
Une nouvelle partie de naval Thunder avec un ami qui voulait essayer ma flotte italienne, et ses peintures en enseigne de barbier sur les proues. La France et l'Italie avaient, au début de la 2° GM, les 4° et 5° marines mondiales (à moins que ce ne fussent les 5° et 4°, tant elles étaient quivalentes), construites expressément pour s'affronter en Méditerranée. Mais le destin en décida autrement, alors, dans un univers parallèle, pour une raison d'abord inconnue -les historiens déterminèrent plus tard qu'il s(agissait d'un incident survenu lors de la finale de la coupe du monde de football- dans les deux pays l'honneur national exigea que les torts fussent redressés. Ainsi les deux flottes levèrent l'ancre pour balancer quelques obus sur le territoire nationale de l'adversaire.

1 Vittorio Veneto 2 Doria 3 Gorizia 4 Garibaldi 5 Duca d'Aosta
1 Richelieu 2 Dunkerque 3 Gloire 4 Montcalm
Le terrain est assez bateau


Le déploiement italien, des destroyers en tête (3 Classe Soldati : Alpino, Granatiere, Besagliere), suivis des cuirassés (Vittorio Veneto, Andrea Doria) et des croiseurs (Lourd Gorizia, Légers, Garibaldi et Duca d'Aosta)

Les déploiement français, une colonne centrale menée par les cuirassés (Richelieu, Dunkerque considéré comme un cuirassé et pas comme un croiseur de bataille pour la partie) suivis des croiseurs légers Gloire et Montcalm. Sur chauqe flanc, une colonne de destroyers. A tribord, les classes Vauquelin Kersaint et Cassard suivi du classe Hardi Epée; à babord, 2 classe Fantasque : le Fantasque et le Terrible.


Gros plan des cuirassés français
Au cours de la première phase, les Italiens avancent prudemment, se réorganisant en 2 escadres; à droite, les cuirassés Vittorio veneto et Doria avec un destroyer, à gauche les croiseurs Gorizia, Garibaldi, Aosta et 2 destroyers.

Au même moment, tandis que les cuirassés français filent droit devant, avec sur leur flanc gauche les 2 Fantasque, les croiseurs croisent leur sillage pour dégager le champ de tir, ainsi que les 3 autres destroyers


Les Français manoeuvrent...