Et du degré d'hygrométrie ? De l'altitude et de la densité de l'air ? Comme pour les snipers
Sans oublier la qualité de la poudre et sa vitesse de combustion
Thierry, j'admire ton travail de réflexion, mais "la perfection n'est pas de ce monde".
Jacques a raison, de simples règles météorologiques peuvent assez parfaitement représenter le "brouillard de la guerre"
et la "friction" Clauzewitzienne.
Peut être s'inspirer des règles que l'on trouve dans les simulations des combats navals ? Mais est-ce vraiment nécessaire
Gboue partisan du raisonnable
