Escadron de la Garde de Paris
Publié : Lun Mai 15, 2023 2:20 pm
Ce soir France 3 propose le film de Jean-François Richet intitulé l'Empereur de Paris. Autant le dire les critiques ne sont pas vraiment élogieuses.
Une mention particulière doit pourtant être décernée aux responsables des décors et des costumes tant civils que militaires ainsi qu'aux groupes de reconstitution ayant participé au tournage. On est là dans le domaine de l’excellence et c'est en vain que l'on cherche un quelconque anachronisme.
Les spécialistes ne manqueront pas de relever la scène représentant les salons du ministère de la police. A la porte du bureau du Ministre, on distingue un planton à l'arrière plan, en l'occurrence un dragon de l'escadron de la Garde de Paris, ancêtre du régiment de cavalerie de la Garde Républicaine.
Certains lui auraient probablement préféré un gendarme d'élite et ils auraient sans doute raison mais avec son habit gris bleu à revers écarlate, il s'agit d'une niche uniformologique que les amateurs apprécieront d'autant plus qu'elle ne durent que quelques secondes pour un visionnage d'une heure et cinquante cinq minutes.
C'est aussi leur rareté qui fait le prix des choses.
Une mention particulière doit pourtant être décernée aux responsables des décors et des costumes tant civils que militaires ainsi qu'aux groupes de reconstitution ayant participé au tournage. On est là dans le domaine de l’excellence et c'est en vain que l'on cherche un quelconque anachronisme.
Les spécialistes ne manqueront pas de relever la scène représentant les salons du ministère de la police. A la porte du bureau du Ministre, on distingue un planton à l'arrière plan, en l'occurrence un dragon de l'escadron de la Garde de Paris, ancêtre du régiment de cavalerie de la Garde Républicaine.
Certains lui auraient probablement préféré un gendarme d'élite et ils auraient sans doute raison mais avec son habit gris bleu à revers écarlate, il s'agit d'une niche uniformologique que les amateurs apprécieront d'autant plus qu'elle ne durent que quelques secondes pour un visionnage d'une heure et cinquante cinq minutes.
C'est aussi leur rareté qui fait le prix des choses.