[Ligne de front] Contre-offensive devant Moscou - décembre 41
Publié : Sam Fév 20, 2016 1:07 pm
7 décembre 1941. Les avant-gardes soviétiques sont arrivées à hauteur de la ville de Kline
La 36ème Mot Div, entre autre, s'est effondrée, et un boulevard vers l'Ouest s'est ouvert devant la 30ème armée Rouge.
Les tentatives de percée se multipliant en différents points, les éléments les plus mobiles des 1ères, 5ème et 7ème Pz Div, sous le commandement du colonel Hauser, sont sans cesse sollicités par un froid de -25°.
L'armée rouge de 1941, malgré ses succès de l'hiver, n'est cependant pas encore celle de 1943/44.
Les pointes blindées s'arrêtent en panne de carburant, tandis qu'infanterie et artillerie marquent le pas faute de transports.
Réduits à attendre, les soviets relâchent leur discipline, fantassins portés et équipages de chars quittant les rangs et les engins pour marauder dans les tranchées et positions allemandes abandonnées, à la recherche de trésors (équipements, armes, rations ...)
Pendant ce temps, l'allemand, s'étant replié pour éviter les coups et mieux se regrouper, a jaugé la situation et prépare à la va-vite une contre-attaque.
Laissant venir les groupes éparpillés de Frontovikis, il les sèche brutalement à coup de M.MG. et mortiers.
Les soviets essayent de se regrouper, chargent, se font repousser malgré le soutien de leurs chars.
C'est alors qu'arrive un groupement de circonstances, avec quelques Panzer II, III et IV.
La supériorité des équipages et du matériel allemand fait rapidement la différence.
Les Rouges, sans artillerie, replient finalement sous la pression.
La menace d'effondrement du front est jugulée, du moins au niveau de l'état major du 56 Pz Korps... mais qu'en est-il ailleurs ?
La 36ème Mot Div, entre autre, s'est effondrée, et un boulevard vers l'Ouest s'est ouvert devant la 30ème armée Rouge.
Les tentatives de percée se multipliant en différents points, les éléments les plus mobiles des 1ères, 5ème et 7ème Pz Div, sous le commandement du colonel Hauser, sont sans cesse sollicités par un froid de -25°.
L'armée rouge de 1941, malgré ses succès de l'hiver, n'est cependant pas encore celle de 1943/44.
Les pointes blindées s'arrêtent en panne de carburant, tandis qu'infanterie et artillerie marquent le pas faute de transports.
Réduits à attendre, les soviets relâchent leur discipline, fantassins portés et équipages de chars quittant les rangs et les engins pour marauder dans les tranchées et positions allemandes abandonnées, à la recherche de trésors (équipements, armes, rations ...)
Pendant ce temps, l'allemand, s'étant replié pour éviter les coups et mieux se regrouper, a jaugé la situation et prépare à la va-vite une contre-attaque.
Laissant venir les groupes éparpillés de Frontovikis, il les sèche brutalement à coup de M.MG. et mortiers.
Les soviets essayent de se regrouper, chargent, se font repousser malgré le soutien de leurs chars.
C'est alors qu'arrive un groupement de circonstances, avec quelques Panzer II, III et IV.
La supériorité des équipages et du matériel allemand fait rapidement la différence.
Les Rouges, sans artillerie, replient finalement sous la pression.
La menace d'effondrement du front est jugulée, du moins au niveau de l'état major du 56 Pz Korps... mais qu'en est-il ailleurs ?
