Le char FCM 2C
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Le char FCM 2C
QRF sort ce monstre en 15mm.. :
http://theminiaturespage.com/news/190249/
http://www.chars-francais.net/archives/fcm_2c.htm
C'était assez inattendu. Les fabricants britaniques ne fabriquent presque que des Mark IV, et sinon, plus souvent le AZmachin allemand que le FT17.
J'avoue que j'ai un faible pour les chars de la 1ère guerre mondiale et que je les collectionne en 15mm.
Dans quel scénario pourrait-on jouer ces bêtes là ?
http://theminiaturespage.com/news/190249/
http://www.chars-francais.net/archives/fcm_2c.htm
C'était assez inattendu. Les fabricants britaniques ne fabriquent presque que des Mark IV, et sinon, plus souvent le AZmachin allemand que le FT17.
J'avoue que j'ai un faible pour les chars de la 1ère guerre mondiale et que je les collectionne en 15mm.
Dans quel scénario pourrait-on jouer ces bêtes là ?
Denis
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http://www.1939-45.org/articles/fcm2c.htmLe 10 mai 1940, au moment de l'offensive allemande à l'Ouest, le 51e BCC est déployé dans les bois au nord de Briey. Il y reste jusqu'au 12 juin, jour où lui est donné l'ordre de repli. Les consignes prescrivent un embarquement sur voie ferrée qui doit s'effectuer en gare de Landres. Les chars No. 92 et No. 95 en panne sont rapidement sabotés et abandonnés sur place, à Piennes et à Mainville tandis que le reste du bataillon gagne par la route son point d'embarquement. Un léger retard étant engendré par l'absence de locomotive, c'est seulement le 13 juin 1940 en fin de matinée que tout est prêt pour le départ vers le sud.
Les deux trains nécessaires au transport du bataillon Fournet s'ébranlent à une heure d'intervalle, en début d'après-midi, la première étape doit les mener à Gondrecourt. Le convoi atteint la zone entre minuit et 02 heures du matin, après avoir subi une attaque aérienne. Les chars sont maintenus sur leurs boggies de transport et dissimulés dans les bois de Badonvillers, au nord-est de Gondrecourt, dans l'attente de nouvelles directives. Le 14 juin, en fin de matinée, l'ordre de gagner Neufchâteau arrive de la IIIe armée. Le convoi se remet en route et il parvient dans la localité à l'aube du 15 juin, après avoir été fortement retardé par le désordre dont est alors victime le réseau ferroviaire de la région. L'arrêt à Neufchâteau est de courte durée et, bientôt, la directive est donnée de poursuivre vers Dijon. Le commandant Fournet, une nouvelle fois, organise le départ qui a lieu en début d'après-midi. Arrivés à l'entrée du village de Meuse, à une dizaine de kilomètres à l'ouest de Bourbonne-les-Bains, les deux trains portant les engins du 51e BCC sont bloqués dans une courbe en déblai de la voie ferrée par un convoi en flamme. Dans l'impossibilité de faire débarquer ses chars pour faire face à l'ennemi, le commandant Fournet prend alors la décision de les saborder pour permettre ensuite aux équipages d'échapper à la capture.
A 19 heures, les tuyauteries d'essence sont sectionnées et des charges explosives mettent fin au périple des derniers chars lourds français. Lorsque les hommes du Panzer-Regiment 10 découvriront, à leur plus grande surprise, les convois abandonnés, seul le 2C No. 99, dont la mise à feu des charges n'a pas fonctionné, sera encore en état. Le commandant Fournet et ses hommes sont ensuite dirigés vers le sud et après quelques péripéties, ils se retrouveront pour la plupart dans le Tarn, près de Carmaux. En juillet, le 51e BCC sera dissout à Castres.
Ainsi s'achève l'histoire du char lourd 2C, apparu trop tard pour participer à la guerre de 1914-18, sa conception dépassée l'a irrémédiablement condamné lors du conflit suivant.
Char de rupture
Hello,
Ce char fait parti des blindés imaginés dans les années 20 et construits dans les années 30. La conclusion du texte cité par Olivier est un peu réductrice car que savoir de l'évolution des chars aprs 1918 et qui aurait pu préduire celle des chars de 1940 ? De plus dans le texte on y voit plus de l'incompétence en terme d'ordre que de défaillance au combat. Des tas de pays avaient ce type de super blindé (notamment les soviétiques et aussi les allemands) dans les cartons, en prototype ou en série.
Ce char n'a pas pu combattre en 1940 car (à mon avis) la tactique d'emploi française était totalement dépassée (et les tacticiens de même).
Donc c'est bien un char de combat qui a fait parti des effectifs de l'armée française en 1940 et qui aurait pu voir le combat si bien employé.
Voilà.
Ce char fait parti des blindés imaginés dans les années 20 et construits dans les années 30. La conclusion du texte cité par Olivier est un peu réductrice car que savoir de l'évolution des chars aprs 1918 et qui aurait pu préduire celle des chars de 1940 ? De plus dans le texte on y voit plus de l'incompétence en terme d'ordre que de défaillance au combat. Des tas de pays avaient ce type de super blindé (notamment les soviétiques et aussi les allemands) dans les cartons, en prototype ou en série.
Ce char n'a pas pu combattre en 1940 car (à mon avis) la tactique d'emploi française était totalement dépassée (et les tacticiens de même).
Donc c'est bien un char de combat qui a fait parti des effectifs de l'armée française en 1940 et qui aurait pu voir le combat si bien employé.
Voilà.