P'tain, c'est génial tout cet amour, cette tolérance, ces jolis surnoms qu'on se balance au visage (ceux qui connaissent le Loulou, un très gentil bisounours, ont dû bouffer leur clavier sous le choc...

).
Mis à part 2-3 digressions, je crois que chacun a essayé de donner son avis sur la compatibilité entre l'Histoire et les tournois (Behaine, arrête-moi si je me fourvoie, je crois que c'était le sujet de ton post...), avec ses mots et par le biais d'un médium (le forum), qui ne favorise pas les nuances de langage ou d'intonation

. Encore que quand on dit "débile", doit pas y avoir d'autre signification

...
Bref, on connais tous un joueur de tournoi sympa (ou plusieurs !), et un joueur de démo qui est un gros con (ça doit être le cas dans d'autres domaines, y a pas de raison...). Personne ne dit que tous les compétiteurs sont antipathiques et arrivistes, ou que tous les démonstrateurs sont des gentils altruistes tous roses qui sauvent le monde-même pas moi...
Chacun donne juste un exemple de ses expériences, bonnes ou mauvaises, pour aider ceux qui se posent la question...
Alors ma réponse est la suivante : j'ai de mauvais souvenirs de certains tournois auxquels j'ai participé ou assisté, qui ne me poussent pas à récidiver à priori...Pourtant, je suis en train de me constituer plusieurs armées, qui me permettront de jouer à Fog, Wab ou impetus, donc si j'accroche au système et si je trouve une communauté de joueurs avec qui je m'entends, je n'exclue pas de faire des tournois futurs...
Mais je reste contre les batailles purement fantaisistes, même si elles servent le jeu et sont difficilement évitables dans un tournoi...(par exemple, à Fow, j'ai vu une superbe table enneigée accueillant une baston desert rats contre paras allemands en tenues normandie !).
C'est à mon avis le décalage principal entre historicité et tournoi : il est impossible de réunir seulement des armées ayant pu s'affronter, c'est pourquoi on trouve parfois des combats improbables et loufoques.
Craig, maître des ténèbres.
"Ecraser mes ennemis, les voir mourir à mes pieds, entendre les lamentations de leurs femmes."