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par Jean-Pierre » Dim Mars 16, 2008 10:15 am
Cette menace est stoppée par les tirs de l'artillerie de corps, et l'arrivée de la 17ième brigade - 9ième Div.. Sous la protection de l'artillerie les 6 bataillons des 58 et 59ième Rgt (3ième et 4ième Rgt de Posen) se déploient face au centre français. A l'issue des bombardements et de l'assaut général, 17ième Br. sur une 1 ligne (6 bataillons), 19ième Br-10Div. dans le bois (5 ou 6 bataillons) la 2ième Div. Française explose : sur 13 bataillons il en reste 4, le 1er Regt de Turcos a fait preuve d'une grande résistance : 2 bataillons à 17 détruits à 5.
Du coté Prussien il reste à la 17ième Br. 4 bataillons valeur moyenne 10, la 19ième Br. est détruite à 50%, il reste le Rgt. de Grenadier N°6 valeur moyenne 12. Le Relais de poste n'a pu être pris, la route est libre de toute troupe française, mais Pacoféanor envoie vers le centre le 2ième Rgt de Turcos, et le 2ième Zouaves s'apprête attaquer le bois .
Du coté du village, dès le début de la bataille la 18ième- Br. 9ième Div. avait attaqué le village tenu par les Français, mais cela tenait du piège à feu. Sur ordre du Général de Corps la Brigade reprend la route et oriente son attaque vers le cimetierre et l'église. Les combats dans cette zone se solderons par une contre attaque française, qui se soldera par la destruction de 2 bataillons. Les Prussiens resterons sur la route, déployés face au village. Les français se replieront dans le cimetierre, et le reste de la Division commencera un déploiement le long de la route jusqu'au relais de poste encore tenu par un bataillon français.
Dans ce secteur, tenu par Nick la brigade prussienne sera restée intacte.
Timiron commandait la 1ere Division Française qui sortait du village.
Julien a fait face et s'est accroché avec ses ongles à ses positions, face à l'attaque de 12 bataillons appuyés par l'artillerie de corps, et Pacoféanor a rétabli une position très compromise dans la ferme, pour ensuite venir au secour de son coéquipier (c'est pas du tout historique comme comportement).
A l'attention de Siaba : si nous avions utilisé "Piquet" les tirs d'artillerie Prussienne auraient très rapidement volatilisé tous les bataillons français décelables.
A tous, salutations ludiques.
Jean-Pierre