Les deux armées se cherchent depuis plusieurs jours mais c’est sans vraiment choisir le terrain que la bataille va s’engager.


Le petit village de Farh Inn va célèbre pour son moulin Le moulin


voir devenir alors le théâtre d’un terrible affrontement.

Les catholiques arrivent en deux groupes. Le premier par la route principale et le second par le pont d’Overtheflo étonnement encore intact.


Rapidement les cavaliers des deux camps se mettent en position suivis par l’infanterie et l’artillerie (surtout catholique, les canons protestants semblants avoir été bloqués par les piétons).



L’infanterie parlementaire se met rapidement en ordre de bataille et forme une ligne assez dense.






De leur côté les catholiques déploient leur corps secondaires à l’est du moulin.

Alors que le principal corps se place le long de la route principale. L’artillerie est très vite opérationnelle et provoque quelques dégâts dans les rangs parlementaires.


Du côté du comte Luck l’engagement est plus rapide. La cavalerie qui est déployé profite de sa supériorité numérique pour engager son homologue protestante.

Le succès est là et malgré des pertes non négligeables il emporte la décision.

Une tentative de contournement par le moulin des dragons est bloquée par les écossais

Mais la cavalerie parlementaire s’effondre et un trou est créé dans le flanc droit.

Sur le front principal la ligne de bataille parlementaire est prête.

Les ennemis se font face sur la route dans les bois et à l’ouest du bois.


Les bleus peuvent enfin bénéficier du soutien de leur artillerie. Mais les tirs sont rarement précis.

Les combats s’engagent alors. La bataille fait rage et le centre parlementaire semble vaciller il est alors au bord de la rupture.


En plus l’art catholique soutient efficacement ses troupes et continue à piquer efficacement les flancs ennemis.

Voyant la situation lui échapper le valeur Martins lance alors de manière assez odacieuse une manœuvre de contournement qui enferme plusieurs régiments ennemis dans un affrontement final épique infligeant de nombreuses pertes.

Cette manœuvre de la dernière chance est payante et les parlementaire arrachent un match nul les deux camps atteignant leur point de rupture le même tour.
Au final la règle (A splendid victory) n’est pas désagréable mais il manque pas mal d’aspects. La partie quant à elle était vraiment chouette (tendue et sur une table de belle qualité).