Rôle de la cavalerie vers 1800
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- Thierry Melchior
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De toute façon, moi, je n'y connais rien en équitation !
Adieu (comme disent les Suisses)
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« Quand les hommes ne peuvent changer les choses, ils changent les mots. »
Jean Jaurès, Ve Congrès socialiste international, Paris, 1900
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- tizizus
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De toute façon, comme disais Xénophon (ou POlybe, ou un autre je sais plus), un cavalier n'est qu'un homme sur un cheval...
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Monsieur Garrison. Oooooooh, Seigneur Dieu!!!
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Plus je la pratique et plus je me dis que la chose tourne bien sans prise de tête. Et pourtant au début, j'ai passé des étés sans mouches. D'ailleurs CB avait fait une critique assassine lors de la parution au point que je me suis cru lobotomisé grave.tizizus a écrit :J'oubliais un truc
Je rejoins cruchot sur le role de la cavalerie à NB. Realiste et simple (comme la regle d'ailleurs, que j'aime de plus en plus)
Pluche
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moi non plus mais je demande à ma filleDe toute façon, moi, je n'y connais rien en équitation !
Pour ce qui est de la comptabilité des pertes j'avoue avoir lancé une bouteille à la mer. J'ai quelques idées sur le sujet comme pour l'infanterie mais je recherchais des confirmations.
"Il est tout aussi impossible de décrire une bataille que de décrire un bal" Wellington
- tizizus
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Je me suis laissé dire que Vae Victis allait bientôt réparer cette injusticecruchot a écrit :Plus je la pratique et plus je me dis que la chose tourne bien sans prise de tête. Et pourtant au début, j'ai passé des étés sans mouches. D'ailleurs CB avait fait une critique assassine lors de la parution au point que je me suis cru lobotomisé grave.
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- denis
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Juste pour intervenir sur les charges de cavalerie, il n'y a pas de règle unique mais, en règle générale, la cavalerie pouvait charger plusieurs fois la même journée, et qu'elle soit légère ou lourde ne change rien, les généreaux disposant de ce qu'ils avaient sous la main.
Le one shoot existe bien, mais ce n'est pas un cas général.
Et pour ce qui est des pertes, prenons le cas de ce brave escadron de cavalerie polonaise à somosierra qui perd dans cette très belle charge un peu plus d'une cinquantaine d'homme (tués et blessés) sur 150. Les rapports précisent qu'il n'en reste plus qu'une poignée à la fin de la charge, à combien peut on l'estimée cette poignée? 10, 20 cavaliers, peut être une trentaine. Et tout ceci pour aller ou : quelles est donc la raison de la différence entre les pertes subies (un peu plus de 50), et le nombre de cavaliers restant debout à la fin de la charge?
Je crois qu'en grande partie la perte des cheveaux sur les tirs a du être importante, ce que l'on retrouve moins dans les combats de cavalerie, et par la même si l'on a la possibilité d'une bonne remonte, d'avoir dans les jours qui suivent une bataille une cavalerie en partie restaurée.
Denis
Le one shoot existe bien, mais ce n'est pas un cas général.
Et pour ce qui est des pertes, prenons le cas de ce brave escadron de cavalerie polonaise à somosierra qui perd dans cette très belle charge un peu plus d'une cinquantaine d'homme (tués et blessés) sur 150. Les rapports précisent qu'il n'en reste plus qu'une poignée à la fin de la charge, à combien peut on l'estimée cette poignée? 10, 20 cavaliers, peut être une trentaine. Et tout ceci pour aller ou : quelles est donc la raison de la différence entre les pertes subies (un peu plus de 50), et le nombre de cavaliers restant debout à la fin de la charge?
Je crois qu'en grande partie la perte des cheveaux sur les tirs a du être importante, ce que l'on retrouve moins dans les combats de cavalerie, et par la même si l'on a la possibilité d'une bonne remonte, d'avoir dans les jours qui suivent une bataille une cavalerie en partie restaurée.
Denis
Viva el Rey, Viva Fernando VII.
- Thierry Melchior
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Bonjour Denis
Tout à fait, sans oublier qu'il y avait des cavaliers qui perdaient leurs chevaux mais aussi des chevaux qui perdaient leurs cavaliers et qu'après la bataille – voire au cours de celle-ci – les premiers récupéraient les seconds.
Tout à fait, sans oublier qu'il y avait des cavaliers qui perdaient leurs chevaux mais aussi des chevaux qui perdaient leurs cavaliers et qu'après la bataille – voire au cours de celle-ci – les premiers récupéraient les seconds.
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Jean Jaurès, Ve Congrès socialiste international, Paris, 1900
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J'y ajouterai les cavaliers qui se perdaient volontairement ou nonThierry Melchior a écrit :Bonjour Denis
Tout à fait, sans oublier qu'il y avait des cavaliers qui perdaient leurs chevaux mais aussi des chevaux qui perdaient leurs cavaliers et qu'après la bataille – voire au cours de celle-ci – les premiers récupéraient les seconds.
Tout ceci faisait que sur le coup, il manquait du monde qu'on récupérait plus tard.
"Il est tout aussi impossible de décrire une bataille que de décrire un bal" Wellington
Re: Rôle de la cavalerie vers 1800
J'en profite pour renvoyer vers ce lien.
C'est un texte de Diderot, qui nous parle des points de vue différent sur l'utilisation du feu par la cavalerie. Certes, ce n'est pas la même époque, mais c'est intéressant que n'ayant pas réussi à trouver la simulation parfaite du combat, on aura au moins réussi à simuler les débats d'époque.
C'est un texte de Diderot, qui nous parle des points de vue différent sur l'utilisation du feu par la cavalerie. Certes, ce n'est pas la même époque, mais c'est intéressant que n'ayant pas réussi à trouver la simulation parfaite du combat, on aura au moins réussi à simuler les débats d'époque.