[WAB] La dernière sortie de chez Véhemdée
Publié : Mer Déc 31, 2008 11:39 am
Et voila qu'à peine secs, j'envoie mes Vehemdées au charbon ! Ils allaient se colleter à la première armée de mon ami, collègue et disciple, Cyril (son prénom est plus court que le mien mais c'est normal, il est plus petit
)
Donc les Véhemdées (dont la liste se balade dans la galerie :face: ) allaient affronter 3 phalanges de Spartiates, flaquées d'une unité de Peltast et d'une autre d'archers crétois, une rapport en nombre de 2,5 contre un, ça allait être une boucherie...
Ah oui, le contexte historique :
Un vendredi soir avant JC (l'Histoire a oublié la date exacte :scratch: ) une colone de renfort Spartiate menée par le général Semballapas s'en allait rejoindre Léonidas pour un pique-nique aux Thermopyles, mais les cartes (vendues par un marchand phénicien du nom de Thébomonfils) les trahirent et les glorieux spartiates se perdirent dans la pampa.
Il tombèrent nez à nez avec une horde celte partie mettre à sac Rome (ils avaient eux aussi acheté les cartes de Thébomonfis)
Forcément, des mecs en jupette et dreadlock qui croisent des moustachus malodorants, ça part automatiquement en cacahuète
Le déploiement

Semballapas a organisé ses phalanges en colone, et fait garder ses ailes par ses troupes légères. Son cousin, Sembalaras, commande l'autre phalange. Starduhix quant à lui, a tenté un semblant de tactique (ou alors c'était au pif :suspect: ), avec un gros centre d'infanterie, un aile gauche de chars (qu'on voit pas sur la photo de famille) et de cavalerie lourde et du léger à droite.

Les Spartiates, face à une telle horde réalignèrent leurs rangs et s'avancèrent de front, les crétois alarmés par des aboiments pleins de ratiches d'un beau gabarit épinglèrent un chien de guerre.
Les chars et les frondeurs se ruèrent en avant sans suivre le plan subtil élaboré de Starduhix (qui était je le rappelle : On fonce dans l'tas !) mais dans l'ensemble la horde fit preuve de coordination martiale exemplaire (ou alors c'était un effet d'optique ).
Les Crétois, se virent rapidement entourrés de plusieurs bandes de d'jeuns et même qui z'avaient des chiens m'ssieur l'agent

Les chars eux, continuaient leur savant mouvement tournant


Sparte avança ses lignes, ancrant sa défense entre les deux bois, les Crétois shootèrent les tirailleurs les plus proches, faisant fuir au galop cette bande de gamins teigneux.
Les autres tirailleurs gaulois; chiens et cavaliers légers se ruèrent sur les Crétois et leur mirent un belle raclée (les chiens s'en sont payés un bonne tranche
), les archers prirent leurs jambes à leur cou, moustachus et autres crocs bavants sur leurs talons.

Les cavaliers de Roccossifrédix accompagnés de la grande bannière, Agadebigdix, ne purent lutter contre leurs instincts guerriers et chargèrent les peltasts, ceux ci lancèrent mollement leur javelots et furent massacrés sauvagement au coin du bois :silent:
Les fanatiques, attributs aux vent, se jetèrent alors sur la phalange de Sembalaras, constatant amèrement que des peintures de guerre, ça protège moins bien que des armures grecques, leur ardeur retomba comme comme la poitrine d'une majorette de ferme à qui l'on vient de dégraffer le soutien-gorge. Les pauv' gars se rendirent compte qu'ils étaient à poil et que les sculpteurs d'Old glory ne les avaient pas fait très glorieux, ils serrèrent les dents et les fesses et restèrent courageusement en place face à la phalange.
La suite après mon café

Donc les Véhemdées (dont la liste se balade dans la galerie :face: ) allaient affronter 3 phalanges de Spartiates, flaquées d'une unité de Peltast et d'une autre d'archers crétois, une rapport en nombre de 2,5 contre un, ça allait être une boucherie...

Ah oui, le contexte historique :

Un vendredi soir avant JC (l'Histoire a oublié la date exacte :scratch: ) une colone de renfort Spartiate menée par le général Semballapas s'en allait rejoindre Léonidas pour un pique-nique aux Thermopyles, mais les cartes (vendues par un marchand phénicien du nom de Thébomonfils) les trahirent et les glorieux spartiates se perdirent dans la pampa.
Il tombèrent nez à nez avec une horde celte partie mettre à sac Rome (ils avaient eux aussi acheté les cartes de Thébomonfis)
Forcément, des mecs en jupette et dreadlock qui croisent des moustachus malodorants, ça part automatiquement en cacahuète
Le déploiement

Semballapas a organisé ses phalanges en colone, et fait garder ses ailes par ses troupes légères. Son cousin, Sembalaras, commande l'autre phalange. Starduhix quant à lui, a tenté un semblant de tactique (ou alors c'était au pif :suspect: ), avec un gros centre d'infanterie, un aile gauche de chars (qu'on voit pas sur la photo de famille) et de cavalerie lourde et du léger à droite.

Les Spartiates, face à une telle horde réalignèrent leurs rangs et s'avancèrent de front, les crétois alarmés par des aboiments pleins de ratiches d'un beau gabarit épinglèrent un chien de guerre.
Les chars et les frondeurs se ruèrent en avant sans suivre le plan subtil élaboré de Starduhix (qui était je le rappelle : On fonce dans l'tas !) mais dans l'ensemble la horde fit preuve de coordination martiale exemplaire (ou alors c'était un effet d'optique ).
Les Crétois, se virent rapidement entourrés de plusieurs bandes de d'jeuns et même qui z'avaient des chiens m'ssieur l'agent


Les chars eux, continuaient leur savant mouvement tournant



Sparte avança ses lignes, ancrant sa défense entre les deux bois, les Crétois shootèrent les tirailleurs les plus proches, faisant fuir au galop cette bande de gamins teigneux.
Les autres tirailleurs gaulois; chiens et cavaliers légers se ruèrent sur les Crétois et leur mirent un belle raclée (les chiens s'en sont payés un bonne tranche


Les cavaliers de Roccossifrédix accompagnés de la grande bannière, Agadebigdix, ne purent lutter contre leurs instincts guerriers et chargèrent les peltasts, ceux ci lancèrent mollement leur javelots et furent massacrés sauvagement au coin du bois :silent:
Les fanatiques, attributs aux vent, se jetèrent alors sur la phalange de Sembalaras, constatant amèrement que des peintures de guerre, ça protège moins bien que des armures grecques, leur ardeur retomba comme comme la poitrine d'une majorette de ferme à qui l'on vient de dégraffer le soutien-gorge. Les pauv' gars se rendirent compte qu'ils étaient à poil et que les sculpteurs d'Old glory ne les avaient pas fait très glorieux, ils serrèrent les dents et les fesses et restèrent courageusement en place face à la phalange.
La suite après mon café
