8. April ein.4 )

^ ) Im Kriege 1809 wurde wieder auf die alte Geflogenheit der kombinierten Grenadier bataillone gegriffen . Die Grenadierdivisionen aller Infanterieregimenter wurden in kombinierte Bataillone und diese in Grenadierbrigaden zusammengezogen .

2 ) Lindenau war ursprünglich im III . Korps eingeteilt gewesen , welches sich um Prag sammelte . Erst mit der Verschiebung nach Oberösterreich trat es in den Verband des V. Korps .

8 ) Die Märsche führten über Rosenberg , Droschelsdorf , Niederkulm , Freyling , Markt Trenk , Lambach , Mayerlambach und Neuhofen .

4 ) Es ist wegen der wenigen aktenmäßigen Überlieferungen nicht möglich , die Tätigkeit der Grenadiere Lindenau während des Feldzuges genau zu registrieren . Die Darstellung der Ereignisse , bei welchen dieser Teil des Regiments mitwirkte , kann daher nur in großen Zügen erfolgen . pg 252

Am 9. April erfolgte die Kriegserklärung Österreichs an Frankreich ; Einmarsch in am nächsten Tag überschritt die österreichische Armee den Inn in drei fecht bei Rohr Kolonnen .

Das Regiment Lindenau war , im Verband des V. Korps , in der linken Flügelkolonne eingeteilt und marschierte über Braunau und Mühldorf nach Landshut . Nach dem Zurückweichen der hinter der Isar gestandenen Bayern wandte sich der Erzherzog , in Unkenntnis davon , daß Napoleon bereits südlich Ingolstadt stehe , mit drei Korps gegen Nord , um im Verein mit den direkt von Böhmen herabmarschierten zwei Korps die bei Regensburg ver muteten Franzosen zu schlagen und ließ zur Deckung gegen West das V. , VI . und II . Reservekorps unter FML . Hiller zurück .

Das Regiment Lindenau erreichte am 19. April die Gegend von Siegenburg

Am 20. griff die Hauptmacht Napoleons unvermutet den isolierten und lockeren linken Flügel der Österreicher unter Hiller an . Die an der Abens vorne stehenden Teile des V. Korps wurden bald geworfen und zogen sich in Unordnung auf Rohr zurück , wohin der Korpskommandant Erzherzog Ludwig die Division des FML . Schustek , in welcher das Regiment Lindenau eingeteilt war , zur » Aufnahme der Retirierenden « disponierte . Die Division wurde aber alsbald von einer ganz unverhältnismäßigen Übermacht angegriffen , nach zähem Widerstand geworfen und hitzig verfolgt .
Es läßt sich aus den spärlichen Überlieferungen nicht ersehen , in welcher Art das Regiment Lindenau am Kampfe beteiligt war . Nur die Verluste , die es erlitten , sprechen für eine intensive Beteiligung am Gefechte . Das Regiment verlor :
Tot : 6 Mann . Verwundet und gefangen : Hauptmann Andreas v . Vetter ) ,
Oberleutnant Josef v . Werndl , die Unterleutnants : Franz Fischer ,

Jakob Humulla ,
Josef Graf Pestalozzy , Fähnrich Anton Herrmann

und zirka 200 Mann .

In Kriegsgefangenschaft gerieten : Kapitänleutnant Schaupel und zirka 312 Mann .

Trotz eingesetzter Verstärkungen konnten die Franzosen in ihrem Siegeslauf nicht mehr aufgehalten werden . Nach einem bis in die späten Abendstunden dauernden , rückgängigen Gefechte wurde trotz der allgemeinen Ermüdung und der bereits eingetretenen Dunkelheit der sofortige Rückzug an die Isar befohlen .

Am 21. langte aber , fast gleichzeitig mit dem an der Queue marschierenden V. Korps , auch die Tete der Franzosen bei Landshut an wodurch sich FML . Hiller veranlaßt sah , den Rückzug sogleich fortzusetzen . Das Regiment Lindenau mußte daher , ohne Abkochen und ohne Rast , die seit dem Vortage früh ununterbrochen andauernde Bewegung wieder fortsetzen . pg 253

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