Ce fut un carnage !
Printemps 1780, en Pensylvanie, une avant-garde anglaise menée par Lord Sanuy de Noss, Sir Ysard Hamassay convoite les caves d'un petit village américain, Aslut Kaprischer, dont les caves regorgent de whisky de contrebande. Cela n'est pas du goût de la milice locale, qui pour chasser le Godon à fait appel à un contingent de l'armée de Washington.
Et un nouveau drame oublié de l'Histoire se déroula dans cette contrée...
JB commandait la milice, Maxime l'armée régulière, et moi bien entendu, l'infâme Anglois
JB lance toutes ses forces et un regard en arrière sur le village, investi recta par ses Rifle Men et une pièce légère. Village que j'apréhende avce ma manoevre dite "les cuisses de la ribaude" avec ma légère sur les flancs, et une grosse colonne de lignards et de grenadiers au centre, ma cavalerie et le reliquat de mes troupes lègères dont les célébres Queen Rangers ayant pour mission de retarder l'avance de Max Washington.
Les tirs d'approche furent inopérant, sauf pour ma royale artillerie qui eradique simplement la pièce légère qui occupait le village d'Aslut Kapricher !
Max envoie ses troupes à marche forcée sur la route du village.
Déja la ligne anglaise est en position de couvrir le village de ses feux mortels, repoussant les Rifle Men.
Couverte par la légère déployée en tirailleurs :
Mais les Minute Men s'organisent !
Chaque minute gagnée permet aux renforts d'approcher d'avantage !
Mais l'Anglois ne l'entend pas de cette oreille !
Et déjà les terribles grenadiers malgré les pertes chargent la milice !
Et le 16th Light Dragoon se lance dans un assaut désespéré sur les colonnes américaines.
En un terrible combat pourtant en forte infériorité numérique, les dragons mettent en fuite leur adversaires, semant la confusion dans les rangs des renforts.
Mais dans le village, les Minute Men, bien que battus, se replient en bon ordre et leur feu dicipliné met en fuite les grenadiers qui les en avaient chassés !
Mais par l'odeur des scalps alléchés, les hordes de peaux rouges ont contourné le village !
Les Dragons quand à eux, ont résisté à l'avalanche des tirs bien mal ajustés il faut dire, et vont à nouveau semer la terreur et le crottin de leurs montures dans les lignes des réguliers ! Ce qui n'est pas le cas de leurs homologues continentaux, qui ont pris cher à la première salve subie, et qui courrent encore à cete heure là !
Pourtant, avec les Oneidas dans les bois, les salves des Minute Men à l'extrémité du dispostif de JB ont totalement liquidé mes tentatives de débordement par ce côté, étrillant gravement mes infanterie de ligne et légère ; le flanc droit des insurgés semble bien ancré !
Mais les Rifle Men réduits à rien par le feu anglais ont libéré le carrefour !
Et ce ne sont pas les faibles tirs de leur homologues montés qui vont arrêter la marrée rouge.
Car la ligne anglaise tient le village, et ses salves disciplinées en chassent les derniers défenseurs.
Alors que les Dragons en état de grâce explosent complètement la colonne de renforts de Maxime !
Le village aux mains de mes troupes, les renforts en totale débandade, les insurgés reconnurent leur défaite face aux troupes du Roi Georges, qui ce soir là, allaient se metter la mine du siècle dans les caves d'Aslt Karpicher !
Une partie extra avec plein de rebondissements, plusieusrs assauts sur le village repoussés par JB, avec le massacre de mes deux unités d'héroïques grenadiers, mais l'usure du feu de soutein anglois fut insoutenable pour les milicens.
Mais c'est mon 16th Light Dragoon qui a eu un bol incroyable toute la partie, avec des sauvegardes miraculeuses, face à un feu nourri mais peu chanceux côté maxime.
Merci à JB pour ses idée sur l'Overrun de la cavalerie qi ontchangé aussi pas mal la donne, la rendnat plus mordante... si elle passe ! Ainsi la cavalerie pour cette période cesse d'être juste une arme à un coup, fragile, mais redoutable une fois les lignes franchies et semant une confusion sans mon !
Je met bientot en ligne les amendements à la règle sur ce sujet.
C'est sa première fois que je gagne avec mes Anglais en AWI, chuis ému
