Il en manque peut être. Dans ce cas, faites le savoir rapidement. Le poste est clos pour l'instant et vous ne pouvez pas répondre. Je L'ouvrirais dans les prochaines 24 heures. Attendez cette ouverture pour voter (au cas où il manque des projets.
J'ai essayé de présenter les textes qui m'ont été envoyé.
Bonne lecture et bon choix

Stéphane
UCHRONIE guerre de 7 ans (Belliludis)
Pour ma part je suis prêt à suivre n'importe quel projet. Cela fait longtemps que je souhaite participer à un projet de grande ampleur un peu comme ceux que mènent à terme certains clubs anglais.
Je laisse aux autres le soin d'apporter des projets historiques importants. Mais il serait peut être aussi intéressant d'explorer une autre approche, quelque chose "d'uchronique", le terme n'est pas le bon mais je n'en connais pas d'autre, sur le style de ce qu'on peut voir déjà sur le net en s'appuyant sur la guerre de 7 ans.
Cela consiste à prendre une période et à inventer des conflits et des nations qui n'ont pas existés.
Cela offre de nombreux avantages comme tu l'imagines bien, dont :
- laisser parler son imagination et notamment inventer un pays, ses dirigeants, son armée, ses uniformes. C'est quelque chose qu'on ne peut bien sur pas faire quand on s'en tient à l'Histoire.
- du coup il n'est pas besoin de coller au plus près à un champ de bataille et à un OdB, avec les contraintes que cela implique (peindre tant de tel troupe, tant d'une autre, avoir tel décors, et que se passe t'il si on ne les a pas). La chacun amène ce qu'il a pu préparer (si possible un nombre kolossaaaal de figurines bien sur ^^) et on fait avec ce qu'on a sans avoir passé l'année à essayer de suivre un planning strict et contraignant.
Sinon on peut aussi s'attaquer à des périodes délaissées du jeu d'histoire, je pense notamment aux guerres de religion. Bien sur les batailles ne mettent pas en jeu des effectifs très important, mais il suffit de jouer à une petite échelle pour engager de nombreuses figurines.
Dans le cas ou les avis s'orienteraient vers l'ACW on pourrait aussi faire quelque chose d'hypothétique en y intégrant une intervention des nations européennes sur le champ de bataille.
Quoi qu'il en soit tant qu'il y a beaucoup de figurines et une ambiance à la franche rigolade j'en suis. Peut importe le flacon pourvu qu'on ait l'ivraie.
COLOMIERS 1814(Marc de Grinçomanoir)
ANTIETAM Sécession(Julien)Topo : Après avoir chassé les dernières troupes françaises d’Espagne, Wellington pénètre en France. Après avoir réorganisé son Armée, Soult choisit de livrer bataille à Toulouse. Deux lignes de défense sont érigées pour protéger les quelques quartiers de la ville sur la rive gauche de la Garonne. Le canal du Languedoc protège le reste de la ville. A l’est de celui-ci, les troupes françaises occupent le plateau du Calvinet et y disposent plusieurs redoutes avec de l’artillerie. Les anglais s'installent à Coulommier et le 4 avril se préparent à faire mouvement pour passer sur la rive droite de la Garonne lorsque les Français se présentent en ordre de bataille. Malgré son infériorité numérique, Soult à décider de risquer une bataille où, pour une fois, Wellington n'a pas choisit son terrain.
Si l'on se base sur les OB de la bataille de toulouse les anglo-portugo-espagnols sont environ 50000, les français 40000 donc un peu inférieur en nombre mais ils ont l'avantage de la surprise au début du combat.
Suggestion de réalisation :
En 25 mm on pourrait se fixer sur une échelle de 1/100e (environ 500 alliés et 400 français)
En 15mm on pourrait se fixer sur une échelle 1/60e (environ 850 alliés et 660 français) ou 1/40e (environ 1250 alliés et 1000 français) .
En 6 mm on pourrait descendre au 1/20 (environ 2500 alliés et 2000 français)
Les avantages : la bataille est liée au lieu de la convention, les figurines sont faciles à trouver et les armées sont colorées.
Les désavantages : Il n'y a pas de zouaves
je suis pour la guerre de secession avec le scénario "miller's cornfield" (antietam)
bataille raisonnable (3 divisions nordistes contre 3 sudistes) avec un terrain ne demandant que des forêts, des barrrières un champ de mais et une chapelle.
les effectifs sont trés raisonnables (brigade entre 400 et 1000 hommes). ayant déja pas mal de 25 mm ACW a disposition (et je crois que d'autres aussi), c'est une bataille raisonnable a envisager
SOLFERINO]
BULL RUN SécessionSiaba a écrit :Préambule :
Le 24 juin 1859, à Solferino, les armées française et piémontaise remportent une importante victoire militaire, qui met fin à la guerre menée contre l’Autriche pour l’indépendance de la Lombardie, préliminaire à la création d’une Italie unifiée.
La bataille marque l’opinion publique internationale : Solferino laisse le souvenir de combattants des deux camps laissés sans soins sur le champ de bataille. Le Suisse Henri Dunant propose alors la création d’une organisation permanente chargée de porter secours aux blessés de guerre, la Croix-Rouge.
Plus de 330 000 soldats ont combattu dans cette bataille, ce qui constitue le plus grand nombre depuis la bataille de Leipzig de 1813. Il y avait environ 150 000 soldats autrichiens et un total combiné d'environ 190.000 français et sardes
Autrichiens et Franco-Piémontais face à face
Le 23 juin, avec le gros de leurs troupes, les Franco-Piémontais, qui se trouvent depuis le début du conflit dans une position victorieuse, passent la Chiese et progressent vers l’est pour poursuivre les Autrichiens. Ces derniers, qui ont renforcé leurs effectifs, sont maintenant constitués en deux armées. Après plusieurs semaines durant lesquelles ordres et contrordres se sont succédé, ils reçoivent enfin de l’empereur François-Joseph l’ordre d’attaquer. Venant à la rencontre des Français, ils franchissent le Mincio et occupent une ligne de 12 km sur les hauteurs, avec au centre le village de Solferino. Mais, la veille de la bataille, les deux adversaires ignorent leur position respective. Napoléon III ordonne certes une reconnaissance en ballon qui révèle la présence de troupes sur la rive ouest du Mincio, mais les Français pensent qu’il ’agit d’une simple patrouille... Les Autrichiens ne sont pas plus renseignés, puisqu’ils croient Ers Français sur l’autre rive de la Chiese... Les arties n’attendent donc pas de rencontre entre Ers deux armées, qui sont, chacune, laissées en ormation de marche alors qu’elles progressent n réalité l’une vers l’autre.
Au nord et dans la plaine de Medole
rencontre, inévitable, se produit aux prefières heures du 24 juin. Alors que les Piémontais occupent au nord les bords du lac de carde, l’armée de Victor-Emmanuel se heurte au 8’ corps de Benedek. Contraints d’abandonner San Martino, les Piémontais parviennent bientôt à stabiliser le front. Benedek résiste à leurs assauts répétés, n’abandonnant Pozzolengo que vers dix heures du soir. C’est ailleurs que se joue la bataille décisive. Dans a plaine de Medole, les avant-gardes françaises, commandées par le général Niel, se retrouvent face aux unités de la I" armée de Nimpffen. Elles sont pratiquement seules ;ace aux coups de boutoir autrichiens. Les troupes de Canrobert, harcelées par les cavaiers adverses, tardent à les rejoindre. L’infanterie française résiste pourtant, et les combats w corps à corps contribuent à affaiblir l’ennemi. Dans l’après-midi, enfin, les 3 divisions Niel sont renforcées par les divisions Trochu et Renault ainsi que par les hussards et les chasseurs d’Afrique. Dans la plaine, cavaliers français et autrichiens s’affrontent au sabre.
L’espionne de l’Italie
Dès le début de la matinée, les Français s’emparent du mont Fenile, promontoire en face de Solferino, mais le 1" corps d’armée se heurte à la II` armée autrichienne, et le dispositif français est contraint d’effectuer un glissement d’ensemble vers le nord. La bonne coordination des mouvements révèle la solidarité des généraux et l’efficacité accrue du commandement français. Des unités du 2’ corps d’armée de Niel peuvent ainsi soutenir les attaques du maréchal de Baraguay, qui s’efforce d’enlever la tour de Solferino, surnommée espionne de l’Italie ». À flanc de colline, les hommes combattent à l’arme blanche. Napoléon III décide de porter alors le coup décisif en enfonçant le centre ennemi.
En dépit de la supériorité de l’artillerie française, c’est en fait un mouvement de contournement en direction de Cavriana qui se révèle décisif. Il permet à la Garde et à une division de s’emparer du mont Cyprès, où sont installées les batteries autrichiennes qui protègent la tour.
La division division Bazaine enfonce la ligne de défense adverse et s’empare du cimetière. La Garde s’empare de la tour et occupe le village, faisant 1 500 prisonniers, surpris par le mouvement français. Après une interruption provoquée par un violent orage, les 1er et 2eme corps d’armée et la Garde s’enfoncent dans les lignes autrichiennes en direction du Mincio. La résistance autrichienne est acharnée. Dans la plaine, Wimpffen fait replier ses troupes.
Une victoire arrachée dans le sang
Dans les deux camps, le nombre des morts est considérable : 16 000 Français et près de 22 000 Autrichiens. Les condi- tions du combat ont rendu la bataille particulièrement sanglante, aucune structure médicale n’étant prévue pour faire face à l’afflux des blessés. Ni les cantinières, qui suivent leurs époux sur le champ de bataille, ni les rares officiers de santé ne suffisent pour organiser les ambulances. Malgré cette brillante victoire, Napoléon III renonce à poursuivre la campagne, qui doit logiquement mener à la conquête de la Vénétie autrichienne. Il est conscient de certaines faiblesses de son armée : manque d’artillerie de siège, carence du service de santé. Il craint surtout une intervention de la Prusse, qui mobilise sur le Rhin. Aussi propose-t-il à François-Joseph un armistice, qui est signé le 11 juillet à Villafranca. Lors de la signature du traité de Zurich, le 10 novembre 1859, Venise demeure autrichienne, mais la Lombardie revient à la France, qui la remet au Piémont. La déception, qui pousse Cavour à démissionner, est en fait loin d’entraver le processus unitaire : en mars 1861, Victor-Emmanuel est proclamé « roi d’Italie par la grâce de Dieu et la volonté de la nation ».
Siaba a écrit :Préambule :
Le jeu d’histoire ne se limite pas à la reconstitution de batailles. Je prends beaucoup de plaisir à faire des recherches sur les uniformes ou les ordres de bataille et à convertir des figurines.
Je voulais donc un projet qui puisse combiner de beaux uniformes (variés de préférence, histoire de ne pas peindre 300 figurines identiques), une situation tactique intéressante et une bataille assez connue.
Etant donné qu’il s’agit d’un projet commun, j’ai essayé de faire en sorte que chaque participant y trouve son compte et puisse s’y investir à son rythme.
Pourquoi Bull Run ?
Je me suis lancé dans la guerre de Sécession au mois de mai dernier et le fait de refaire une bataille de ce conflit me permettrait d’en avancer, au niveau de la peinture et des achats de figurines, dans cette période.
Le grand public connaît généralement deux batailles de la guerre de Sécession : Gettysburg et Bull Run. La première nécessitait des effectifs trop importants et n’est pas des plus passionnante tactiquement (attaque sudiste sur des positions nordistes). Il ne restait donc plus que Bull Run.
La bataille est assez atypique du reste de la guerre dans le sens où pas mal d’unités portaient les uniformes du temps de paix. Nous avons donc un florilège de tenues différentes et colorées avec des zouaves, des réguliers en grande tenue, des nordistes en gris et des sudistes en bleu.
Je suis bien conscient que tout le monde n’aura pas envie d’acheter, convertir et peindre des figurines qui ne peuvent servir que pour cette bataille. Aussi, je suis prêt à faire toutes les unités atypiques. Je dispose d’une solide documentation sur le sujet que je partagerais avec vous.
Effectifs et échelle de réduction :
J’utilise généralement une échelle de réduction d’une figurine pour 30 à 40 hommes qui permet, pour la guerre de Sécession d’avoir des unités ni trop petites (certains régiments ne regroupaient que 200 hommes) ni trop grosses (600 hommes maximum pour les régiments les plus importants).
Le « problème » de Bull Run est que cette bataille est la première de la guerre et que les unités de volontaires étaient à plein effectif : 600 ou 700 hommes en moyenne. Je propose donc qu’une figurine représente 50 hommes. Ca permet d’avoir des régiments de 10-12 figurines.
A l’échelle de la bataille, au 1/50° donc, il faudrait pour les confédérés 320 fantassins, 26 cavaliers et 6 canons (chacun représentant une batterie de 4 pièces) et pour les fédérés 250 fantassins, 5 cavaliers et 6 canons.
Ceci représente les troupes effectivement engagées dans la bataille. Si nous réussissons à peindre tout ça, nous pourrons ensuite envisager de peindre tout ou partie des unités nordistes qui auraient pu arriver en renfort (220 figurines au maximum).
Règle et soclage :
Pour la règle, au vu des spécificités de la bataille, j’opterais pour PRINCIPLES OF WAR. La règle est simple, facile à maîtriser et permet un jeu fluide et rapide avec une prise en compte de la reconnaissance et des capacités des généraux.
Bull Run est une bataille où le plan nordiste qui consistait à faire diversion en un point pour attaquer en un autre endroit a été mis à mal par une mauvaise coordination et par la lenteur des troupes (représenté à POW par les points d’activation). Les sudistes, par contre, ne savaient pas où se trouvait l’armée ennemi ni par où elle allait arriver. Là aussi, les bases de déplacement et les leurres de POW pourront représenter cet aspect de la bataille.
En ce qui concerne le soclage, nous pourrions adopter le système suivant :
- 3 ou 4 fantassins sur un socle de 6cm x 2,5 cm
- 2 cavaliers sur un socle de 6cm x 4 cm
- 1 canon et ses servant sur un socle de 6cm x 6cm
Table de jeu et décor :
Le sort de la bataille s’est joué sur Henry Hill mais l’armée nordiste aurait pu arriver sur une zone d’environ 9 kilomètres de long. Au niveau du champ de bataille, 3 kilomètres de profondeur semblent largement suffisants.
Nous pourrions donc rejouer la bataille sur une surface de 5,40m sur 1,80m. J’utilise des plaques de terrain carrées en polystyrène, de chez TSS, qui mesurent 60cm de côté. Il faudrait 27 plaques de terrain. J’en possède déjà 12 et j’envisage d’acheter les 15 restantes (mais si quelqu’un veut prendre cette partie du projet en charge en fabriquant le terrain, je n’ai rien contre).
Pour les décors, il faudrait des arbres, quelques maisons, un pont, des barrières et des murs pour border les champs…..bref, rien d’insurmontable.
Figurines :
Nous avons le choix tant au niveau de la qualité que des prix :
FOUNDRY fait des troupes pour le milieu de la guerre mais propose aussi des artilleurs et des fantassins en tenue du début du conflit.
PERRY MINIATURES propose des figurines en plastique, très peu chères et faciles à convertir. La gamme devrait s’étoffer encore plus d’ici 2009.
REDOUBT fait des figurines dont les têtes sont vendues séparément, ce qui permet de représenter la plupart des unités.
OLD GLORY a une gamme très large et pas chère. Quasiment toutes les unités, même les plus particulières, sont représentés. On trouve aussi des civils pour représenter les spectateurs de Bull Run. Et refaire la bataille de Bull Run sans les spectateurs c’est comme faire le champ de bataille de Valmy sans les moulins. L’achat de ces figurines me semble donc incontournable.
BATTLE HONOURS propose des zouaves en képi, en fez et avec turban dans sa gamme « 1859 ».
GUERRE DE LOUIS XIV(Stéphane)
Le thème:
Il peut porter sur les guerres de louis XIV en générale pas seulement sur une bataille en particulier mais on peut s'appuyer sur l'une d'entre elle à titre informatif pour guider les peintres genre Malplaquet pour communiquer sur l'anniversaire (300 ans)
Pourquoi?
Pour changer un peu de ce qu'on a l'habitude de faire en wargame avec des uniformes colorés et vifs (en tout cas plus que bleu Jean's, gris ou kaki), chamarrés et facile à peindre (peu de dentelles encore pour l'instant et équipement assez limité). De belles gammes de figurines existent pour cette période. Possibilité de les convertir pour de l'escarmouche pirates par la suite.
Toutes les échelles de figus sont envisageables.