LECHEVALIER a écrit : ↑Mer Fév 07, 2024 4:25 pm
Je ne me trompe pas, c'est bien vous qui aimez quand ça pinaille ?
Pinaillons! Pinaillons!
"The Bavarian infantry c.1809 fought in the field with 1 grenadier company and 3 fusilier companies per battalion. The fusilier companies included schützen. The ratio was 5 grenadiers to 12 fusiliers to 3 schützen.
The source states that in 1810 the Bavarians went to the six company structure the schützen were stripped from their parent companies and were formed into the light company.
From 12.8.1808 each line infantry regiment was to consist of 2 grenadier and 6 fusilier companies, the light infantry battalions of 4 companies. The firepower of a company has now been set at 180 men.
So a regiment of 2 battalions 2 grenadiers and 6 Füsiliercompanies, – light infantry battalion – only 4 companies"
Je ne me rappelle plus la source...
Les bavarois sont souvent restructurés. Ils ne prendront la structure à la française qu'en 1810.
Autre source, primaire celle-la:

Cet organigramme du 5e régiment d'infanterie pour la campagne de 1809 montre bien une organisation
régimentaire de 2 compagnies de grenadiers et 6 compagnies de fusiliers.
Colonne de gauche: la liste des compagnies. 2 de grenadiers puis 6 de fusiliers.
Nous trouvons ensuite la liste de officiers. On peut même remarquer que quatre officiers (tirés des compagnies de fusiliers ou de grenadiers) sont prévus pour commander les schutzens si ces derniers sont détachés de leur compagnie normale primaire.

Colonne de droite: l'effectif des diverses compagnies. Aux alentours des 200 hommes.
Je maintiens donc mon organisation d'un bataillon d'infanterie bavarois en 1809:
Le major commandant le bataillon avait la possibilité de regrouper tous les schutzens de son bataillon afin de créer une "cinquième compagnie" légère.
De plus, les effectifs en
temps de paix d'une compagnie bavaroise sont fixés à 180 hommes, mais visiblement pour le temps de guerre ces derniers sont augmentés jusqu'à 200 hommes (voir l'exemple du document sur le 5e de ligne).
Pour rappel, les autrichiens ont fait de même pour leurs compagnies d'infanterie.
