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Bon, mais aucun d'entre nous n'avait un peu de pognon (pour un placement par exemple ) pour que ce galure ne parte pas à l'étranger ?
http://fr.ria.ru/world/20141117/202998436.html

salut,
je crois qu'il était déjà à l'étranger, chez nos voisins Grimaldi...
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Vendu aux enchéres hier et bientot parti en Corée du sud, chez l'empereur du poulet, il pourra toujours le mettre en photo sur ses étiquettes...qu'il s'étouffe avec
de toute facon c'est bien connu, pour les grimaldi l'argent n'a pas d'odeur...

je crois qu'il était déjà à l'étranger, chez nos voisins Grimaldi...

Ceci explique alors que l'état n'ait pu s'opposer à cette vente.
Même si à vol d'oiseau (un Aigle bien sûr ) Monaco est moins loin que la Corée, le chapeau n'était pas "résident" français.
Une épée que l'Empereur portait à Marengo a failli également partir à l'étranger, mais étant sur le sol français, les acheteurs potentiels (U.S. il me semble) n'ont pu mettre la main dessus...
C'est un français qui l'a récupérée.
A t-il payé l'I.S.F. suite à ça ?

La question est donc: comment ce chapeau á pu finir chez les Grimaldi? acheté á la famille Bonaparte?

Tiré de Wikipédia: peut être l'empereur lui a donné un chapeau...
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Honoré V Grimaldi, né le 14 mai 1778 à Paris et mort le 2 octobre 1841 dans la même ville, est prince souverain de Monaco de 1819 à sa mort.

Il est le fils d'Honoré IV de Monaco (1758-1819) et de Louise d'Aumont, duchesse de Mazarin (1759-1826).
Carrière au service de la France

Il s'engage à 20 ans dans la cavalerie française. Devenu officier, il est employé comme aide de camp par le général Grouchy puis, à partir de 1807 par Joachim Murat, alors grand-duc de Berg à la demande duquel il est fait « légionnaire » le 3 juillet 1807. Ayant suivi Murat en Espagne, il devient par la suite premier écuyer de l’impératrice Joséphine.

Au tout début de mars 1815, alors que Napoléon vient de débarquer sur les côtes françaises à Golfe-Juan, il rencontre par hasard Honoré-Gabriel de Monaco. La légende veut que l'Empereur, s’étant entendu répondre « Je vais chez moi à Monaco » aurait affirmé que lui aussi se rendait chez lui « aux Tuileries ».
Prince souverain de Monaco

Administrateur de la principauté au nom de son père dès 1815, il lui succède sur le trône monégasque quatre ans plus tard et règne jusqu'à sa mort en 1841. Fin juriste, il demande à « monégasquiser » les codes napoléoniens et développe considérablement le droit monégasque. Ainsi, le Code civil de Monaco adopté en 1815 et réformé en 1818, reste inchangé jusqu'en 1880. Célibataire et sans enfants légitimes, il a pour successeur son frère Florestan.
Descendance

Avec sa maîtresse, Félicité Pronault de Gamaches, il a un fils Louis Grimaldi (1807-1894) — ou Oscar Grimaldi (1814-1894) pour d'autres —, titré marquis des Baux par son père selon le droit monégasque.
Titres français

Il est fait baron de Monaco et de l'Empire par décret impérial du 15 mars 1810 sans lettres patentes. Ce simple titre de baron est le reflet des difficultés alors rencontrées par l'ancienne famille régnante d'une principauté annexée par la France de 1793 à 1814.

Par ordonnance du 4 juin 1814, le roi Louis XVIII lui octroie le titre de pair à vie, confirmé à titre héréditaire par l'ordonnance du 19 août 1815. Le même souverain lui concède le titre de duc-pair héréditaire attaché à ladite pairie par ordonnance du 31 août 1817.

Ces titres sont bien des titres français :

La « nationalité » de ces titres est sujet à controverses depuis 1949 (voir titres des Grimaldi) mais il n'en va pas de même sous la Restauration française.
Le fait que les ordonnances de Louis XVIII soient prises en faveur de son fils et non du prince souverain Honoré IV est conforme à la pratique de l'Ancien Régime français où le détenteur d'un titre ducal pouvait le transmettre à un héritier assuré.
Devenu prince souverain d'une principauté passée de la protection de la France à celle du royaume de Sardaigne en 1815, Honoré V continue à siéger à la Chambre des pairs française où il y expose des conceptions économiques « dirigistes » qui, sur place, aboutissent à des catastrophes pour ses sujets.

Sauf que c'est le chapeau de Saint Héléne il me semble, le dernier chapeau de l'Empereur, et j'ai un petit doute sur sa présence lá-bas

C'est un anglais qui a du le récupérer.
Je crois que certains ont pris des parties du corps de l'Empereur...
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C'est un anglais qui a du le récupérer.

Logique, ils arrivent à tout récupérer (leurs drapeaux perdus à Waterloo par exemple ... ), mais ça:

Je crois que certains ont pris des parties du corps de l'Empereur..

!! ...

J'ai le crâne de Napoléon à 12 ans à vendre si un anglais ou un russe est preneur

Communiqué de presse de l'empereur du poulet coréén: "Ce chapeau symbolise pour notre société l'idée de conquéte"...á 1,2 million d'€ le galure, pourvu qu'il n'y colle pas des plumes de croupion dessus!

J'ai le crâne de Napoléon à 12 ans à vendre

Bol ! tu vas sûrement trouver des acheteurs ...
Mais alors il avait la tête de qui à Austerlitz ?

N'empêche, on peut se demander pourquoi les Grimaldi se séparent de leur panoplie Napo.
Peut-être besoin d'argent, oeuvres sociales, impôts ... ?

La prémiére je pense, ca coute cher de ne rien foutre de sa vie

vania a écrit :N'empêche, on peut se demander pourquoi les Grimaldi se séparent de leur panoplie Napo.

Ils ont besoin de place pour créer un musée consacré à Grace (Kelly) de Monaco.

Tout un musée juste pour exposer une écharpe, une perruque et une roue de voiture?