Samedi 02 février "Chaos sur le Dniepr" au Shakko !!
Publié : Dim Fév 17, 2013 12:46 pm
Bonjour; une nouvelle partie 2nd GM au shakko joué le 2 février, avec la règle de jeu Ligne de front.
...Les bords du Dniepr, en face de Krementchoug,

Retraire allemande en septembre 1943.
Le pont ferroviaire étant détruit, le génie allemand a lancé un ouvrage léger pour piétons.
Les derniers contingents traversent mais le matériel lourd doit être être abandonné en quantités.
On trouve même un train...
Des « pionieren » sont à l'oeuvre pour y détruire ou saboter tout ce qui est possible.





Le soviétique de son côté se fait pressant.
Il a déjà passé des élément légers de reconnaissance sur la rive droite du fleuve.
Ses têtes de pont doivent alors se rejoindre, en montant conjointement une attaque pour prendre les faubourgs de la ville encore occupés.

Le moral est bon, car il sait que les avant-gardes de Koniev arrivent aussi en vue du fleuve, sous la forme d'une compagnie blindée portant nombre de fantassins.
Cependant, en plus de la section du génie, du coup repliant prudemment , les derniers éléments de la Gross Deutchland, dont des « Panther », sont encore embusqués sur la rive est du Dniepr.
Les engins sont sacrifiés mais les équipages, une fois les pointes blindées soviets émoussées, pourront repasser le fleuve, en priorité .



Le Panther est fragile mécaniquement, mais son tir est efficace à longue portée.
La bonne coordination entre les engins fait que chacun d'entre eux, habilement dissimulé, a déjà choisi sa cible.
En quelques minutes, T 34 et SU 85 faisant par malchance irruption dans les plans de feux des 75 longs, et subissant en plus un raid de Stukas en maraude, perdent 6 engins sur 10.
Le reste ne jouera plus aucun rôle pour le restant de la partie.




Un groupe d'Il 2 tentera bien de rendre la pareille, mais seul un Panther sera endommagé.

Des éclaireurs, ayant passé par canots, tiennent quelques centaines de mètres sur la rive sud de la ville.
Leur matériel lourd n'a pu traverser, mais un des T 70 ayant réussi à s'approcher de la berge tient le pont du génie sous son feu.
Il occasionnera plusieurs pertes dont un précieux équipage de Panther




Des sections d'infanterie, remontant le fleuve en colonnes étirées pour éviter les coups de la Lufwaffe, passent à leur tour, sous le couvert d'une section de mortiers de 120 mm.
L'attaque se développe ensuite, mais tombe rapidement sur des « kampfguppen » de circonstance, appuyés par quelques automoteurs.
Un « strafing » de Fw 190 stoppera définitivement l'avance côté sud de la ville.





Au nord, les partisans, avec l'aide de sapeurs, ont construit un pont, sur un gué, mais sous l'eau.
Invisible.
Les premières unités « rouges » ayant traversé, la manœuvre pour investir les faubourgs commence, perturbée par quelques mitrailleuses et 75 d'infanterie.



L'appui d'obusiers de 122 permet de repartir de l'avant, mais ceux-ci, bientôt pris sous un violent feu de 105 de contre-batterie, sont mis H.S..
Sans soutien, et face à un adversaire maintenant retranché et sur le qui-vive, l'attaque stoppe.




L'avance, tant au nord qu'au sud est bloquée, les blindés survivants s'étant prudemment mis à l'abri, les soviétiques lâchent finalement l'affaire.
L'allemand, malgré des pertes, va pouvoir continuer son repli.
Pour lui, le Dniepr est une victoire tactique mais aussi une défaite stratégique..."


...Les bords du Dniepr, en face de Krementchoug,

Retraire allemande en septembre 1943.
Le pont ferroviaire étant détruit, le génie allemand a lancé un ouvrage léger pour piétons.
Les derniers contingents traversent mais le matériel lourd doit être être abandonné en quantités.
On trouve même un train...
Des « pionieren » sont à l'oeuvre pour y détruire ou saboter tout ce qui est possible.





Le soviétique de son côté se fait pressant.
Il a déjà passé des élément légers de reconnaissance sur la rive droite du fleuve.
Ses têtes de pont doivent alors se rejoindre, en montant conjointement une attaque pour prendre les faubourgs de la ville encore occupés.

Le moral est bon, car il sait que les avant-gardes de Koniev arrivent aussi en vue du fleuve, sous la forme d'une compagnie blindée portant nombre de fantassins.
Cependant, en plus de la section du génie, du coup repliant prudemment , les derniers éléments de la Gross Deutchland, dont des « Panther », sont encore embusqués sur la rive est du Dniepr.
Les engins sont sacrifiés mais les équipages, une fois les pointes blindées soviets émoussées, pourront repasser le fleuve, en priorité .



Le Panther est fragile mécaniquement, mais son tir est efficace à longue portée.
La bonne coordination entre les engins fait que chacun d'entre eux, habilement dissimulé, a déjà choisi sa cible.
En quelques minutes, T 34 et SU 85 faisant par malchance irruption dans les plans de feux des 75 longs, et subissant en plus un raid de Stukas en maraude, perdent 6 engins sur 10.
Le reste ne jouera plus aucun rôle pour le restant de la partie.




Un groupe d'Il 2 tentera bien de rendre la pareille, mais seul un Panther sera endommagé.

Des éclaireurs, ayant passé par canots, tiennent quelques centaines de mètres sur la rive sud de la ville.
Leur matériel lourd n'a pu traverser, mais un des T 70 ayant réussi à s'approcher de la berge tient le pont du génie sous son feu.
Il occasionnera plusieurs pertes dont un précieux équipage de Panther




Des sections d'infanterie, remontant le fleuve en colonnes étirées pour éviter les coups de la Lufwaffe, passent à leur tour, sous le couvert d'une section de mortiers de 120 mm.
L'attaque se développe ensuite, mais tombe rapidement sur des « kampfguppen » de circonstance, appuyés par quelques automoteurs.
Un « strafing » de Fw 190 stoppera définitivement l'avance côté sud de la ville.





Au nord, les partisans, avec l'aide de sapeurs, ont construit un pont, sur un gué, mais sous l'eau.
Invisible.
Les premières unités « rouges » ayant traversé, la manœuvre pour investir les faubourgs commence, perturbée par quelques mitrailleuses et 75 d'infanterie.



L'appui d'obusiers de 122 permet de repartir de l'avant, mais ceux-ci, bientôt pris sous un violent feu de 105 de contre-batterie, sont mis H.S..
Sans soutien, et face à un adversaire maintenant retranché et sur le qui-vive, l'attaque stoppe.




L'avance, tant au nord qu'au sud est bloquée, les blindés survivants s'étant prudemment mis à l'abri, les soviétiques lâchent finalement l'affaire.
L'allemand, malgré des pertes, va pouvoir continuer son repli.
Pour lui, le Dniepr est une victoire tactique mais aussi une défaite stratégique..."

