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Concernant le modèle de grenade prise en photo, c'est une MK2 US. Elle entra en service dans sa version initiale à la fin de la 1ère GM pour être retiré au début des années 80. Utilisé normalement comme grenade à main, on pouvait la placer sur un empennage, pour pouvoir être tirer à l'aide d'un fusil (Springfield et Garand, puis par la suite la carabine USM1 ). En tir courbe, la grenade pouvait être tiré à envions 300 m.



Pour en revenir à la grenade, son corps en acier était pré-fragmenté pour faciliter son éclatement. Les plus gros éclats pouvaient être projetés à une cinquantaine de mètres.

Pour revenir à ma présentation, le cas 1 est est celui des LF initiaux 1ère GM et début de 2ème GM, on tire le liquide puis en final le jet d'H2. Ce système visait à éviter les absorptions de flamme et de cramer le pionnier comme un vulgaire skaven Le système 2 est l'évolution, il y a tir et jet de H2 simultanés.

concernant l'efficacité de l'arme et ses risques, il faut avoir à l'esprit qu'un LF ce n'est pas uniquement un jet enflammé mais quelque chose qui en lieu fermé accroit la température (le machin fait 800° à confirmer) et enflamme les vêtements sans contact direct. Pour les risques les pionniers ou sapeurs progressent sous la couverture de fumigènes. Quant à la reconnaissance, les pionners allemands portaient une flamme stylisée sur leur cols.

Pour les grenades, il convient de signaler la particularité des presse-purées teutons. A la base se sont des grenades offensives (effet de souffle) sur lesquelles peuvent se fixer des manchons en acier pré-fragmentés les transformant en grenades défensives à fragmentation.

Cas particulier des grenades françaises modernes ou presque, les grenades défensives sont quadrillées à l'intérieur pour "respecter la convention de genève" qui n'y voit que des grenades offensives.

un site : http://humanbonb.free.fr/indexGrenades.html

Bonour,

pour les grenades, il y a le petit lien suivant.

http://books.google.fr/books?id=3nk-AAA ... q=&f=false