David s'est peint cet été 1500pts de Suisses (quil compte rapidement monter à 2000pts) et hier soir, ils ont fait leurs premières armes face aux Chiens de Guerre de John Hawkwood (récement remasterisés
).Ces derniers ayant entendu parler du secret banquaire inviolable des Suisses chevauchèrent à brides et couilles rabattues vers leurs alpages, histoire de leur montrer que pour ces ribauds paillards, tout se viole !
Le déploiement :
Et le Suisses tapent le coup d'envoi, avançant leur ligne au centre les hallebardiers galopant allègrement sur le pont suivi de leur piquiers dont les fessards emgraissés au Neslé prenaient trop de place sur icelui, ce qui empécha l'unité de progresser à marche forcée (David avait déployé se piquiers sur un front trop large pour le pont, plutot qu'une reformation incompatible avce son plateau de mouvement on a décider qu'il ne pourrait avancer à marche forcée sur le dit-pont), l'autre unité d'hast elle, parti dans les bois chercher des champignons. Un régiment de piquiers longeait la rivière.
Son canon visant le mien, ses artilleurs firent mouche ! Las, son boulet rebondit sur le fut de ma pièce décapitant facétieusement un de mes artilleurs ! Le reste de ses tireurs ne fut pas encore à portée.
Alors que mon centre de pietons resserait les rangs, les denst et les fesses face à l'avancée suisse, ma cavalerie se portait sur le flanc, mes sergents profitant de leur manoeuvrabilité pour se mettre à porté de charge des troupes légères du Comte Han Bank (mouais, peut mieux faire, mais je ne peux pas avoir du génie à tous les coups
) tandis que l'unté de chevaliers accompagnant John Hawkwood tournait indécise autour du bois. Ma cavalerie subit des pertes négligeables au tirs qui saluèrent son avancée.
Les hallebardiers sortaient du bois ou débouchaient du pont, tout en prenant plein la poire au tir, tant de mes archcers que de mon arbalestrie (le canon fut à la ramasse, l'équipage étant sans doute trop occupé à détrousser le cadavre de leur malheureux compagnon), et les piquiers continuaient leur (lente) progression
Les sergents chargèrent bille en tête les arquebusiers helvètes, dont le tir de contre charge fut insuffisant pour insinuer le doute chez la soudarde cavalerie, et leur test de peur raté (rapellez vous les tirailleurs en médiaval son "couards", qu'ils aient bouffé du Nestlé ou non !) les canoniers à main détalèrent ; mes sergents redirigèret leur charge sur les arbalétriers, qui fuirent eux aussi ! Ca commençait à puer du slip pour le flanc gauche des Ouin-Ouin
Lassés d'en prendre plein la fiole, les hallebardiers quiltant l'abri très relatif du pont chargèrent mes archers, qui eux ne s'étaient pas prudement reculés à l'instar de leur petits camarades, trop occupés qu'ils étaient à déguiser les p'tits Suisses en hérissons.
Bon ce qui devait arriver arriva, discipline martiale et hallebardes briquées contre arc en bois et mauvaise haleine, l'esprit de revanche l'emporta sur le manque d'hygiène et les archers reçurent la monnaie de leur flèches, et détalèrent loin des lieux du massacre !
Mes propres hallebardiers (terme totalement... impropre
), complexés par l'écart de niveau avec les gars d'en face piquèrent un spint vers leur bord de table à leur tour.Hawkwood décida de venger cet affront en jetant sa cavalerie sus aux hallebardiers sortis du bois et mis avec ses hommes d'armes deux tours à anéantir ces tenaces guerriers, tandis que les sergents chassaient hors de la table les derniiers tirailleurs de David.
Mes archers à peine ralliés, furent à nouveau étrillés et promptement chassés de la table par leur bourreaux du tour précédant
Les servants de mon canon furent brillants, entre estimation et rebond (très peu debond rebond de part et d'autre ce soir la, mais
beaucoup de "misfire" sur le dé de rebond, cela semble être dû au légendaire nettoyage frénéique des suisses qui aurait rendu le terrain lourd. D'autres historiens, moins connus eux, évoquent le passage de Manon la Gueuse - celle qu'a jamais d'culotte quand chevalier sort son dard et décallotte ! - dont l'abondance de l'émotivité des régions septentrionnales lessiverait hommes et terrains partout ou elle serait passée ; certain lui mettrait sur le dos - chose improbable le dos de cette ribaude passant sa vie les jambes en l'air étant peu accessible - la défaite d'Azincourt !) mais - difficile de reprendre le fil après une telle disgression
- tirèrent un boulet en mousse qui fauchant 4 rangs ne blessa qun seul piquier :La preuve historique en image
Mes lanciers, goguenards de la lâcheté de leurs collègues vougiers (et encouragés par le fait que leur cible avait été plus dégarnie par l'arblestrie que le crâne d'un moine par les caresses de son chanoine, et qu'elle avait deux unités de cavalerie à promiscuité du derche !) chargèrent les piquiers, prirent une déculotée (et déculoter des routiers de la guerre de cent ans, 'faut pas avoir peu de se gerber sur les chausses ! Comme dit la chanson : "Pour 1 écu la ribaude se penche, on voit son cul et ses cuisses blanches. Pour 10 écus, la ribaude s'allonge, on r'nifle son cul et on jète l'éponge.") se replièrent les Suisses à leurs basques. Mais dans le tour suivant la vigueur martiale de ces piquiers fut égale à la réputation de vigueur plumardière des helvètes (pff, chuis pô près qu'ils m'envoient des chocolats
) et ils furent promptemnt étripés par mes lanciers, dont les arrières, menacés par les reliquat des hallebardiers suisses qui avait massacré les archers, furement bellement néttoyés par mon arbalestrie 
Bref une fois ce combat termnié la partie s'acheva, il ne restait plus aux Helvètes que leur piquiers d'élite cernés de tour part par le fer et le feu !
John Hawkwood et ses coupeurs de gorges allaient mettre le canton en coupe réglée en appliquant la procédure habituelle : le massacre, le pillage, le viol et l'incendie...
"inviolable, inviolable..." murmurait Sir Chymèlenga de Bigoine en luttant fébribrilement avec l'ouverture des régions sud de son armure de plates "Je vais te leur en foutre morbleu, de l'inviolabilité à ces ribaudes moi ! ", en se précipitant ventre à terre sur le village voisin
