Partie de rentrée du club le shakko
Publié : Mer Sep 28, 2011 6:35 pm
Bonjour à tous.
Voici le compte rendu d'une partie empire jouée avec la règle les aigles.
Preambule:
La berezina 26-29 novembre.
Un peu plus de deux mois après être entré dans Moscou la situation de l'empereur est devenu quelque peu compliqué. Ses troupes, d'environ 100 000 hommes dont seulement 1/3 sont en état de combatre, retraite à travers la Russie.
Le 23 novembre 1812, talonné par Koutousov, la grande armée ( ce qu'il en reste) arrive dans la ville de borissov et doit franchir la rivière la Bèrèzina(largeur: 100 mètre ;profondeur: entre 2m et 2m30), de l'autre coté se trouve l'armé de Tchitchagov .
Après une importante manœuvre de diversion pour tromper les troupes russes qui « l'attendent » sur la rive droite, la traversé débute le 26, 15 km en amont, à l'aide de ponts de fortune...
Le 27 au soir l'empereur est sur la rive droite, cependant la journée du lendemain s'annonce perilleuse et décisive. Car Tchitchakov va bien finir par venir attaquer les français qui sont déjà sur la rive droite ... Ce sont ces combats que nous avons joués.
Compte rendu :
On peut séparer la bataille en deux; celle qui a eut sur la gauche des français pour la prise du village et celle du centre et de la droite dans la plaine ....
Concernant les combats dans le village et ses alentours :
A situation désespérée, mesures désespérées, les troupes ayant pour mission de traverser le village sont commandées par de jeunes officiers fraichement nommés pour remplacer ceux mort au combat.
Et l'empereur est occupé ailleurs. L'assaut ce fera donc sans l'aide de « Papa » .
L'infanterie française et russe entre en même temps dans le village et se retrouve face-à-face. Des coup de feu éclatent, une batterie russe ,judicieusement positionnée pour empêcher d'autre bataillons d'entré dans le village par la voie principale, fini par donné l'avantage et les troupes françaises sont repoussé sans ménagement hors du village. Tous cela sous l'œil désabusé d'une seconde brigade d'infanterie échangeant des coups de feu avec des bataillons russes essayant tant bien que mal de manœuvrer, après la traversé d'une petite rivière, pour déborder la gauche du dispositif français.


Nos deux jeunes chefs sont alors en mauvaise posture, mais l'envie de ne pas décevoir l'empereur, a moins que ce soit celle de ne pas dormir dehors ^^, les pousse à se réorganiser et relancer une attaque qui leur permet de reprendre une partie du village.
Heureusement pour les troupes russe, l'arrivée en renfort des grenadiers de pavlov rééquilibre les forces de chaque coté.


Concernant les combats dans la plaines:
Au centre une brigade de la garde ce déploie, sur ça droite, des reliquats de cavalerie légère, un peu de chasseur, de dragons et quelques miettes de lanciers rouges. En face, la cavalerie russe ne se le fait pas dire deux fois et ce lance sur l'ennemi. Les lanciers rouges sont surpris par les hussards et engage le combat dans un bois sans formation et sans leurs lances.
Les dragons et chasseurs quand à eux ont bien du mal à faire le poids face aux cuirassiers d'astrakan.


Pendant ce temps, son artillerie positionnée sur un élévation de terrain, la garde s'avance dans la plaine enneigé. Les troupes russes, commandées par de jeunes officiers( décidément
)on bien du mal à prendre la bonne décision. Gêné dans leur déploiement par la cavalerie, doivent elle affronter les français au feu ou a la baïonnette ? en ligne ou en colonne ? ... Et que fait la cavalerie, ne devrait elle pas gêné l'avancée des bataillons français …
Bombardés par l'artillerie, fusillés par les chasseurs de nombreux bataillons russe vont partir en déroute en aillant infligé des pertes minimes aux troupes françaises. Petit à petit c'est tout le centre russe qui recule devant la garde.


En résumé l'effondrement du centre russe vas l'obliger à ce retirer du village ou vont converger tout les effort français.
Le Français peut continuer sa retraite à travers la Russie ...

Voici le compte rendu d'une partie empire jouée avec la règle les aigles.
Preambule:
La berezina 26-29 novembre.
Un peu plus de deux mois après être entré dans Moscou la situation de l'empereur est devenu quelque peu compliqué. Ses troupes, d'environ 100 000 hommes dont seulement 1/3 sont en état de combatre, retraite à travers la Russie.
Le 23 novembre 1812, talonné par Koutousov, la grande armée ( ce qu'il en reste) arrive dans la ville de borissov et doit franchir la rivière la Bèrèzina(largeur: 100 mètre ;profondeur: entre 2m et 2m30), de l'autre coté se trouve l'armé de Tchitchagov .
Après une importante manœuvre de diversion pour tromper les troupes russes qui « l'attendent » sur la rive droite, la traversé débute le 26, 15 km en amont, à l'aide de ponts de fortune...
Le 27 au soir l'empereur est sur la rive droite, cependant la journée du lendemain s'annonce perilleuse et décisive. Car Tchitchakov va bien finir par venir attaquer les français qui sont déjà sur la rive droite ... Ce sont ces combats que nous avons joués.
Compte rendu :
On peut séparer la bataille en deux; celle qui a eut sur la gauche des français pour la prise du village et celle du centre et de la droite dans la plaine ....
Concernant les combats dans le village et ses alentours :
A situation désespérée, mesures désespérées, les troupes ayant pour mission de traverser le village sont commandées par de jeunes officiers fraichement nommés pour remplacer ceux mort au combat.
Et l'empereur est occupé ailleurs. L'assaut ce fera donc sans l'aide de « Papa » .
L'infanterie française et russe entre en même temps dans le village et se retrouve face-à-face. Des coup de feu éclatent, une batterie russe ,judicieusement positionnée pour empêcher d'autre bataillons d'entré dans le village par la voie principale, fini par donné l'avantage et les troupes françaises sont repoussé sans ménagement hors du village. Tous cela sous l'œil désabusé d'une seconde brigade d'infanterie échangeant des coups de feu avec des bataillons russes essayant tant bien que mal de manœuvrer, après la traversé d'une petite rivière, pour déborder la gauche du dispositif français.


Nos deux jeunes chefs sont alors en mauvaise posture, mais l'envie de ne pas décevoir l'empereur, a moins que ce soit celle de ne pas dormir dehors ^^, les pousse à se réorganiser et relancer une attaque qui leur permet de reprendre une partie du village.
Heureusement pour les troupes russe, l'arrivée en renfort des grenadiers de pavlov rééquilibre les forces de chaque coté.


Concernant les combats dans la plaines:
Au centre une brigade de la garde ce déploie, sur ça droite, des reliquats de cavalerie légère, un peu de chasseur, de dragons et quelques miettes de lanciers rouges. En face, la cavalerie russe ne se le fait pas dire deux fois et ce lance sur l'ennemi. Les lanciers rouges sont surpris par les hussards et engage le combat dans un bois sans formation et sans leurs lances.
Les dragons et chasseurs quand à eux ont bien du mal à faire le poids face aux cuirassiers d'astrakan.


Pendant ce temps, son artillerie positionnée sur un élévation de terrain, la garde s'avance dans la plaine enneigé. Les troupes russes, commandées par de jeunes officiers( décidément

Bombardés par l'artillerie, fusillés par les chasseurs de nombreux bataillons russe vont partir en déroute en aillant infligé des pertes minimes aux troupes françaises. Petit à petit c'est tout le centre russe qui recule devant la garde.


En résumé l'effondrement du centre russe vas l'obliger à ce retirer du village ou vont converger tout les effort français.
Le Français peut continuer sa retraite à travers la Russie ...
