- le touriste, il est là pour passer le temps, son armée lui est prétée par un copain (ou c'est lui qui l'a fait en dilétente - couleurs SNCF appliquées au rouleau ) liste moins qu'approximative, connaisance sur l'Histoire ou même de l'histoire au dessous du seuil de l'annecdote, il ne comprend pas grand chose aux règles et de toute façon il s'en fout ! Bon un gars pas emmedant ; mais pour celui qui se tape 400 bornes en un WE pour ne rencontrer que ce type d'adversaire finit par devenir serial killer de pompistes dès qu'il va faire son prochain pleinde gasoil

- le connard (appélation au demeurant variable, que l'on peut encore affiner en fonction de l'individu), qui s'adonne à la comptèt' pour palier une frustration. Lui, il connait les règles par coeur (surtout le petit aliéna de la dernère version qui vous la met dans le baba) , son armées sont optimisées à outrance (et pas forcement bien peintes), il flique odieusement tous vos déplacements les remesurant, hurlant comme un putois hystérique si un jet de dé qui vous est favorable n'a pas assez roulé à son goût, fait la gueule quand il joue, jubile comme un méchant de série B quand il gagne, pleure comme un martyre privé de dessert s'il perd : de toute façon si vous l'avez battu c'est parce que vous avez eu un chance de cocu, que votre armée c'est une honte de jouer avec un tel truc de bourrin-que-ça-ne-tiendrait-qu'à-lui-on-devrait- vous-interdire- de-tournois-après-vous-avoir-fait-boire-le-plomb-fondu- de -vos- fiqurines (l'émasculation au fer rouge et le massacre de votre famille, voisins, amis et descendance étant aussi envisageable). Ce genre d'individu quand on les rencontre, on se met franchement à regretter que notre cerveau reptilien ne prenne pas plus souvent le pas sur notre bonne éducation

- le passionné : heureusement majoritaire (sinon y'aurait une grosse pénurie de pompistes


On se demande ainsi où le connard à t'il bien pu faire ses armes, à moins qu'il existe un syndrôme Jekill ey Hyde dans le jeu d'Histoire.
L'inconvennient de la compét' est que l'on ne choisit pas ses adversaires (quoi que cela en deviendrait plus un problème si l'on écoutait plus souvent son cerveau reptilien
