Bataille de Troudukheim
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Bataille de Troudukheim
Quelque part en Allemagne, par un beau matin de Juillet 1759. Le Duc Mimi, désireux de se refaire après ses deux échecs précédents, refait ses forces, en recrutant de nouveaux hessois pour remplacer les derniers, ainsi que des troupes légères en nombre plus conséquent.
Il descend donc une nouvelle fois la rivière Küss Fuss, s'enfonçant dans des territoires somme toute assez perdus. Le 27 juillet, ses troupes campent sur le Michalesberg, sorte de prééminence dominant deux villages du fin fond de l'Allemagne, Neu-Troudukheim et Alt-Troudukheim.
"Nous prendrons le village demain," lui avait assuré ses deux commandants de sa cavalerie, l'anglais Lord Guiness, et l'allemand Von Pfeifeheim. "Aucun hongrois, italien, wallon ou autrichien en vue."
L'archiduc observait de son côté les deux villages à la longue vue, ayant à ses côtés le commandant de sa cavalerie lourde, le prince Fafa, et tout son état-major, le comte Ecezizi, commandant les hussards, les généraux Von Burnberg et Von Schlaische au commandement de l'infanterie et le général Von Koronesheim, commandant les troupes légères et les dragons.
Un sourire illuminât son aimable figure. Mon prince, ils ne semblent pas savoir que nous sommes là. Faites marcher l'armée, nous attaquerons les mercenaires d'Albion au point du jour.
Et le lendemain matin, 28 juillet, alors que l'armée anglo-allemande préparait son petit déjeuner, les tambours retentirent dans le lointain.
L'armée Impériale s'avançait, les musiques jouant "Grand Dieu Sauve le Roi", qui aurait inspiré le Te Deum donné en l'honneur de l'opération de la fistule anale de Louis XIV, qui aurait au final inspiré l'hymne britannique...
Le duc Mimi, entouré de ses deux généraux de cavalerie, sort de sa tente… Et fait immédiatement appeler aux armes… L'armée impériale apparaissait dans la plaine, bien décidée à en découdre…
Les deux armées se déploient rapidement, et à 8 heures du matin, l'engagement peut commencer.
Nous voyons au premier plan l'armée impériale, et au fond, l'armée anglo-allemande. Le village sur la droite est Neu-Troudukheim, celui de gauche au pied du Michalsberg est Alt-Troudukheim. Quelques ruisseaux peu profonds, de simples obstacles, sillonnent la vallée, et un marais nauséabond envoie ses effluves sur Alt-Troudukheim, dont, les historiens locaux nous le certifient, une partie des habitants, ira fonder Neu-Troudukheim, un peu plus loin. L
L'armée anglo-allemande, quelque peu surprise, de déploie en premier, grâce à un meilleur jet de reconnaissance de l'armée impériale (les hussards n'ont pas fait que des reconnaissances, mais on dû goûter le breuvage local, au vu du champ de bataille)
Sur le plateau, le duc Mimi laisse Von Pfeifeheim avec sa cavalerie hanovrienne, 20 escadrons de cavalerie de ligne, 10 de dragons, et une paire de bataillons de jägers, soit 4500 hommes environ.
Le Michaelsberg envahi par la cavalerie hanovrienne
Immédiatement à sa droite, en contrebas, la cavalerie de lord Guiness, la garde à cheval anglaise, 20 escadrons de dragons lourds et 10 de légers, 5000 cavaliers au total.
L'infanterie du centre est disposée en deux lignes. La première, sous le commandement de Füss Von Hinterbackeheim, comprends 12 bataillons hanovriens, dont un tiers de grenadiers, et de féroces, mais néanmoins drôles, bonhommes aux mœurs très particulières, tout droit venus de leurs hautes terres au nord de l'Angleterre, un total de 9000 hommes.
La deuxième, sous les ordres de Von Kronenbourg, un vieil ami de lord Guinesse, se compose de 12 bataillons de ligne hanovriennes, et des gardes et grenadiers restants, 16 bataillons au total, 10000 hommes en tout.
Enfin, la droite de l'armée anglo-allemande, se trouvait sous les ordre du Freiherer Von Michaeswalds, et se composait de 20 bataillons de mercenaires divers, mousquetaires, grenadiers et gardes hessois, mousquetaires du Brunswick, appuyés par deux ou trois bataillons de jägers, soit 14000 hommes.
L'armée anglo-alliés se composait donc de 42000 hommes environ, dont 9000 cavaliers et 3 ou 4000 de troupes irrégulières.
Le reste de l'armée anglo-allemande, dans la vallée.
En face, l'Archiduc, informé du déploiement par les reconnaissances profondes pratiquées par le comte Ecezizi et ses hussards, décidât de porter un puissant coup au centre, en flanquant son armée par une forte composante d'infanterie, et d'occuper les hessois par Von Koronesheim.
L'armée autrichienne alignait donc, de gauche à droite :
Von Koronesheim, avec une douzaine de bataillons de hongrois, appuyés de vingt escadrons de dragons, en tout 7000 hommes d'infanterie légère et de cavalerie lourde. Sa mission était de venir s'emparer de Neu-Troudukheim, de le tenir autant que faire se peut, puis de rétrograder au fur et à mesure de l'accentuation de la pression ennemie. Les dragons étaient en appui pour dissuader l'adversaire de se montrer trop insolent dans ses tentatives.
Le Comte Ecezizi, et ses 40 escadrons de hussards, 5000 hommes, se déploie au centre en première ligne, en écran. Son objectif est d'aller fixer le centre ennemi, le temps que l'infanterie autrichienne prennen Alt-Troudukheim, s'y retranche, et que la force de frappe se mettre en position.
Derrière lui, l'infanterie de Von Schlaische, 24 bataillons (dont 8 de grenadiers) en profondes colonnes. 15000 fantassins, dont 5000 grenadiers au total. Il s'agit de la première composante de l'assaut frontal.
Derrière l'infanterie, le prince Fafa et ses 40 escadrons, moitié bardés de fer, moitié dragons, attend son heure avec ses 5000 cavaliers lourds, prêt à mourir bravement, une fois de plus, à la tête de ses escadrons chéris.
Grenzers et Hussards de la gauche, masses de hussards, infanterie et cavalerie lourde en arrière-plan. La gauche et le centre de l'armée impériale.
Enfin, sur la droite, en flanc-garde contre le déploiement anglo-allemand, Von Burnberg avec ses 24 bataillons de mousquetaires et ses 6 bataillons de grenzers, pour un total de 18000 hommes. L'objectif était de prendre Alt-Troudukheim, le marais du Grec et de tenir le flanc. Une mission bien trop importante pour un seul général, quelqu'il soit. Cette erreur aura de graves répercussions durant la bataille.
On devine aisément leur mission...
L'archiduc avait sous sa main environ 50000 hommes, dont 8000 cavaliers lourds et environ 10 à 12000 irréguliers hongrois. La supériorité numérique était présente, mais ne paraissait pas insurmontable pour les mercenaires d'Albion.
Alors qu'il a l'initiative au premier tour, le duc Mimi laisse l'Archiduc lancer le bal. Il porte en avant ses hussards, pour fixer l'infanterie ennemie et la forcer à se déployer. Von Burnberg, envoie son infanterie vers Alt-Troudukheim. Le reste des généraux de l'armée impériale semble ne pas avoir saisi que la bataille avait commencé, et leurs troupes restent donc stoïquement l'arme au pied.
La situation après les premiers mouvements, Alt-Troudukheim va tomber dans les mains impériales, les hussards vont s'amuser à faire joujou avec l'ennemi.
L'armée anglo-allemande déploie alors toute son infanterie de la première ligne, pendant que lord Guiness est prié par le duc Mimi d'aller donner aux hongrois ce qu'ils méritent, soit une bonne correction. Von Pfeifeheim avance lui aussi sa cavalerie.
L'armée alliée s'est déployée, lord Guiness pousse en avant ses cavaliers.
Le comte Ecezizi, qui en a vue d'autres sous son colpack, fait glisser ses troupes vers la droite, pour faire face aux lourds anglais et donner le temps à son infanterie de monter en colonne, tout en la couvrant. Von Schlaische, en discussion avec l'Archiduc, entreprend son avance, et Von Koronesheim porte ses hongrois vers Neu-Troudukheim. Von Brunberg s'empare de Alt-Troudukheim, sans coup férir.
L'ensemble de l'armée impériale, sauf le prince Fafa conservé en réserve, avance... A ce moment, on voit clairement l'effort impérial se porter sur Alt-Troudukheim…
La situation paraît plutôt bonne depuis les lignes anglo-allemandes.
Le duc Mimi décide d'agir. Il porte Lord Guiness au plus près des hussards ennemis, et la cavalerie anglaise fait sonner quelques charges. Il fait aussi monter son centre en avant. 20000 fantassins, tout de rouge vêtus, marchent au pas, au son des tambours, vers l'ennemi. L'aile droite, hessoise, reste l'arme au pied, ainsi que l'aile gauche.
La cavalerie anglaise a commencé son travail de dégagement, une brigade de hussards a esquivé.
C'est alors que Lord Guiness, dans la plus grande tradition de la cavalerie anglaise, décide de stopper son mouvement sur place, et d'ignorer les ordres du duc Mimi pendant deux ou trois impulsions. Ce qui permettra, d'une part, à l'armée impériale d'engager son infanterie, et d'autre part, empêchera le centre coalisé d'avancer, bloqué par la cavalerie anglaise, sûrement encore sous le choc de la vision des hussards hongrois, lesquels les avait malmené l'année passée à Unter-Papestan.
Von Koronesheim s'empare finalement de Neu-Troudukheim, et entame une manœuvre de contournement par ses dragons.
On voit clairement au fond la manoeuvre admirable de lord Guiness qui bloque toute son armée... Au grand dam des grenzers, les caves de Neu-Troudukheim sont déjà vides...
Sentant le piège, le duc Mimi fait monter en ligne les hessois et brunswikois du Freiherer Von Michaeswalds. "Seigneur Dieu, 14000 hommes pour bloquer 7000 pouilleux... Prince Fafa, il n'y a pas que les hussards qui ont abusé de l'alcool local. - Estafette, faites porter à Von Koronesheim l'ordre de se démerder mais d'empêcher qu'ils se rabattent sur le centre. Poliment, et n'oubliez pas de dire avant Vous êtes priés... et siouplaît à la fin"
A la vue de ce magnifique spectacle, les dramaturges grecs auraient pu composer une tragédie...
Pendant ce temps, l'Archiduc a fait monter en ligne Von Schlaische et le prince Fafa. Le sol tremble sous les pas de ces cavaliers au poitrines d'airain.
Ne pouvant pas faire passer sa cavalerie par la droite autrichienne, le duc Mimi la ramène au centre, pour pousser un peu sa consoeur anglaise, toujours autant intimidés par les cavaliers moustachus… Intimidés??? Mmmmmmmm, sacrés anglais.
hussards moustachus devant, fantassins aux grandes baïonnettes derrière, cavaliers blancs derrière... Lord Guiness adore qu'un plan se déroule sans accroc.
La droite impériale se trouve bien déconfite. Elle n'a plus personne à combattre, personne ne viendra l'attaquer. La ramener au cœur de la bataille sera le souci constant de l'Archiduc, mais cela pourrait au final se révéler très difficile de se servir utilement de cette force avant la fin de la bataille..
Leur mission effectuée, les hussards rétrogradent sur l'arrière de l'armée, laissant la place à l'infanterie de Von Schlaische. Les cavaliers du Prince Fafa, peu utiles au centre, entament un à droite, pour aller aider l'infanterie de Von Burnberg dans sa manœuvre de contournement.
La situation au moment ou l'armée impériale change de ligne d'opération (mais le Prince Fafa va en décider autrement) et que lord Guiness commence à se réveiller de sa sieste...
Pendant ce temps, Von Koronesheim débouche de Neu-Troudukheim, et engage par le feu l'infanterie ennemie. Les tirs précis des grenzers font des dégâts dans les rangs des hessois. Les hessois ne sont pas en reste et effectuent quelques volées sur les tirailleurs moustachus.
Les premiers coups de feu sont échangés.
Au centre, Lord Guiness ne semble pas avoir saisi toute l'importance de sa mission, se révélant maintenant plus un poids qu'autre chose pour le duc Mimi, qui compte lui faire porter un ordre par un officier accompagné d'un peloton d'exécution, pour bien faire comprendre l'importance de l'ordre envoyé. Mais Lord Guiness ne bouge toujours pas. Ils sont têtus ces anglais... Ou imbibés... En voila un qui porte bien son nom en tout cas.
Et pendant ce temps, l'infanterie et la cavalerie hanovriennes s'impatientent.
Mais tu vas les bouger tes cavaliers, nom de ...
Au final, pour pouvoir faire avancer son centre, le duc Mimi fait rétrograder toute la cavalerie pour la porter en réserve.
Ce faisant, les s'intensifient à la gauche autrichienne, entre Von Koronesheim et Von Michaelwalds…
C'est comme sur les tableaux...
A midi, la situation de la bataille est la suivante.
Pour les Autrichiens, leur gauche se soutient parfaitement face aux hessois, le centre a pris position, mais le prince Fafa, suite à une subite initiative, a changé les plans de l'Archiduc et est revenu au centre, derrière l'infanterie de Von Schlaische. Von Burnberg avancent lentement à droite, mais il avait, à sa décharge, tout simplement une tâche trop importante à accomplir pour ses troupes. Ecezizi se déploie en position de l'infanterie de la droite.
En face, les hessois se déploient et vont bientôt faire parler la poudre face à Von Koronesheim. Le centre peut enfin avancer, la cavalerie ayant libéré la place.
L'aile droite impériale est en désordre... Elle ne participera pas autant que l'Archiduc l'eût désiré.
L'initiative du Prince Fafa a mis le désordre dans ses rangs. Il n'a pas l'air d'être dans une grande journée, peut-être que ses visites nocturnes chez Madame Lulu, qui tient un établissement de jeunes filles au pair, laissent des traces sur son corps…
Le duc Mimi pousse sa cavalerie, la forçant à se redéployer pour conter la nouvelle menace impériale.
Ces hessois ont bien mérité de l'Angleterre… et des balles hongroises. Les combats sur la gauche autrichienne s'intensifient. Cette brigade hessoise, dotée initialement d'un facteur de combat de 6 PF, en a subi 4 déjà… La combinaison grenzers et dragons laisse des traces.
Mais les hessois ont repoussé les hongrois dans Neu-Troudukheim. Ceux-ci s'accrochent fiévreusement au terrain, les dragons délivrent leurs plus belles charges, mais la pression s'intensifie. Sachant toutefois qu'environ 25% du budget anglo-allemand se trouve face à 18% du budget impérial, les morts hongrois sont plus que rentabilisés pour la monarchie héréditaire des Habsbourgs.
L'assaut sur Neu-Troudukheim se met en place.
Finalement, lord Guiness parvient à remettre de l'ordre dans son esprit, et fait faire volte-face à sa cavalerie anglaise, qui vient se positionner entre le centre et la droite anglo-allemande. Heureusement qu'à droite, Von Burnberg n'arrive toujours pas à coordonner ses manœuvres.
Situation générale.
Face au mouvement engagé par la cavalerie anglaise, le prince Fafa, avide de se mesurer enfin à ces cavaliers, emmène ses 40 escadrons par la gauche du centre autrichien pour, d'une part le couvrir, d'autre part, se couvrir de gloire.
Même si, pendant ce temps là, l'aile gauche hanovrienne a été séparée du reste de l'armée, elle va causer des pertes non négligeables à ses adversaires. De nombreux cadavres de hussards peuvent en témoigner.
Les combats sont intenses sur le Michaelsberg.
A 15 heures, alors que les orages grondent au loin et que la luminosité descend peu à peu, les deux armées accentuent leur pression sur l'ennemi.
Les pertes sont de plus en plus importantes dans les deux armées, les deux cavaleries lourdes sont aux prises. Si alt-Troudukheim est solidement gardé, Neu-Troudukheim ne tiendra plus longtemps. Le miracle des grenzers qui ont réussi à repousser dans les ruelles, dans d'atroces combats au couteau et à la crosse, les grenadiers hessois, ne tiendront plus longtemps.
Situation générale vers 15h00. Le centre anglo-allemand est menacé sur sa gauche, mais la première ligne de l'infanterie autrichienne aura du mal à survivre face aux salves hanovriennes.
Mais l'armée anglo-allemande se fait presser de plus en plus durement par Von Burnberg sur sa gauche. Les écossais, malgré leur qualités, ne tiendront pas longtemps sous les coups de boutoir des hongrois. L'infanterie hanovrienne de première ligne inflige des pertes terrifiantes aux bataillons autrichiens, mais faiblissent à leur tour.
Les cavaleries lourdes des deux camps enchaînent à tour de bras les échecs d'activation, ce qui fait qu'à ce moment, il n'y a pas eu LA grande bataille de cavalerie tant désirée par le prince Fafa, qui commence à s'impatienter sur sa selle, triturant la garde de son sabre fétiche fébrilement.
Les deux cavaleries sont au prises. Les cuirassiers impériaux subiront de lourdes pertes face aux feux de salve de la garde hanovrienne.
A 16 heures, les hessois ne parviennent pas à déboucher, et la cavalerie, malgré l'aide des gardes hanovriens et de leurs feux dévastateurs, n'arrive pas à détruire la cavalerie ennemie. Celle-ci, pourtant, est bien proche de subir une grave défaite… mais le centre gauche hanovrien subit une pression de plus en plus importante. Le ciel s'assombrit lui aussi de plus en plus, l'orage gronde de plus en plus fort et de plus en plus près.
Situation à 16h00, l'orage menace de mettre fin à la journée.
Le duc Mimi, désireux de sauvegarder sa cavalerie hanovrienne, et soucieux de conserver une menace sur la droite autrichienne, fait rétrograder Von Pfeifeheim. Les hussards d'Ecezizi le suivront, et s'empareront de l'infortuné général hanovrien.
L'obscurité grandissante sur le champ de bataille empêche l'une ou l'autre armée de complètement déployer sa puissance. Les pertes, lourdes, de l'infanterie des deux camps, ne peuvent cacher la frustration du Duc Mimi, peu fier de ses généraux, et de l'Archiduc, qui sent que la victoire est à portée de main, et que deux heures de jour suffiront pour battre cette armée anglo-allemande.
Les combats sont intenses...
Mais les orages, menaçant depuis le début de l'après-midi, éclatent dans toute la fureur possible vers 18h00, rendant la suite de la bataille impossible. En termes de jeu, trois tours de jeu très courts (1 impulsion, on a changé de D4 après), plus un arrêt au premier tour de crépuscule possible, on raccourci la bataille et sauvé l'armée anglo-allemande. Mais l'armée impériale aurait tout à fait pu, selon les circonstances, payer cher la poursuite de la bataille.
Situation générale à la tombée de la nuit.
Situation du centre.
Le mot de la fin reviendra au duc Mimi : "Je reviendrai avec une nouvelle armée l'année prochaine, c'est la Guerre de Sept Ans, il en reste encore 4..."
Il descend donc une nouvelle fois la rivière Küss Fuss, s'enfonçant dans des territoires somme toute assez perdus. Le 27 juillet, ses troupes campent sur le Michalesberg, sorte de prééminence dominant deux villages du fin fond de l'Allemagne, Neu-Troudukheim et Alt-Troudukheim.
"Nous prendrons le village demain," lui avait assuré ses deux commandants de sa cavalerie, l'anglais Lord Guiness, et l'allemand Von Pfeifeheim. "Aucun hongrois, italien, wallon ou autrichien en vue."
L'archiduc observait de son côté les deux villages à la longue vue, ayant à ses côtés le commandant de sa cavalerie lourde, le prince Fafa, et tout son état-major, le comte Ecezizi, commandant les hussards, les généraux Von Burnberg et Von Schlaische au commandement de l'infanterie et le général Von Koronesheim, commandant les troupes légères et les dragons.
Un sourire illuminât son aimable figure. Mon prince, ils ne semblent pas savoir que nous sommes là. Faites marcher l'armée, nous attaquerons les mercenaires d'Albion au point du jour.
Et le lendemain matin, 28 juillet, alors que l'armée anglo-allemande préparait son petit déjeuner, les tambours retentirent dans le lointain.
L'armée Impériale s'avançait, les musiques jouant "Grand Dieu Sauve le Roi", qui aurait inspiré le Te Deum donné en l'honneur de l'opération de la fistule anale de Louis XIV, qui aurait au final inspiré l'hymne britannique...
Le duc Mimi, entouré de ses deux généraux de cavalerie, sort de sa tente… Et fait immédiatement appeler aux armes… L'armée impériale apparaissait dans la plaine, bien décidée à en découdre…
Les deux armées se déploient rapidement, et à 8 heures du matin, l'engagement peut commencer.
Nous voyons au premier plan l'armée impériale, et au fond, l'armée anglo-allemande. Le village sur la droite est Neu-Troudukheim, celui de gauche au pied du Michalsberg est Alt-Troudukheim. Quelques ruisseaux peu profonds, de simples obstacles, sillonnent la vallée, et un marais nauséabond envoie ses effluves sur Alt-Troudukheim, dont, les historiens locaux nous le certifient, une partie des habitants, ira fonder Neu-Troudukheim, un peu plus loin. L
L'armée anglo-allemande, quelque peu surprise, de déploie en premier, grâce à un meilleur jet de reconnaissance de l'armée impériale (les hussards n'ont pas fait que des reconnaissances, mais on dû goûter le breuvage local, au vu du champ de bataille)
Sur le plateau, le duc Mimi laisse Von Pfeifeheim avec sa cavalerie hanovrienne, 20 escadrons de cavalerie de ligne, 10 de dragons, et une paire de bataillons de jägers, soit 4500 hommes environ.
Le Michaelsberg envahi par la cavalerie hanovrienne
Immédiatement à sa droite, en contrebas, la cavalerie de lord Guiness, la garde à cheval anglaise, 20 escadrons de dragons lourds et 10 de légers, 5000 cavaliers au total.
L'infanterie du centre est disposée en deux lignes. La première, sous le commandement de Füss Von Hinterbackeheim, comprends 12 bataillons hanovriens, dont un tiers de grenadiers, et de féroces, mais néanmoins drôles, bonhommes aux mœurs très particulières, tout droit venus de leurs hautes terres au nord de l'Angleterre, un total de 9000 hommes.
La deuxième, sous les ordres de Von Kronenbourg, un vieil ami de lord Guinesse, se compose de 12 bataillons de ligne hanovriennes, et des gardes et grenadiers restants, 16 bataillons au total, 10000 hommes en tout.
Enfin, la droite de l'armée anglo-allemande, se trouvait sous les ordre du Freiherer Von Michaeswalds, et se composait de 20 bataillons de mercenaires divers, mousquetaires, grenadiers et gardes hessois, mousquetaires du Brunswick, appuyés par deux ou trois bataillons de jägers, soit 14000 hommes.
L'armée anglo-alliés se composait donc de 42000 hommes environ, dont 9000 cavaliers et 3 ou 4000 de troupes irrégulières.
Le reste de l'armée anglo-allemande, dans la vallée.
En face, l'Archiduc, informé du déploiement par les reconnaissances profondes pratiquées par le comte Ecezizi et ses hussards, décidât de porter un puissant coup au centre, en flanquant son armée par une forte composante d'infanterie, et d'occuper les hessois par Von Koronesheim.
L'armée autrichienne alignait donc, de gauche à droite :
Von Koronesheim, avec une douzaine de bataillons de hongrois, appuyés de vingt escadrons de dragons, en tout 7000 hommes d'infanterie légère et de cavalerie lourde. Sa mission était de venir s'emparer de Neu-Troudukheim, de le tenir autant que faire se peut, puis de rétrograder au fur et à mesure de l'accentuation de la pression ennemie. Les dragons étaient en appui pour dissuader l'adversaire de se montrer trop insolent dans ses tentatives.
Le Comte Ecezizi, et ses 40 escadrons de hussards, 5000 hommes, se déploie au centre en première ligne, en écran. Son objectif est d'aller fixer le centre ennemi, le temps que l'infanterie autrichienne prennen Alt-Troudukheim, s'y retranche, et que la force de frappe se mettre en position.
Derrière lui, l'infanterie de Von Schlaische, 24 bataillons (dont 8 de grenadiers) en profondes colonnes. 15000 fantassins, dont 5000 grenadiers au total. Il s'agit de la première composante de l'assaut frontal.
Derrière l'infanterie, le prince Fafa et ses 40 escadrons, moitié bardés de fer, moitié dragons, attend son heure avec ses 5000 cavaliers lourds, prêt à mourir bravement, une fois de plus, à la tête de ses escadrons chéris.
Grenzers et Hussards de la gauche, masses de hussards, infanterie et cavalerie lourde en arrière-plan. La gauche et le centre de l'armée impériale.
Enfin, sur la droite, en flanc-garde contre le déploiement anglo-allemand, Von Burnberg avec ses 24 bataillons de mousquetaires et ses 6 bataillons de grenzers, pour un total de 18000 hommes. L'objectif était de prendre Alt-Troudukheim, le marais du Grec et de tenir le flanc. Une mission bien trop importante pour un seul général, quelqu'il soit. Cette erreur aura de graves répercussions durant la bataille.
On devine aisément leur mission...
L'archiduc avait sous sa main environ 50000 hommes, dont 8000 cavaliers lourds et environ 10 à 12000 irréguliers hongrois. La supériorité numérique était présente, mais ne paraissait pas insurmontable pour les mercenaires d'Albion.
Alors qu'il a l'initiative au premier tour, le duc Mimi laisse l'Archiduc lancer le bal. Il porte en avant ses hussards, pour fixer l'infanterie ennemie et la forcer à se déployer. Von Burnberg, envoie son infanterie vers Alt-Troudukheim. Le reste des généraux de l'armée impériale semble ne pas avoir saisi que la bataille avait commencé, et leurs troupes restent donc stoïquement l'arme au pied.
La situation après les premiers mouvements, Alt-Troudukheim va tomber dans les mains impériales, les hussards vont s'amuser à faire joujou avec l'ennemi.
L'armée anglo-allemande déploie alors toute son infanterie de la première ligne, pendant que lord Guiness est prié par le duc Mimi d'aller donner aux hongrois ce qu'ils méritent, soit une bonne correction. Von Pfeifeheim avance lui aussi sa cavalerie.
L'armée alliée s'est déployée, lord Guiness pousse en avant ses cavaliers.
Le comte Ecezizi, qui en a vue d'autres sous son colpack, fait glisser ses troupes vers la droite, pour faire face aux lourds anglais et donner le temps à son infanterie de monter en colonne, tout en la couvrant. Von Schlaische, en discussion avec l'Archiduc, entreprend son avance, et Von Koronesheim porte ses hongrois vers Neu-Troudukheim. Von Brunberg s'empare de Alt-Troudukheim, sans coup férir.
L'ensemble de l'armée impériale, sauf le prince Fafa conservé en réserve, avance... A ce moment, on voit clairement l'effort impérial se porter sur Alt-Troudukheim…
La situation paraît plutôt bonne depuis les lignes anglo-allemandes.
Le duc Mimi décide d'agir. Il porte Lord Guiness au plus près des hussards ennemis, et la cavalerie anglaise fait sonner quelques charges. Il fait aussi monter son centre en avant. 20000 fantassins, tout de rouge vêtus, marchent au pas, au son des tambours, vers l'ennemi. L'aile droite, hessoise, reste l'arme au pied, ainsi que l'aile gauche.
La cavalerie anglaise a commencé son travail de dégagement, une brigade de hussards a esquivé.
C'est alors que Lord Guiness, dans la plus grande tradition de la cavalerie anglaise, décide de stopper son mouvement sur place, et d'ignorer les ordres du duc Mimi pendant deux ou trois impulsions. Ce qui permettra, d'une part, à l'armée impériale d'engager son infanterie, et d'autre part, empêchera le centre coalisé d'avancer, bloqué par la cavalerie anglaise, sûrement encore sous le choc de la vision des hussards hongrois, lesquels les avait malmené l'année passée à Unter-Papestan.
Von Koronesheim s'empare finalement de Neu-Troudukheim, et entame une manœuvre de contournement par ses dragons.
On voit clairement au fond la manoeuvre admirable de lord Guiness qui bloque toute son armée... Au grand dam des grenzers, les caves de Neu-Troudukheim sont déjà vides...
Sentant le piège, le duc Mimi fait monter en ligne les hessois et brunswikois du Freiherer Von Michaeswalds. "Seigneur Dieu, 14000 hommes pour bloquer 7000 pouilleux... Prince Fafa, il n'y a pas que les hussards qui ont abusé de l'alcool local. - Estafette, faites porter à Von Koronesheim l'ordre de se démerder mais d'empêcher qu'ils se rabattent sur le centre. Poliment, et n'oubliez pas de dire avant Vous êtes priés... et siouplaît à la fin"
A la vue de ce magnifique spectacle, les dramaturges grecs auraient pu composer une tragédie...
Pendant ce temps, l'Archiduc a fait monter en ligne Von Schlaische et le prince Fafa. Le sol tremble sous les pas de ces cavaliers au poitrines d'airain.
Ne pouvant pas faire passer sa cavalerie par la droite autrichienne, le duc Mimi la ramène au centre, pour pousser un peu sa consoeur anglaise, toujours autant intimidés par les cavaliers moustachus… Intimidés??? Mmmmmmmm, sacrés anglais.
hussards moustachus devant, fantassins aux grandes baïonnettes derrière, cavaliers blancs derrière... Lord Guiness adore qu'un plan se déroule sans accroc.
La droite impériale se trouve bien déconfite. Elle n'a plus personne à combattre, personne ne viendra l'attaquer. La ramener au cœur de la bataille sera le souci constant de l'Archiduc, mais cela pourrait au final se révéler très difficile de se servir utilement de cette force avant la fin de la bataille..
Leur mission effectuée, les hussards rétrogradent sur l'arrière de l'armée, laissant la place à l'infanterie de Von Schlaische. Les cavaliers du Prince Fafa, peu utiles au centre, entament un à droite, pour aller aider l'infanterie de Von Burnberg dans sa manœuvre de contournement.
La situation au moment ou l'armée impériale change de ligne d'opération (mais le Prince Fafa va en décider autrement) et que lord Guiness commence à se réveiller de sa sieste...
Pendant ce temps, Von Koronesheim débouche de Neu-Troudukheim, et engage par le feu l'infanterie ennemie. Les tirs précis des grenzers font des dégâts dans les rangs des hessois. Les hessois ne sont pas en reste et effectuent quelques volées sur les tirailleurs moustachus.
Les premiers coups de feu sont échangés.
Au centre, Lord Guiness ne semble pas avoir saisi toute l'importance de sa mission, se révélant maintenant plus un poids qu'autre chose pour le duc Mimi, qui compte lui faire porter un ordre par un officier accompagné d'un peloton d'exécution, pour bien faire comprendre l'importance de l'ordre envoyé. Mais Lord Guiness ne bouge toujours pas. Ils sont têtus ces anglais... Ou imbibés... En voila un qui porte bien son nom en tout cas.
Et pendant ce temps, l'infanterie et la cavalerie hanovriennes s'impatientent.
Mais tu vas les bouger tes cavaliers, nom de ...
Au final, pour pouvoir faire avancer son centre, le duc Mimi fait rétrograder toute la cavalerie pour la porter en réserve.
Ce faisant, les s'intensifient à la gauche autrichienne, entre Von Koronesheim et Von Michaelwalds…
C'est comme sur les tableaux...
A midi, la situation de la bataille est la suivante.
Pour les Autrichiens, leur gauche se soutient parfaitement face aux hessois, le centre a pris position, mais le prince Fafa, suite à une subite initiative, a changé les plans de l'Archiduc et est revenu au centre, derrière l'infanterie de Von Schlaische. Von Burnberg avancent lentement à droite, mais il avait, à sa décharge, tout simplement une tâche trop importante à accomplir pour ses troupes. Ecezizi se déploie en position de l'infanterie de la droite.
En face, les hessois se déploient et vont bientôt faire parler la poudre face à Von Koronesheim. Le centre peut enfin avancer, la cavalerie ayant libéré la place.
L'aile droite impériale est en désordre... Elle ne participera pas autant que l'Archiduc l'eût désiré.
L'initiative du Prince Fafa a mis le désordre dans ses rangs. Il n'a pas l'air d'être dans une grande journée, peut-être que ses visites nocturnes chez Madame Lulu, qui tient un établissement de jeunes filles au pair, laissent des traces sur son corps…
Le duc Mimi pousse sa cavalerie, la forçant à se redéployer pour conter la nouvelle menace impériale.
Ces hessois ont bien mérité de l'Angleterre… et des balles hongroises. Les combats sur la gauche autrichienne s'intensifient. Cette brigade hessoise, dotée initialement d'un facteur de combat de 6 PF, en a subi 4 déjà… La combinaison grenzers et dragons laisse des traces.
Mais les hessois ont repoussé les hongrois dans Neu-Troudukheim. Ceux-ci s'accrochent fiévreusement au terrain, les dragons délivrent leurs plus belles charges, mais la pression s'intensifie. Sachant toutefois qu'environ 25% du budget anglo-allemand se trouve face à 18% du budget impérial, les morts hongrois sont plus que rentabilisés pour la monarchie héréditaire des Habsbourgs.
L'assaut sur Neu-Troudukheim se met en place.
Finalement, lord Guiness parvient à remettre de l'ordre dans son esprit, et fait faire volte-face à sa cavalerie anglaise, qui vient se positionner entre le centre et la droite anglo-allemande. Heureusement qu'à droite, Von Burnberg n'arrive toujours pas à coordonner ses manœuvres.
Situation générale.
Face au mouvement engagé par la cavalerie anglaise, le prince Fafa, avide de se mesurer enfin à ces cavaliers, emmène ses 40 escadrons par la gauche du centre autrichien pour, d'une part le couvrir, d'autre part, se couvrir de gloire.
Même si, pendant ce temps là, l'aile gauche hanovrienne a été séparée du reste de l'armée, elle va causer des pertes non négligeables à ses adversaires. De nombreux cadavres de hussards peuvent en témoigner.
Les combats sont intenses sur le Michaelsberg.
A 15 heures, alors que les orages grondent au loin et que la luminosité descend peu à peu, les deux armées accentuent leur pression sur l'ennemi.
Les pertes sont de plus en plus importantes dans les deux armées, les deux cavaleries lourdes sont aux prises. Si alt-Troudukheim est solidement gardé, Neu-Troudukheim ne tiendra plus longtemps. Le miracle des grenzers qui ont réussi à repousser dans les ruelles, dans d'atroces combats au couteau et à la crosse, les grenadiers hessois, ne tiendront plus longtemps.
Situation générale vers 15h00. Le centre anglo-allemand est menacé sur sa gauche, mais la première ligne de l'infanterie autrichienne aura du mal à survivre face aux salves hanovriennes.
Mais l'armée anglo-allemande se fait presser de plus en plus durement par Von Burnberg sur sa gauche. Les écossais, malgré leur qualités, ne tiendront pas longtemps sous les coups de boutoir des hongrois. L'infanterie hanovrienne de première ligne inflige des pertes terrifiantes aux bataillons autrichiens, mais faiblissent à leur tour.
Les cavaleries lourdes des deux camps enchaînent à tour de bras les échecs d'activation, ce qui fait qu'à ce moment, il n'y a pas eu LA grande bataille de cavalerie tant désirée par le prince Fafa, qui commence à s'impatienter sur sa selle, triturant la garde de son sabre fétiche fébrilement.
Les deux cavaleries sont au prises. Les cuirassiers impériaux subiront de lourdes pertes face aux feux de salve de la garde hanovrienne.
A 16 heures, les hessois ne parviennent pas à déboucher, et la cavalerie, malgré l'aide des gardes hanovriens et de leurs feux dévastateurs, n'arrive pas à détruire la cavalerie ennemie. Celle-ci, pourtant, est bien proche de subir une grave défaite… mais le centre gauche hanovrien subit une pression de plus en plus importante. Le ciel s'assombrit lui aussi de plus en plus, l'orage gronde de plus en plus fort et de plus en plus près.
Situation à 16h00, l'orage menace de mettre fin à la journée.
Le duc Mimi, désireux de sauvegarder sa cavalerie hanovrienne, et soucieux de conserver une menace sur la droite autrichienne, fait rétrograder Von Pfeifeheim. Les hussards d'Ecezizi le suivront, et s'empareront de l'infortuné général hanovrien.
L'obscurité grandissante sur le champ de bataille empêche l'une ou l'autre armée de complètement déployer sa puissance. Les pertes, lourdes, de l'infanterie des deux camps, ne peuvent cacher la frustration du Duc Mimi, peu fier de ses généraux, et de l'Archiduc, qui sent que la victoire est à portée de main, et que deux heures de jour suffiront pour battre cette armée anglo-allemande.
Les combats sont intenses...
Mais les orages, menaçant depuis le début de l'après-midi, éclatent dans toute la fureur possible vers 18h00, rendant la suite de la bataille impossible. En termes de jeu, trois tours de jeu très courts (1 impulsion, on a changé de D4 après), plus un arrêt au premier tour de crépuscule possible, on raccourci la bataille et sauvé l'armée anglo-allemande. Mais l'armée impériale aurait tout à fait pu, selon les circonstances, payer cher la poursuite de la bataille.
Situation générale à la tombée de la nuit.
Situation du centre.
Le mot de la fin reviendra au duc Mimi : "Je reviendrai avec une nouvelle armée l'année prochaine, c'est la Guerre de Sept Ans, il en reste encore 4..."
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Re: Bataille de Troudukheim
Et tu n'as pas honte de nous allécher alors qu'on attend tous ce que tu sais !!!
- tizizus
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Re: Bataille de Troudukheim
Ben justement, plus c'est long...
On attends le retour de samsam
Pluche
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Re: Bataille de Troudukheim
Je ne connai rien à M&R, mais bravo !
J'adore le ton irrévérencieux du C.R. ; les hordes sur la belle table, des figs superbes.
Bon, y'a juste à bosser un peu la photo
Oui, je sais chuis difficile, mais une aussi jolie table aurait mérité d'être mieux mise en valeur sur nos écrans
Voila
J'adore le ton irrévérencieux du C.R. ; les hordes sur la belle table, des figs superbes.
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- le samouraï fou
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Re: Bataille de Troudukheim
Très belle histoire plein de romance !
En tout cas, bravo !
Ca me donne envie de poursuivre mes Hanovriens;
et de faire le forcing sur mes Autrichiens.
gio
En tout cas, bravo !
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- tizizus
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Re: Bataille de Troudukheim
Ué je sais... mais dans le feu de l'action...CUSTODES a écrit :Bon, y'a juste à bosser un peu la photo
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- tizizus
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Re: Bataille de Troudukheim
J'ai cru comprendre qu'ils étaient attendus... Puis les prussiens et les russes aussi...le samourail fou a écrit :et de faire le forcing sur mes Autrichiens.
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Re: Bataille de Troudukheim
Superbe compte-rendu, très agréable à lire !! Les grivoiseries custodesiennes me plaisent aussi beaucoup...
Merci de nous en avoir fait profiter !!
Les maisons sur la table sont de chez Total Battle Miniatures, non ? En tous cas elles sont superbes, tous comme les figurines, bravo !
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« Un ennemi tué en temps de guerre, c’est un touriste de moins en temps de paix » (F.Raynaud)
https://usinesmanu.jimdosite.com/
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- le samouraï fou
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Re: Bataille de Troudukheim
Au fait,
J'en profite pour vous rappeler qu'il y a un très bon Men at arms sur les alliés de Frederick le Grand qui vient de sortir: n°460.
Ce volume se révèle être une bonne synthèse de tout ce que l'on peut trouver à droite, à gauche, sur les Hessois, Brunswickois et autres Hanovriens durant la Guerre de sept ans.
Pas mal du tout ...
Gio
J'en profite pour vous rappeler qu'il y a un très bon Men at arms sur les alliés de Frederick le Grand qui vient de sortir: n°460.
Ce volume se révèle être une bonne synthèse de tout ce que l'on peut trouver à droite, à gauche, sur les Hessois, Brunswickois et autres Hanovriens durant la Guerre de sept ans.
Pas mal du tout ...
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- tizizus
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Re: Bataille de Troudukheim
Marrant comme titre... Les hessois étaient plutôt inféodés à Albion non?
Pluche
Fred
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Re: Bataille de Troudukheim
Bon allé quelques photos de plus :
C'était une journée super sympas, très bien organisée enfin tous les ingrédients pour une bonne baston à M&R
Le déploiement Autrichien :
Le déploiement Hannovriens et anglais !!!
Vue d'ensemblre du champ de bataille :
on voit en bas à gauche lord guiness avant son exécution :p
C'était une journée super sympas, très bien organisée enfin tous les ingrédients pour une bonne baston à M&R
Le déploiement Autrichien :
Le déploiement Hannovriens et anglais !!!
Vue d'ensemblre du champ de bataille :
on voit en bas à gauche lord guiness avant son exécution :p
- le samouraï fou
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Re: Bataille de Troudukheim
Très joli que tout celà !
Le bouquin reste néanmoins très sympas. Et les planches vraiment jolies, avec des bouilles
très rigolotes et dans le jus !
Effectivement. Faut croire que pour les auteurs tout ça est "tout pareil".Marrant comme titre... Les hessois étaient plutôt inféodés à Albion non?
Le bouquin reste néanmoins très sympas. Et les planches vraiment jolies, avec des bouilles
très rigolotes et dans le jus !
- Siaba
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Re: Bataille de Troudukheim
Purée, c'est chouette (même si c'est du 15mm)....Ca me donne envie de sortir mes figs G7A et de jeter un oeil à M&R...
When I go home, people ask me, "Hey Hoot, why do you do it, man? You some kind of war junkie?" I won't say a goddamn word. Why ? They won't understand why we do it. They won't understand it's about the men next to you... and that's it.
Re: Bataille de Troudukheim
C'est un jeu vraiment sympa et pas prise de tête (enfin quand on joue avec tizizus, il connait très très bien les règles)
Enfin j'ai beaucoup accroché à cette période grâce à ce jeux
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- tizizus
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Re: Bataille de Troudukheim
CUSTODES a écrit :J'adore le ton irrévérencieux du C.R. ; les hordes sur la belle table, des figs superbes.
le samourail fou a écrit :Ca me donne envie de poursuivre mes Hanovriens; gio
Hé bé, que de compliments, vous me gâtez les garçonsusinesmanu a écrit :Les maisons sur la table sont de chez Total Battle Miniatures, non ? En tous cas elles sont superbes, tous comme les figurines, bravo !
Tu peux la jouer en 25, en 15, en 10, en 6... Il suffit que tout le monde ait le même front pour une unité (deux plaquettes par unité, les deux plaquettes avec le même front, le front d'une plaquette est l'unité de mesure)Siaba a écrit :Purée, c'est chouette (même si c'est du 15mm)....Ca me donne envie de sortir mes figs G7A et de jeter un oeil à M&R...
Il va falloir que je persévère alors
Et on peut aussi jouer Louis XIV avec Sun King (règles identiques, listes d'armées modifiées). Ca marque à partir de la guerre de neuf ans...
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