[Argad] Attaques sur la route de Pontivy

[Patrice]

Dimanche après-midi, au sympathique festival culturel Paysages à Mûr-de Bretagne (commune nouvelle de Guerlédan) nous étions à nouveau dans les années 1590, vers la fin des guerres de religion en Bretagne...





Davantage ici :
https://www.anargader.net/t3622-argad-t ... tivy#33423

[Bernard 1809]

Moi: j'adore!

On peut jouer dans les maisons, il y a des morts, le terrain de jeu est superbe, etc

Pour pinailler: tu peux peindre l'intérieur de la maison, pour éviter de voir le calendrier. Tu peux aussi mettre quelques décors dans les maisons.
Quelques animaux supplémentaires: poules, cochons, vaches, ...
D'autres morts.

BRAVO!
Ça donne envie.

[Patrice]

Merci.

Il y avait quelques animaux dans les champs de-ci de-là, et quelques animaux sauvages dispersés, c'est vrai qu'on peut toujours en mettre plus.

Pour les morts on n'en met pas systématiquement et il est difficile d'en avoir beaucoup sans que ça soit les mêmes figurines en double ou en triple, y'a pas tant de variété que ça...

Au point de vue décors, chaque participant amène des choses selon le contexte proposé. Là pour être raccord avec l'esprit de ce festival culturel et champêtre on avait décidé de faire un effort sur les talus bretons, en en produisant quelques-un de plus et surtout en nous procurant plus de grands arbres (merci les soldes chez Nicolo) car ça manquait dans les parties précédentes.

Pour les bâtiments, eux aussi fournis par les différents participants, il y en avait plusieurs avec un peu de déco intérieure... sauf les deux maisons accolées, dont celle où le dernier combat a eu lieu, réalisée très anciennement ...par un joueur qui depuis a produit de magnifiques châteaux samouraï avec toute la déco minutieuse dans toutes les pièces partout, mais n'a jamais fin cette maison-là.

[Korre]

Très sympa comme rapport de combat.

[Patrice]

Merci.

Le scénario était en partie inspiré (pour ce qui s'est passé sur la rive droite : les délégués escortés vers Lamballe par un nommé Kercourtois et l'attaque surprise au matin) par un fait réel raconté dans le livre du chanoine Moreau (contemporain de l'époque).